Mr GPN
Neurotransmetteur
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Bonjour, étant donné qu'il n'y à pas énormément de ressentis publiés sur les benzodiazépines rc, je tiens à y mettre ma contribution en partageant l'ensemble de mes test/découvertes vis à vis de cette large famille de substance avec pour conviction de pouvoir aider mes prochains, qui à mon instar, ne trouvent pas suffisamment d'infos. Ce "Multi TR" n'est cependant pas terminé et je compte l'actualiser chaque fois que je testerai une nouvelle benzodiazépine.
Pyrazolam : Demi-vie de 17h. Action anxiolytique, myorelaxante et modérément sédative.
Prise d’un cachet fragmenté entre 20h et 23h ainsi qu’un deuxième entre 13h et 14h, tous deux annoncés à 3mg, (4mg étant une dose heavy). La montée apparait au bout de 30minutes et atteint le plateau au bout d’une heure. Le premier effet est évidement la suppression de toute anxiété accompagnée de légère sédation physique. Je peux néanmoins marcher sans problème d’équilibre à dose légère-moyenne, la confusion est minime et je note une certaine euphorie. Quand les doses sont un peu plus poussées, la sédation revient évidement en force avec une somnolence forte ainsi qu’une confusion poussée au réveil. Le premier soir, j’étais posé en voc avec des amis sur mon canapé, c’était très agréable on aurait dit que j’étais sur un p’tit nuage avec la musique qui me berçait. Des bpm normaux aux alentours de 80. J’ai pu manger sans problème bien que l’appétit soit diminué. Pas de baisse significative de la respiration notable. J’ai passé la soirée devant la télé jusqu’à me laisser tenter par le sommeil vers 2h. Une fois les yeux fermés, les effets ont semblé décuplés puis je me suis endormi. Le lendemain, réveil sans trop de problèmes vers 12h. Ce deuxième drop fut plus conséquent aux vues de la session de la veille qui n’à pas laissé le temps à mon corps d’évacuer. Le dosage étant donc plus puissant et les effets bien plus présents, je me suis endormi sur le plateau vers 16h avec un réveil vers 19h assez confus et évidement un blackout de quelques heures. Les effets étant toujours présents, j’en ai profité toute la soirée puis je me suis endormi sans problème. Pour conclure, je dirai qu’il s’agit d’un benzo « pas mauvais » pour un rc (les benzo rc étant souvent critiqués et trops risqués), le seul effet secondaire notable étant de petites pertes de mémoire d’une dizaine de minutes plusieurs fois dans la journée.
Deschloroétizolam : Demie-vie courte, fonctionnel, anxiolitique.
Prise de deux cachets annoncés à 5mg chacun, (12mg étant un dosage heavy) entre 2h et 5h. Le premier cachet à été drop quart par quart (1 par demie heure sur 2h) et le 2e à été drop en deux moitiés sur 1h. La montée est rapide, en 20min max à chaque drop. Le plateau se caractérise par une suppression de toute anxiété ainsi qu’une euphorie modérée, je n’ai pas senti de sédation particulière avec cette substance, la molécule semble uniquement axée sur le coté anxiolytique. Les effets atteignent leur maximum en moins d’une heure puis durent 5h environs. Même lorsque les doses sont poussées, la sédation et la somnolence ne sont pas hyper fort.
Bromazolam : Demie-vie non précisée (environs 20h ?), sédatif + clarté d'esprit.
Prise de deux cachets annoncés chacun à 3mg entre 22h et 2h du matin. Le plateau est atteint rapidement aux alentours de 30min et se manifeste par une clarté d’esprit surprenante malgré une sédation marquée. Je n’ai pas particulièrement d’euphorie avec cette substance, et ce quel que soit le dosage. A dosage faible, il se rapproche fortement d’une prise légère/modérée d’alcool à mes yeux mais sans l’enthousiasme qui va avec. A forte dose, il est plus comparable à un somnifère. Je me suis endormi vers 2h, avec un court réveil brouillon vers 4h du matin, j’étais à ce moment-là à l’apogée des effets (après tous les drops) et mes principaux effets étaient une confusion physique marquée. En effet, il m’était assez compliqué de marcher et l’ensemble de mon corps était engourdit (au point que j’ai mis plusieurs minutes à me déshabiller. Cependant, la sédation semblait principalement physique et moins axée sur le mental (clarté d’esprit significative et une suppression de l’anxiété peu marquée). Les effets sont longs, plus de 12h car le lendemain matin j’étais encore défoncé (réveil la tête dans le cul) et il m’a fallu 2-3h pour retrouver une bonne clarté d’esprit et ne plus avoir à me concentrer pour marcher droit. Personnellement, je trouve donc qu’il n’a que peu d’utilité hormis celle d’un somnifère, ou d’un trip killer à la limite (cependant pas recommandé étant donné qu’il s’agit d’un rc). Je tiens également à signaler les pertes de mémoires considérables pendant et après la prise « sur l’ensemble du lendemain de la prise », attendez-vous à ne vous souvenir seulement des taches/évènements principaux et à oublier chaque détail de votre journée.
Norflurazepam : Demie-vie allant jusqu’à 250h max. Très anxiolitique, légère somnolence/sédation surpassable.
Prise de 2 cachets annoncés chacun à 5mg (10mg étant un dosage fort) entre 14h et 17h. Le plateau est atteint entre 30min et 1h et se caractérise par une euphorie légère, d’une bonne humeur ainsi qu’une anxiolyse prononcée, le tout accompagné d’une bonne clarté d’esprit. Il semblerait qu’il soit plus psychique que physique, car même en poussant un peu plus les doses, je ne suis pas assommé mais plutôt délaissé de toute anxiété/problème, ce qui me permet de profiter du moment présent. Evidemment, si vous restez allongés devant une série un coup de fatigue se fait sentir, mais il est facilement annulable en se levant prendre l’air (en me posant sur le balcon pour ma part). Etant donné sa très longue demi-vie, les effets anxiolytiques durent longtemps, le lendemain et le jour d’après était dénué de tout stress, ce qui m’a permis de travailler sans problème et rattraper mon sommeil par de bonnes nuits. Evidemment, je déconseille d’abuser sur les dosages car étant donné sa durée de vie, revenir à la normale va être long s’il y a surdosage. Je n’ai pas eu de perte de mémoire notable à un seul moment.
Flunitrazolam : Tape fort mais pas longtemps (4h max), demi-vie de 8h. Risque de convulsions à haute dose.
Prise de deux cachets annoncés chacun à 250mcg (500mcg étant une dose heavy), le premier à 20h30 et le second à 22h.
La montée était longue et douce car j’avais mangé à fond juste avant, pour laisser place au plateau vers 21h30. Le second drop a augmenté le plateau vers 22h40.
Le plateau dure environs 3h avec une baisse des effets pendant 1 à 2h.
Il s’agit d’un benzo condensé qui tape fort mais pas longtemps avec un bon équilibre entre les effets physiques et psychiques. L’anxiolyse met du temps à apparaitre (comme si les effets physiques apparaissent avant) mais se fait très présente par la suite.
J’étais bien, posé, sans anxiété avec une sensation de tête prise, j’ai noté un p'tit body hight que je ne parviendrai pas à expliquer (molécule en elle-même ou juste bon mood ?), l’envie de dormir était forte mais soutenable (j’étais par ailleurs déjà fatigué avant de conso). La relaxation musculaire est forte sans pour autant me poser des problèmes de déambulation. Je suis parti dormir avant 1h du matin.
Ses courts effets sont avantageux dans le sens ou je n’ai pas eu de problème de réveil le lendemain, j’étais en forme sans le moindre effet secondaire. Les pertes de mémoires sont modérément forte, je me souviens de ma soirée et seuls les petits détails ont été oubliés (il à suffit de relire des notes prises pour m’en souvenir).
Bromonordiazepam : Demi-vie extrêmement longue (200h) et synthèse parfois foireuse. Métabolite du gidazépam.
Prise de deux cachets annoncés à 2,5mg chacun, le premier de 15h à 16h et le second de 18h à 20h. La montée et modérée sur 30min, se caractérisant par une tête prise et une faiblesse musculaire, mais bizarrement aucune somnolence. Le plateau est atteint au bout d’hune heure grand maximum. Il se définit par une suppression de toute anxiété même si une certaine confusion mentale et physique se fait présente. Je ne note pas spécialement d’euphorie, mais plutôt une envie de ne rien faire et de profiter du moment présent (je n’ai personnellement rien fait à par me faire à manger et travailler devant la télé). La respiration est normale et les bpm sont lents (60bpm). Je n’ai pas de problèmes pour me mouvoir mais niveau mémoire c’est compliqué, je n’irai pas jusqu’à parler de blackout mais tous les détails sont oubliés et il est compliqué d’effectuer des tâches difficiles, et ce, même le lendemain. Cet état de fatigue permanent m’a fait faire deux grosses nuits de 12h chacune ainsi que deux siestes de 2-3h. Je n’ai pas la tête dans le cul lorsque je me réveil mais il faut trouver le courage de sortir de son lit. Les effets auront donc duré 48h mais l’anxiolyse sera présente au total plus de 3j. Je trouve qu’il j’agit ni d’un benzo récréatif, ni d’un benzo safe car aux vues de ces effets on risque soit de rester à l’état de larve pendant 2j si on prend plus que nécessaire voir même de blackout très longtemps. A utiliser lorsque vous avez du temps devant vous.
Flubromazepam : Mets 3h à monter, dure plusieurs jours, demi-vie de 120h, risque de blackout élevé.
Prise de deux cachets annoncés à 8mg chacun (12mg étant une dose heavy), le premier entre 12h et 14h puis le second entre 16h et 18h. La montée est longue et prenante (plus d’une heure) se manifestant par une forte sédation et quelques étourdissements mais pas de blackout. Une fois la montée passée, un long plateau apparait avec comme caractères une grosse détente, une anxiolyse complète ainsi que des faiblesses musculaires (comme après une grosse séance de sport). Je discerne un léger bodyhigh semblable à ce qu’on peut avoir à faible dose d’opios. Jusqu’ici, les effets sont semblables à ceux d’une ivresse couplée à ceux qu’on à sous dose légère de codéine. J’ai tout de même noté quelques légères nausées après chaque prise. Il s’agit d’un benzo assez « risqué » dans les effets car ils possèdent une très longue montée qui peut pousser à redrop plus que ce qu’il faut et donc de se prendre un très long blackout. Les pertes de mémoires sont légères, seuls les plus petits détails sont oubliés et reviennent rapidement à la raison. Je suis parti dormir vers minuit et me suis vite endormi. Je n’ai pas eu de problèmes durant la nuit. Par sa longue demi-vie, certains effets étaient toujours présent le lendemain. Les deux prochains jours étaient donc rythmés par une forte fatigue (plusieurs siestes) et des effets par vagues. Par moment j’étais en assez bonne forme mais sur des petites périodes de 2-3h j’avais des vagues de fatigues qui pouvaient arriver d’un coup.
Pyrazolam : Demi-vie de 17h. Action anxiolytique, myorelaxante et modérément sédative.
Prise d’un cachet fragmenté entre 20h et 23h ainsi qu’un deuxième entre 13h et 14h, tous deux annoncés à 3mg, (4mg étant une dose heavy). La montée apparait au bout de 30minutes et atteint le plateau au bout d’une heure. Le premier effet est évidement la suppression de toute anxiété accompagnée de légère sédation physique. Je peux néanmoins marcher sans problème d’équilibre à dose légère-moyenne, la confusion est minime et je note une certaine euphorie. Quand les doses sont un peu plus poussées, la sédation revient évidement en force avec une somnolence forte ainsi qu’une confusion poussée au réveil. Le premier soir, j’étais posé en voc avec des amis sur mon canapé, c’était très agréable on aurait dit que j’étais sur un p’tit nuage avec la musique qui me berçait. Des bpm normaux aux alentours de 80. J’ai pu manger sans problème bien que l’appétit soit diminué. Pas de baisse significative de la respiration notable. J’ai passé la soirée devant la télé jusqu’à me laisser tenter par le sommeil vers 2h. Une fois les yeux fermés, les effets ont semblé décuplés puis je me suis endormi. Le lendemain, réveil sans trop de problèmes vers 12h. Ce deuxième drop fut plus conséquent aux vues de la session de la veille qui n’à pas laissé le temps à mon corps d’évacuer. Le dosage étant donc plus puissant et les effets bien plus présents, je me suis endormi sur le plateau vers 16h avec un réveil vers 19h assez confus et évidement un blackout de quelques heures. Les effets étant toujours présents, j’en ai profité toute la soirée puis je me suis endormi sans problème. Pour conclure, je dirai qu’il s’agit d’un benzo « pas mauvais » pour un rc (les benzo rc étant souvent critiqués et trops risqués), le seul effet secondaire notable étant de petites pertes de mémoire d’une dizaine de minutes plusieurs fois dans la journée.
Deschloroétizolam : Demie-vie courte, fonctionnel, anxiolitique.
Prise de deux cachets annoncés à 5mg chacun, (12mg étant un dosage heavy) entre 2h et 5h. Le premier cachet à été drop quart par quart (1 par demie heure sur 2h) et le 2e à été drop en deux moitiés sur 1h. La montée est rapide, en 20min max à chaque drop. Le plateau se caractérise par une suppression de toute anxiété ainsi qu’une euphorie modérée, je n’ai pas senti de sédation particulière avec cette substance, la molécule semble uniquement axée sur le coté anxiolytique. Les effets atteignent leur maximum en moins d’une heure puis durent 5h environs. Même lorsque les doses sont poussées, la sédation et la somnolence ne sont pas hyper fort.
Bromazolam : Demie-vie non précisée (environs 20h ?), sédatif + clarté d'esprit.
Prise de deux cachets annoncés chacun à 3mg entre 22h et 2h du matin. Le plateau est atteint rapidement aux alentours de 30min et se manifeste par une clarté d’esprit surprenante malgré une sédation marquée. Je n’ai pas particulièrement d’euphorie avec cette substance, et ce quel que soit le dosage. A dosage faible, il se rapproche fortement d’une prise légère/modérée d’alcool à mes yeux mais sans l’enthousiasme qui va avec. A forte dose, il est plus comparable à un somnifère. Je me suis endormi vers 2h, avec un court réveil brouillon vers 4h du matin, j’étais à ce moment-là à l’apogée des effets (après tous les drops) et mes principaux effets étaient une confusion physique marquée. En effet, il m’était assez compliqué de marcher et l’ensemble de mon corps était engourdit (au point que j’ai mis plusieurs minutes à me déshabiller. Cependant, la sédation semblait principalement physique et moins axée sur le mental (clarté d’esprit significative et une suppression de l’anxiété peu marquée). Les effets sont longs, plus de 12h car le lendemain matin j’étais encore défoncé (réveil la tête dans le cul) et il m’a fallu 2-3h pour retrouver une bonne clarté d’esprit et ne plus avoir à me concentrer pour marcher droit. Personnellement, je trouve donc qu’il n’a que peu d’utilité hormis celle d’un somnifère, ou d’un trip killer à la limite (cependant pas recommandé étant donné qu’il s’agit d’un rc). Je tiens également à signaler les pertes de mémoires considérables pendant et après la prise « sur l’ensemble du lendemain de la prise », attendez-vous à ne vous souvenir seulement des taches/évènements principaux et à oublier chaque détail de votre journée.
Norflurazepam : Demie-vie allant jusqu’à 250h max. Très anxiolitique, légère somnolence/sédation surpassable.
Prise de 2 cachets annoncés chacun à 5mg (10mg étant un dosage fort) entre 14h et 17h. Le plateau est atteint entre 30min et 1h et se caractérise par une euphorie légère, d’une bonne humeur ainsi qu’une anxiolyse prononcée, le tout accompagné d’une bonne clarté d’esprit. Il semblerait qu’il soit plus psychique que physique, car même en poussant un peu plus les doses, je ne suis pas assommé mais plutôt délaissé de toute anxiété/problème, ce qui me permet de profiter du moment présent. Evidemment, si vous restez allongés devant une série un coup de fatigue se fait sentir, mais il est facilement annulable en se levant prendre l’air (en me posant sur le balcon pour ma part). Etant donné sa très longue demi-vie, les effets anxiolytiques durent longtemps, le lendemain et le jour d’après était dénué de tout stress, ce qui m’a permis de travailler sans problème et rattraper mon sommeil par de bonnes nuits. Evidemment, je déconseille d’abuser sur les dosages car étant donné sa durée de vie, revenir à la normale va être long s’il y a surdosage. Je n’ai pas eu de perte de mémoire notable à un seul moment.
Flunitrazolam : Tape fort mais pas longtemps (4h max), demi-vie de 8h. Risque de convulsions à haute dose.
Prise de deux cachets annoncés chacun à 250mcg (500mcg étant une dose heavy), le premier à 20h30 et le second à 22h.
La montée était longue et douce car j’avais mangé à fond juste avant, pour laisser place au plateau vers 21h30. Le second drop a augmenté le plateau vers 22h40.
Le plateau dure environs 3h avec une baisse des effets pendant 1 à 2h.
Il s’agit d’un benzo condensé qui tape fort mais pas longtemps avec un bon équilibre entre les effets physiques et psychiques. L’anxiolyse met du temps à apparaitre (comme si les effets physiques apparaissent avant) mais se fait très présente par la suite.
J’étais bien, posé, sans anxiété avec une sensation de tête prise, j’ai noté un p'tit body hight que je ne parviendrai pas à expliquer (molécule en elle-même ou juste bon mood ?), l’envie de dormir était forte mais soutenable (j’étais par ailleurs déjà fatigué avant de conso). La relaxation musculaire est forte sans pour autant me poser des problèmes de déambulation. Je suis parti dormir avant 1h du matin.
Ses courts effets sont avantageux dans le sens ou je n’ai pas eu de problème de réveil le lendemain, j’étais en forme sans le moindre effet secondaire. Les pertes de mémoires sont modérément forte, je me souviens de ma soirée et seuls les petits détails ont été oubliés (il à suffit de relire des notes prises pour m’en souvenir).
Bromonordiazepam : Demi-vie extrêmement longue (200h) et synthèse parfois foireuse. Métabolite du gidazépam.
Prise de deux cachets annoncés à 2,5mg chacun, le premier de 15h à 16h et le second de 18h à 20h. La montée et modérée sur 30min, se caractérisant par une tête prise et une faiblesse musculaire, mais bizarrement aucune somnolence. Le plateau est atteint au bout d’hune heure grand maximum. Il se définit par une suppression de toute anxiété même si une certaine confusion mentale et physique se fait présente. Je ne note pas spécialement d’euphorie, mais plutôt une envie de ne rien faire et de profiter du moment présent (je n’ai personnellement rien fait à par me faire à manger et travailler devant la télé). La respiration est normale et les bpm sont lents (60bpm). Je n’ai pas de problèmes pour me mouvoir mais niveau mémoire c’est compliqué, je n’irai pas jusqu’à parler de blackout mais tous les détails sont oubliés et il est compliqué d’effectuer des tâches difficiles, et ce, même le lendemain. Cet état de fatigue permanent m’a fait faire deux grosses nuits de 12h chacune ainsi que deux siestes de 2-3h. Je n’ai pas la tête dans le cul lorsque je me réveil mais il faut trouver le courage de sortir de son lit. Les effets auront donc duré 48h mais l’anxiolyse sera présente au total plus de 3j. Je trouve qu’il j’agit ni d’un benzo récréatif, ni d’un benzo safe car aux vues de ces effets on risque soit de rester à l’état de larve pendant 2j si on prend plus que nécessaire voir même de blackout très longtemps. A utiliser lorsque vous avez du temps devant vous.
Flubromazepam : Mets 3h à monter, dure plusieurs jours, demi-vie de 120h, risque de blackout élevé.
Prise de deux cachets annoncés à 8mg chacun (12mg étant une dose heavy), le premier entre 12h et 14h puis le second entre 16h et 18h. La montée est longue et prenante (plus d’une heure) se manifestant par une forte sédation et quelques étourdissements mais pas de blackout. Une fois la montée passée, un long plateau apparait avec comme caractères une grosse détente, une anxiolyse complète ainsi que des faiblesses musculaires (comme après une grosse séance de sport). Je discerne un léger bodyhigh semblable à ce qu’on peut avoir à faible dose d’opios. Jusqu’ici, les effets sont semblables à ceux d’une ivresse couplée à ceux qu’on à sous dose légère de codéine. J’ai tout de même noté quelques légères nausées après chaque prise. Il s’agit d’un benzo assez « risqué » dans les effets car ils possèdent une très longue montée qui peut pousser à redrop plus que ce qu’il faut et donc de se prendre un très long blackout. Les pertes de mémoires sont légères, seuls les plus petits détails sont oubliés et reviennent rapidement à la raison. Je suis parti dormir vers minuit et me suis vite endormi. Je n’ai pas eu de problèmes durant la nuit. Par sa longue demi-vie, certains effets étaient toujours présent le lendemain. Les deux prochains jours étaient donc rythmés par une forte fatigue (plusieurs siestes) et des effets par vagues. Par moment j’étais en assez bonne forme mais sur des petites périodes de 2-3h j’avais des vagues de fatigues qui pouvaient arriver d’un coup.
