Je prend régulièrement du dxm depuis mes 18 ans (j'en ai 24), c'est un pote qui m'a fait connaitre la chose. C'étais une époque où je ne savais pas trop qui j'étais, j'étais donc tenté par toutes sortes de nouvelles expériences, du coup j'ai essayé sans trop mettre posé de questions. Au début on étais quelques potes à se prendre du pul******* en sirop, je me rend compte avec le recule que c'étais vraiment inconscient et stupide de se pourrir le bide avec cette saloperie, surtout pour les effets obtenues, et les heures passés au chiottes. Mais on planais, on vivais une expérience différente de tout ce que nous connaissions, sur le coup c'étais fun. Après plusieurs utilisations je suis passé assez vite au tux*** en gélules, et c'est à partir de ce moment que j'ai changé d'optique sur la "défonce". Le produit étant plus facile à avaler que le sirop, j'ai découvert le monde caché du DXM, les visualisations les yeux fermés, la déconnexion complète avec la réalité etc… Le DXM était devenu pour moi un deuxième monde à explorer, remplis de créatures étranges et de mondes fascinants. Un loisir qui m'obsédait, je pensais tout les jours à ma prochaine prise de médocs. Mais à cette époque j'en prenais avec un pote, aussi "furieux" que moi, j'avais donc toujours quelqu'un pour me raccrocher avec la réalité et avec qui j'échangeais mes expériences. On étais comme un duo, qui avait trouvé la clé vers un autre monde. Cette période dura plus d'un an, où nous en prenions minimum deux fois par mois par dose de deux boites chacun.
Pour poser le décors (sans vouloir raconter ma vie); j'étais à l'époque en échec scolaire, avec des gros problème familiaux. j'étais introverti, et constamment dans ma bulle. Le DXM était la porte idéal pour fuir ce monde que je ne comprenais pas, que je ne supportais pas, et qui me faisait peur.
C'est alors que la période moins fun est arrivée. Etant séparé géographiquement de mon compagnon de perche, je me suis mis à en prendre seul. Et malgré le fait que j'ai toujours fréquenté le milieu de la drogue (champi, mdma, herbe etc… sans les consommer à l'époque) mes amis ne comprenaient pas et n'acceptaient pas que je me défonce à coup de médocs, j'en prenais clandestinement, sans en parler à personne.
Les quatre années qui suivirent ne sont pas spécialement intéressantes, j'en prenais toujours minimum une fois par mois mais en augmentant les doses jusqu'à atteindre les trois boites de tux**** Mais au file du temps ma vision du DXM changea, ce n'étais plus un monde inconnu à découvrir mais mon second chez moi, un second chez moi où je me sentais en sécurité et à ma place. J'en prenais pour me sentir en sécurité, donc un monde qui me correspond…. Je me rend compte maintenant l'importance que cela avais pris dans ma vie, je n'écoutais plus que la musique qui me faisait voyager sous DXM. Je me suis enfoncé dans une solitude que j'assumais et que j'aimais, comme pour prolonger l'univers du DXM jusqu'à mon quotidien. Et lorsqu'un coup dur m'arrivait, le reflex était de prendre mes médocs pour penser à autre chose, pour trouver une solution ou accepter avec philosophie ce qui m'arrivait. Et ça ne s'arrangea pas lorsque j'ai découvert le pul****** en comprimé, plus facile à avaler, effets plus rapides et intenses…
A l'heure actuel je me rend compte des effets secondaires du DXM, ils ne sont pas à inculper à la molécule elle même, mais à moi. Cela fais six ans que je suis fasciné par cette molécule et qu'elle habite mon quotidien en ayant changés avec le temps mes goûts et ma façon de penser. Je sent que je suis décalé de la réalité et des gens. J'ai du mal à communiquer avec les autres et je ne me sent en sécurité que dans ma bulle qui est à l'image du DXM. Aujourd'hui j'essaye de changer les choses, je viens de tout plaquer pour partir de l'autre côté de la france pour recommencer ma vie. Rencontrer de nouvelles personnes, pratiquer de nouvelles choses, réapprendre à vivre avec cette réalité que j'ai fuis pendant tout ce temps, mais je dois avouer que c'est dure de vivre avec cette molécule qui fait partis intégrante de moi. Car c'est la cas, ma personnalité à étée en partie forgée par le DXM.
Je ne regrette pas d'avoir connu le monde du DXM, je regrette seulement de ne pas m'être arrêté plus tôt. Que cela ne soit pas juste resté une expérience de vie au lieu de devenir un mode de vie.
Voila, c'étais un petit témoignage pour mettre en garde les nouveaux utilisateurs. Cependant je n'incrimine pas le DXM, nous sommes les seuls responsables de l'utilisations que l'on en fais. Mais si vous êtes un peu paumés dans votre vie, ne faites pas la même connerie que moi.
PS: je tiens à préciser que je n'ai aucune séquelle physique dut à ces années d'utilisation, et que je n'ai jamais ressenti la moindre addiction physique ou mentale. J'ai juste toujours eu envi d'aller "ailleurs" ...
Pour poser le décors (sans vouloir raconter ma vie); j'étais à l'époque en échec scolaire, avec des gros problème familiaux. j'étais introverti, et constamment dans ma bulle. Le DXM était la porte idéal pour fuir ce monde que je ne comprenais pas, que je ne supportais pas, et qui me faisait peur.
C'est alors que la période moins fun est arrivée. Etant séparé géographiquement de mon compagnon de perche, je me suis mis à en prendre seul. Et malgré le fait que j'ai toujours fréquenté le milieu de la drogue (champi, mdma, herbe etc… sans les consommer à l'époque) mes amis ne comprenaient pas et n'acceptaient pas que je me défonce à coup de médocs, j'en prenais clandestinement, sans en parler à personne.
Les quatre années qui suivirent ne sont pas spécialement intéressantes, j'en prenais toujours minimum une fois par mois mais en augmentant les doses jusqu'à atteindre les trois boites de tux**** Mais au file du temps ma vision du DXM changea, ce n'étais plus un monde inconnu à découvrir mais mon second chez moi, un second chez moi où je me sentais en sécurité et à ma place. J'en prenais pour me sentir en sécurité, donc un monde qui me correspond…. Je me rend compte maintenant l'importance que cela avais pris dans ma vie, je n'écoutais plus que la musique qui me faisait voyager sous DXM. Je me suis enfoncé dans une solitude que j'assumais et que j'aimais, comme pour prolonger l'univers du DXM jusqu'à mon quotidien. Et lorsqu'un coup dur m'arrivait, le reflex était de prendre mes médocs pour penser à autre chose, pour trouver une solution ou accepter avec philosophie ce qui m'arrivait. Et ça ne s'arrangea pas lorsque j'ai découvert le pul****** en comprimé, plus facile à avaler, effets plus rapides et intenses…
A l'heure actuel je me rend compte des effets secondaires du DXM, ils ne sont pas à inculper à la molécule elle même, mais à moi. Cela fais six ans que je suis fasciné par cette molécule et qu'elle habite mon quotidien en ayant changés avec le temps mes goûts et ma façon de penser. Je sent que je suis décalé de la réalité et des gens. J'ai du mal à communiquer avec les autres et je ne me sent en sécurité que dans ma bulle qui est à l'image du DXM. Aujourd'hui j'essaye de changer les choses, je viens de tout plaquer pour partir de l'autre côté de la france pour recommencer ma vie. Rencontrer de nouvelles personnes, pratiquer de nouvelles choses, réapprendre à vivre avec cette réalité que j'ai fuis pendant tout ce temps, mais je dois avouer que c'est dure de vivre avec cette molécule qui fait partis intégrante de moi. Car c'est la cas, ma personnalité à étée en partie forgée par le DXM.
Je ne regrette pas d'avoir connu le monde du DXM, je regrette seulement de ne pas m'être arrêté plus tôt. Que cela ne soit pas juste resté une expérience de vie au lieu de devenir un mode de vie.
Voila, c'étais un petit témoignage pour mettre en garde les nouveaux utilisateurs. Cependant je n'incrimine pas le DXM, nous sommes les seuls responsables de l'utilisations que l'on en fais. Mais si vous êtes un peu paumés dans votre vie, ne faites pas la même connerie que moi.
PS: je tiens à préciser que je n'ai aucune séquelle physique dut à ces années d'utilisation, et que je n'ai jamais ressenti la moindre addiction physique ou mentale. J'ai juste toujours eu envi d'aller "ailleurs" ...