25/01/2023 16:57
Salut, j'entends souvent dire qu'il y a une tolérance immédiate au LSD, qui rendrait improductive la pratique de fractionner les buvards.
Or je viens de tomber sur cette étude de la cinétique du LSD qui dit, si je comprends bien le terme "acute tolerance", qu'il n'y en a pas.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4772267/
Argumentaire :
Et du coup, je suis pas contre qu'on m'explique aussi, si une tolérance n'est pas immédiate, au bout de combien de temps elle est censée se manifester, et tant qu'à faire, les facteurs de son installation plus ou moins rapide.
Or je viens de tomber sur cette étude de la cinétique du LSD qui dit, si je comprends bien le terme "acute tolerance", qu'il n'y en a pas.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4772267/
Argumentaire :
Citation :No clockwise hysteresis was observed for any of the concentration-effect curves, meaning that the dynamic values were higher later in time at a given plasma concentration and consistent with no acute tolerance to the effects of LSD.Je ne prétends pas comprendre le contenu de cette phrase, donc est-ce que qqun pourrait passer par là et me confirmer que ça signifie : "pas d'anomalie dans la courbe concentration-plasmatique / effets, elle est douce comme un tobogan, et donc tu peux prendre ton autre demi-carton" ?
Et du coup, je suis pas contre qu'on m'explique aussi, si une tolérance n'est pas immédiate, au bout de combien de temps elle est censée se manifester, et tant qu'à faire, les facteurs de son installation plus ou moins rapide.
« Il nous faut mener double vie dans nos vies, double sang dans nos cœurs, la joie avec la peine, le rire avec les ombres, deux chevaux dans le même attelage, chacun tirant de son côté, à folle allure. Ainsi allons-nous, cavaliers sur un chemin de neige, cherchant la bonne foulée, cherchant la pensée juste, et la beauté parfois nous brûle, comme une branche basse giflant notre visage, et la beauté parfois nous mord, comme un loup merveilleux sautant à notre gorge. »