Vacances et pochon rempli oblige, j'ai tester cette chouette bestiole.
Première séance, le lundi en debut d'après midi. J'suis avec un pote, on avait prévu de tester le 2C-e, finalement c'est du 4-aco.
20mg dans du coca, zou c'est parti.
On discute en attendant la montée, et cette dernière vient rudement vite. Moins de dix minutes après avoir ingéré mon coca magique, j'ai les même "fourmillement osseux" qu'avec des cubensis. Ca surprend, mais tant mieux !
Je décidé de me vautrer sur le canapé-lit déplié pour l'occasion et de me laisser porter, de m'offrir complètement au trip, pour en tirer le maximum. Mon camarade s'allonge lui aussi, et se met à parler. Bon, étant un mec sympa ( et n'ayant pas insisté DU TOUT sur le fait que j'voulais tripper sans être embêté) je lui réponds même si ça fait iech'. Il parle, je répond à contrecœur, et le 4-aco-dmt continue à monter. Après avoir subi une certaine quantité de phrases, je m'enfuie dans ma chambre, afin d'être tranquillou. (Mon compagnon de trip se sentait bien hein, j'l'ai pas laisser bader comme une truie.) Là, en position fœtale sur mon lit, les yeux fermés, j'me prend des fractales dans la tronche. Youpi youplaboom, j'en voulais depuis un bout de temps.
L'autre zozo m'appelle, tout s'en va. Non sans me retenir de lui balancer un pavé, je vais voir ce qu'il veut, je me sens responsable. Après avoir courageusement quitté mon lit, (re)découvert mon appart avec de nouvelles couleurs, et atteint le salon ou se trouve mon casseur-de-fractales, je lui demande ce qu'il veut. "Rien de spécial, je voulais savoir si tu allais bien, parce que moi oui." Là, sincèrement, on hésite entre le meurtre ou le suicide. Je retourne sur mon lit, et c'est reparti pour des couleurs dans tous les sens. Fractales, encore, et cette fois, je sens qu'il y a encore quelque chose derrière. Je sens une sorte de "frontière" que je n'arrive pas à dépasser, pour mon malheur. Je sens que derrière cette barrière, il y a quelque chose de fabuleux. A chaque fois que je suis en train de la dépasser, je suis appelé pour des raisons plus futiles les unes que les autres. Tout mon trip se déroulera comme ça : lit=>fractales en vrac=>à deux doigts de passer la barrière=>"CA VAAAAAAAAAAAAAA ?". Et ce en boucle, jusqu'à la descente. Descente qui s'est d'ailleurs passée tout en douceur. Une descente douuuuuuuuce et agréable pendant laquelle on philosophe tranquillement, en échangeant nos impressions.
Le lendemain, rebelote ! Sauf que cette fois, ma copine est avec moi. 3*20mg dans du coca, again, et on y retourne !
Cette fois, beaucoup moins à dire, si ce n'est que personne n'a eu AUCUN visuel. Juste des rires incohérents et sans raison pendant 7H (pour ceux qui connaissent, ca ressemblait au protoxyde d'azote.)
A noter cependant, lors de la deuxième prise, vers la fin, grosse crise de larme, justifiée à grand coup de "j'en ai marre je veux que ca s'arrête." Ah, et aussi, pour les deux fois, une impressions de fondre littéralement. Les yeux pleurent, le nez goutte, et de l'eau s’écoule par tous les pores de la peau. C'est marrant mais perturbant.
Pour conclure donc, en comparaison aux cubensis, j'ai trouvé ça "moins fort mais plus intense" ! (noté sur mon bras pendant le trip, sisi.)
Sinon, rien à voir mais j'ai tester le 5-meo-dmt aussi, et c'est pas concluant. J'me suis pris une énorme baffe, et je passé de la position assise à allongé sans comprendre. Le 5-meo-dmt semblait hurler "tu t'allonges, t'as envie de vomir, tu te sens mal physiquement, tu t'inquiètes, et tu ferme ta gueule." sans autre possibilité que de lui obéir. Sans rire hein, c'était... Étrange.
Première séance, le lundi en debut d'après midi. J'suis avec un pote, on avait prévu de tester le 2C-e, finalement c'est du 4-aco.
20mg dans du coca, zou c'est parti.
On discute en attendant la montée, et cette dernière vient rudement vite. Moins de dix minutes après avoir ingéré mon coca magique, j'ai les même "fourmillement osseux" qu'avec des cubensis. Ca surprend, mais tant mieux !
Je décidé de me vautrer sur le canapé-lit déplié pour l'occasion et de me laisser porter, de m'offrir complètement au trip, pour en tirer le maximum. Mon camarade s'allonge lui aussi, et se met à parler. Bon, étant un mec sympa ( et n'ayant pas insisté DU TOUT sur le fait que j'voulais tripper sans être embêté) je lui réponds même si ça fait iech'. Il parle, je répond à contrecœur, et le 4-aco-dmt continue à monter. Après avoir subi une certaine quantité de phrases, je m'enfuie dans ma chambre, afin d'être tranquillou. (Mon compagnon de trip se sentait bien hein, j'l'ai pas laisser bader comme une truie.) Là, en position fœtale sur mon lit, les yeux fermés, j'me prend des fractales dans la tronche. Youpi youplaboom, j'en voulais depuis un bout de temps.
L'autre zozo m'appelle, tout s'en va. Non sans me retenir de lui balancer un pavé, je vais voir ce qu'il veut, je me sens responsable. Après avoir courageusement quitté mon lit, (re)découvert mon appart avec de nouvelles couleurs, et atteint le salon ou se trouve mon casseur-de-fractales, je lui demande ce qu'il veut. "Rien de spécial, je voulais savoir si tu allais bien, parce que moi oui." Là, sincèrement, on hésite entre le meurtre ou le suicide. Je retourne sur mon lit, et c'est reparti pour des couleurs dans tous les sens. Fractales, encore, et cette fois, je sens qu'il y a encore quelque chose derrière. Je sens une sorte de "frontière" que je n'arrive pas à dépasser, pour mon malheur. Je sens que derrière cette barrière, il y a quelque chose de fabuleux. A chaque fois que je suis en train de la dépasser, je suis appelé pour des raisons plus futiles les unes que les autres. Tout mon trip se déroulera comme ça : lit=>fractales en vrac=>à deux doigts de passer la barrière=>"CA VAAAAAAAAAAAAAA ?". Et ce en boucle, jusqu'à la descente. Descente qui s'est d'ailleurs passée tout en douceur. Une descente douuuuuuuuce et agréable pendant laquelle on philosophe tranquillement, en échangeant nos impressions.
Le lendemain, rebelote ! Sauf que cette fois, ma copine est avec moi. 3*20mg dans du coca, again, et on y retourne !
Cette fois, beaucoup moins à dire, si ce n'est que personne n'a eu AUCUN visuel. Juste des rires incohérents et sans raison pendant 7H (pour ceux qui connaissent, ca ressemblait au protoxyde d'azote.)
A noter cependant, lors de la deuxième prise, vers la fin, grosse crise de larme, justifiée à grand coup de "j'en ai marre je veux que ca s'arrête." Ah, et aussi, pour les deux fois, une impressions de fondre littéralement. Les yeux pleurent, le nez goutte, et de l'eau s’écoule par tous les pores de la peau. C'est marrant mais perturbant.
Pour conclure donc, en comparaison aux cubensis, j'ai trouvé ça "moins fort mais plus intense" ! (noté sur mon bras pendant le trip, sisi.)
Sinon, rien à voir mais j'ai tester le 5-meo-dmt aussi, et c'est pas concluant. J'me suis pris une énorme baffe, et je passé de la position assise à allongé sans comprendre. Le 5-meo-dmt semblait hurler "tu t'allonges, t'as envie de vomir, tu te sens mal physiquement, tu t'inquiètes, et tu ferme ta gueule." sans autre possibilité que de lui obéir. Sans rire hein, c'était... Étrange.