variabeat
Matrice périnatale
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- 11 Fev 2017
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Ce sujet vas vous racompter une des histoires que j'ai parcourue au long d'une soirée, d'une nuit sous ethylphenidate alcool et psychose.
Le soir tombais et j'en étais deja a quelques traces que je dose a la pointe de couteau, tout allais bien j'ecoutais de la techno sur fanat3k tout en me chaufant pour sortir. Je voulais juste aller au parc y passer deux heures avant de rentrer me coucher.
Je suis donc sorti de chez moi en velo vers 23h et j'ai rouler jusqu'au parc pas loin, "le parc des grottes".
Arrivé au parc il y as un peut de monde, des gents simpas donc je fix mon velo avec un antivole.
Je passe la soirée a me faire des lignes et a boire du vin blanc.
Les gents partent je deside de rester tout seul encor un peut. A l'approche de 3h du matin et je me dit que je vais rentrer.
Mais la malaise j'ai perdu les clefs de mon antivole.
Alors je me demonte pas je me dit que je vais ronger le cable de l'antivole mais je n'ai pas d'outils.
Me reste plus qu'a en trouver.
C'est la que ça commence a être un peut hors la loi; je vais dans les baraquements qui se trouves pas loin du parc et je décide de m'y introduir pour trouver des outils.
Pas moyen a première vue alors je me fait une ligne et j'ésaille d'ouvrir toutes les fenetres unes par unes.
Yen a bien une ouverte, je rentre dans la piece c'est un bazare total, c'est comme si des cambriolleurs avaient tout retourné.
je vois des photos de pompiers, de policier... je me dit que je ne sais pas trop a quoi servent ces baraques.
Mais je ne trouve pas d'outils alors je sort et me balade entre les pavillons jusqu’à en trouver un avec une cabane de jardin… Faisant du parkour je n'ai aucun mal a passer la cloture et a entrer dans la cabane de jardin… Et la c'est chouette parce que je trouve non seulement des outils mais aussi une bouteil de liqueure. Je met tout ça dans mon sac et retourne a mon velo.
Là je lime l'entivole avec la lime en métal que j'ai volée juste avant tout en buvant la bouteil de liqueure jusqua 5h30. je peut enfin partir en direction de la nationale parce que j'ai décider de ne pas dormir finalement . Je fait tomber la bouteil de liqueure en route…
Quand j'arrive a la nationale je vois une maison habandonnée je me dit cool ça vas m'occuper.
Je laisse mon velo au bord de la route et j'entre par la petite fênetre de la cave et d'un simple regard je trouve une nouvelle bouteil de liqueur de cassis de supère marché mais une alarme se met a sonner.
Je me casse,l'alarme disait quelque chose comme : « veuiller rester la nous appelont la police » mais je suis sûr que cette boite anti intrusion n'appelle pas les flic ; je me casse quand même.
Je reprend mon velo et je roule encor 1km vers carfour je ne sais même pas pourquoi.
La je trouve un type qui dors sur un escalier je luis laisse la bouteil sans le reveiller et je me casse.
Je passe la journée qui suiv a écouter de la musique de divers horizons sur mon pc sans ressentir le besoin de dormir grasse a l'ethylphenidate. J'arrette d'en prendre vers 14h pour pouvoir dormir la nuit suivante…
Conclusion : j'ai dépasser les limites de la legalitée tant au niveau de la drogue qu'au niveau de l'infraction de propriétée.
C'est le genre de nuit qui m'as rapprocher de la psychose progressivement et qui a durée une éternitée dans ma tête; car elle continue encore aujourd'hui de me rappeller des souvenirs, qui me poussent a aller vers un avenir libre mais respéctueu des régles et des normes de la sociétée.
En quittant les centiers batus j'ai abandonner une part de mon esprit qui est devenu demoniaque et m'a plonger dans la psychose.
Le soir tombais et j'en étais deja a quelques traces que je dose a la pointe de couteau, tout allais bien j'ecoutais de la techno sur fanat3k tout en me chaufant pour sortir. Je voulais juste aller au parc y passer deux heures avant de rentrer me coucher.
Je suis donc sorti de chez moi en velo vers 23h et j'ai rouler jusqu'au parc pas loin, "le parc des grottes".
Arrivé au parc il y as un peut de monde, des gents simpas donc je fix mon velo avec un antivole.
Je passe la soirée a me faire des lignes et a boire du vin blanc.
Les gents partent je deside de rester tout seul encor un peut. A l'approche de 3h du matin et je me dit que je vais rentrer.
Mais la malaise j'ai perdu les clefs de mon antivole.
Alors je me demonte pas je me dit que je vais ronger le cable de l'antivole mais je n'ai pas d'outils.
Me reste plus qu'a en trouver.
C'est la que ça commence a être un peut hors la loi; je vais dans les baraquements qui se trouves pas loin du parc et je décide de m'y introduir pour trouver des outils.
Pas moyen a première vue alors je me fait une ligne et j'ésaille d'ouvrir toutes les fenetres unes par unes.
Yen a bien une ouverte, je rentre dans la piece c'est un bazare total, c'est comme si des cambriolleurs avaient tout retourné.
je vois des photos de pompiers, de policier... je me dit que je ne sais pas trop a quoi servent ces baraques.
Mais je ne trouve pas d'outils alors je sort et me balade entre les pavillons jusqu’à en trouver un avec une cabane de jardin… Faisant du parkour je n'ai aucun mal a passer la cloture et a entrer dans la cabane de jardin… Et la c'est chouette parce que je trouve non seulement des outils mais aussi une bouteil de liqueure. Je met tout ça dans mon sac et retourne a mon velo.
Là je lime l'entivole avec la lime en métal que j'ai volée juste avant tout en buvant la bouteil de liqueure jusqua 5h30. je peut enfin partir en direction de la nationale parce que j'ai décider de ne pas dormir finalement . Je fait tomber la bouteil de liqueure en route…
Quand j'arrive a la nationale je vois une maison habandonnée je me dit cool ça vas m'occuper.
Je laisse mon velo au bord de la route et j'entre par la petite fênetre de la cave et d'un simple regard je trouve une nouvelle bouteil de liqueur de cassis de supère marché mais une alarme se met a sonner.
Je me casse,l'alarme disait quelque chose comme : « veuiller rester la nous appelont la police » mais je suis sûr que cette boite anti intrusion n'appelle pas les flic ; je me casse quand même.
Je reprend mon velo et je roule encor 1km vers carfour je ne sais même pas pourquoi.
La je trouve un type qui dors sur un escalier je luis laisse la bouteil sans le reveiller et je me casse.
Je passe la journée qui suiv a écouter de la musique de divers horizons sur mon pc sans ressentir le besoin de dormir grasse a l'ethylphenidate. J'arrette d'en prendre vers 14h pour pouvoir dormir la nuit suivante…
Conclusion : j'ai dépasser les limites de la legalitée tant au niveau de la drogue qu'au niveau de l'infraction de propriétée.
C'est le genre de nuit qui m'as rapprocher de la psychose progressivement et qui a durée une éternitée dans ma tête; car elle continue encore aujourd'hui de me rappeller des souvenirs, qui me poussent a aller vers un avenir libre mais respéctueu des régles et des normes de la sociétée.
En quittant les centiers batus j'ai abandonner une part de mon esprit qui est devenu demoniaque et m'a plonger dans la psychose.