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Stylo 2.0

Holofractale de l'hypervérité
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11 Mai 2013
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Code de déontologie des psychologues :

Principe 1 : Respect des droits de la personne

Le psychologue réfère son exercice aux principes édictés par les législations nationale, européenne et internationale sur le respect des droits fondamentaux des personnes, et spécialement de leur dignité, de leur liberté et de leur protection. Il s’attache à respecter l’autonomie d’autrui et en particulier ses possibilités d’information, sa liberté de jugement et de décision. Il favorise l’accès direct et libre de toute personne au psychologue de son choix. Il n’intervient qu’avec le consentement libre et éclairé des personnes concernées. Il préserve la vie privée et l’intimité des personnes en garantissant le respect du secret professionnel. Il respecte le principe fondamental que nul n’est tenu de révéler quoi que ce soit sur lui-même.
Va te renseigner avant de parler.
 

Stylo 2.0

Holofractale de l'hypervérité
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11 Mai 2013
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Mes profs de psycho n'avaient pas l'air de plaisanter avec le code de déontologie des psys, quand on passe cinq ans à la fac, bizarrement, la notion de déontologie peut suffire. Et si ce n'est pas légiféré, peut-être est-ce parce qu'il n'a pas eu besoin de légiférer, mmh ?
Il t'es arrivé des crasses avec un psy ?

Moi je me souviens d'avoir apporté un pote à consulter au psy, il a commencé une thérapie, je m'entends super bien avec la secrétaire, et je lui demande à elle comment va mon pote, et elle me réponds "je peux pas vous répondre, secret professionnel"

edit : J'en ai causé avec une pote psy, qui m'a confirmé que le secret professionel n'est présent que dans le code déontologie, ce qui suffit cependant à n'importe quel psy pour ne pas expliquer à tout le monde ce qui se passe dans leurs cabinets.
SAUF en cas de danger pour la personne. Exemple typique : si un enfant ou un ado est abusé sexuellement ou en danger, le psy est tenu d'informer les forces de l'ordre. C'est pas toujours évident à gérer pour le psy, entre la loyauté à l'enfant et ce que dit la loi. ATTENTION c'est valable pour les enfants mais pas pour les adultes. Si vous êtes grand et que vous racontez avoir été violé ou maltraité par untel, le psy dira "allez portez plainte" mais il le fera pas pour vous.
Quand aux cas limites où on se demande : "Est-ce que je peux dire à mon psy qu'en plus de sniffer de l'héro je deale de la coke", normalement y'a pas de soucis mais la crainte est légitime.

De là à dire comme le fait Jourdaniana "Un psy n'est pas tenu au secret professionel", il y a un racourci beaucoup trop rapide. Certes, la loi n'est pas contraignante, mais le code de déontologie n'est pas pris à la légère par les psys. Le racourci m'a énervé, j'avoue. Désolé pour l'animosité.

Voilà, juste pour dire que j'ai jamais eu de soucis pour dire aux psys que je consultais que j'avais prodé avec tel et tel produit.
 
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