Voila, je vais essayer de vous rapporter ce qu’il m’est arrivé en décembre dernier.
Pour les infos : Je suis un assez gros consommateur de beuh/shit (depuis maintenant 4 ans, revendeur dans une période…) Donc des pétards, j’en ai fumés, et des claques au thc je m’en suis prise, de bien violentes parfois… Je n’irai pas jusqu'à dire que sa me fait plus rien, sinon je n’en fumerai plus, mais c’est devenu quelque chose de très banal dans ma vie.
Alors un vendredi soir je passe a st couin couin (célèbre cité du bassin parisien) ou j’ai l’habitude de pecho quand mes meilleurs plans sont a sec, même matos que d’habitude.
Arrivé chez moi, jme cale tranquillement devant mon PC, met de la musique, roule un splif, un pers tout a fait normal, pas trop chargé.
Je le craque tranquille, sens les effets monter doucement (ceci dit, il est a noter que je n’avais pas fumé depuis 2-3 jours…)
Arrivé au ¾ je me sens défoncé comme on peut l’être au ¾ d’un stick après une dure journée de labeur (wtf ? cette phrase ne sert a rien)
Et la, jme met à fermer les yeux a kiffer dla bonne dnb au casque (ouais, Roni Size et ses potes…).
Je sens mes pensées divaguer puis une poussé de défonce qui me fait enlever mon casque comme pour « respirer », le tout en gardant les yeux fermés.
A ce moment ça devient assez bizarre, je me sens littéralement gelé sur place.
Je me souviens m’être dit « qu’est ce qui se passe, c’est bien de la beuh que je fume la ? »
La sensation n’étant pas désagréable, je me laisse complètement aller, toujours les yeux fermé, assis sur ma chaise, la tête reposant sur mon coude.
Ce qui a suivi est assez difficile à décrire.
J’ai progressivement ressenti comme des vagues de plaisir, correspondant à mes respirations.
C'est-à-dire :
1) inspiration : comme si je me « gonflais » de plaisir, assez jouissif somme toute.
2) expiration : là, c’est comme si je relâchait le plaisir emmagasiné, et que celui-ci se répandait en ondulations dans tout mon corps (je sentais cette ondulation physiquement jusqu’à mes orteils)
Ayant toute ma présence d’esprit (bien qu’étant cloué sur place) pour apprécier l’effet, je commence à « jouer » avec, c'est-à-dire à inspirer/expirer a différents rythmes, ou plus ou moins fort, et a chaque fois cette sensation s’accorde parfaitement avec ma respiration.
Plus je respire fort, plus l’ondulation du a l’expiration est tardive et puissante.
Il m’a quand même fallut un peu de temps avant de comprendre le mécanisme (dompter le phénomène).
D’ailleurs au niveau temps, je ne sais plus trop combien il s’en est écoulé mais je dirais bien 5-10 minutes au moins a resté les yeux fermé dans la même position (sans bouger d’un millimètre mis a part respirer)
Je suis revenu tranquillement à la réalité en reprenant progressivement mes esprits (dans le sens où je ne me sentais plus gelé sur place).
La seule chose que j’avais en tête : WTF ?????
Ah oui, et j’avais toujours le dernier quart du stick dans la main sans avoir fumé dessus pendant toute la duré du truc, que jme suis empressé de rallumer, les yeux pleins d’étoiles…
Conclusion
Ce phénomène n’a rien eu de vraiment impressionnant en soi, rien à voir avec les sensations obtenues par drogues dures.
Ce qui m’a interpellé c’est la banalité des conditions :
- joint dosé tranquille
- beuh normale (les joints que j’ai fumé après avec mes potes m’on bien fait comprendre que la verte était tout ce qu’il y a plus classique pour un produit de téci)
- pas de prise de drogues dures ou de quelconque substances récente
Je me dit que cela doit être du au fait que j’ai vraiment réussi a me lâcher, a me laisser aller, me laisser porter par cette défonce, si minime soit-elle.
Il est vrai, que justement du fait que le thc soit devenu si courant dans ma vie, je ne prend peut être plus le temps de vraiment l’apprécier, d’être a son écoute. Dans le rush de la vie, on craque un splif comme on tue une biere, et je n’ai d’ailleurs encore jamais réessayé d’approcher ce phénomène (par oubli ou parceque je n’était pas seul quand j’y pensais)
Ecrire ce TR m’a redonné l’envie, de me concentrer plus sur mes sensations, peut être avoir une approche plus psychédélique de la défonce !
Allez, j’essaye de remettre ça dès que j’ai des tunes dispo pour de l’herbe (qu’est ce qui ma pris de pecho 2g de Md hier…) promis !
Pour les infos : Je suis un assez gros consommateur de beuh/shit (depuis maintenant 4 ans, revendeur dans une période…) Donc des pétards, j’en ai fumés, et des claques au thc je m’en suis prise, de bien violentes parfois… Je n’irai pas jusqu'à dire que sa me fait plus rien, sinon je n’en fumerai plus, mais c’est devenu quelque chose de très banal dans ma vie.
Alors un vendredi soir je passe a st couin couin (célèbre cité du bassin parisien) ou j’ai l’habitude de pecho quand mes meilleurs plans sont a sec, même matos que d’habitude.
Arrivé chez moi, jme cale tranquillement devant mon PC, met de la musique, roule un splif, un pers tout a fait normal, pas trop chargé.
Je le craque tranquille, sens les effets monter doucement (ceci dit, il est a noter que je n’avais pas fumé depuis 2-3 jours…)
Arrivé au ¾ je me sens défoncé comme on peut l’être au ¾ d’un stick après une dure journée de labeur (wtf ? cette phrase ne sert a rien)
Et la, jme met à fermer les yeux a kiffer dla bonne dnb au casque (ouais, Roni Size et ses potes…).
Je sens mes pensées divaguer puis une poussé de défonce qui me fait enlever mon casque comme pour « respirer », le tout en gardant les yeux fermés.
A ce moment ça devient assez bizarre, je me sens littéralement gelé sur place.
Je me souviens m’être dit « qu’est ce qui se passe, c’est bien de la beuh que je fume la ? »
La sensation n’étant pas désagréable, je me laisse complètement aller, toujours les yeux fermé, assis sur ma chaise, la tête reposant sur mon coude.
Ce qui a suivi est assez difficile à décrire.
J’ai progressivement ressenti comme des vagues de plaisir, correspondant à mes respirations.
C'est-à-dire :
1) inspiration : comme si je me « gonflais » de plaisir, assez jouissif somme toute.
2) expiration : là, c’est comme si je relâchait le plaisir emmagasiné, et que celui-ci se répandait en ondulations dans tout mon corps (je sentais cette ondulation physiquement jusqu’à mes orteils)
Ayant toute ma présence d’esprit (bien qu’étant cloué sur place) pour apprécier l’effet, je commence à « jouer » avec, c'est-à-dire à inspirer/expirer a différents rythmes, ou plus ou moins fort, et a chaque fois cette sensation s’accorde parfaitement avec ma respiration.
Plus je respire fort, plus l’ondulation du a l’expiration est tardive et puissante.
Il m’a quand même fallut un peu de temps avant de comprendre le mécanisme (dompter le phénomène).
D’ailleurs au niveau temps, je ne sais plus trop combien il s’en est écoulé mais je dirais bien 5-10 minutes au moins a resté les yeux fermé dans la même position (sans bouger d’un millimètre mis a part respirer)
Je suis revenu tranquillement à la réalité en reprenant progressivement mes esprits (dans le sens où je ne me sentais plus gelé sur place).
La seule chose que j’avais en tête : WTF ?????
Ah oui, et j’avais toujours le dernier quart du stick dans la main sans avoir fumé dessus pendant toute la duré du truc, que jme suis empressé de rallumer, les yeux pleins d’étoiles…
Conclusion
Ce phénomène n’a rien eu de vraiment impressionnant en soi, rien à voir avec les sensations obtenues par drogues dures.
Ce qui m’a interpellé c’est la banalité des conditions :
- joint dosé tranquille
- beuh normale (les joints que j’ai fumé après avec mes potes m’on bien fait comprendre que la verte était tout ce qu’il y a plus classique pour un produit de téci)
- pas de prise de drogues dures ou de quelconque substances récente
Je me dit que cela doit être du au fait que j’ai vraiment réussi a me lâcher, a me laisser aller, me laisser porter par cette défonce, si minime soit-elle.
Il est vrai, que justement du fait que le thc soit devenu si courant dans ma vie, je ne prend peut être plus le temps de vraiment l’apprécier, d’être a son écoute. Dans le rush de la vie, on craque un splif comme on tue une biere, et je n’ai d’ailleurs encore jamais réessayé d’approcher ce phénomène (par oubli ou parceque je n’était pas seul quand j’y pensais)
Ecrire ce TR m’a redonné l’envie, de me concentrer plus sur mes sensations, peut être avoir une approche plus psychédélique de la défonce !
Allez, j’essaye de remettre ça dès que j’ai des tunes dispo pour de l’herbe (qu’est ce qui ma pris de pecho 2g de Md hier…) promis !