mohamed chirac
Alpiniste Kundalini
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- 9 Juin 2022
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Salut, je vais vous conter des trips assez rigolos qui me laissent de bon souvenirs.
90% des trips, je les faisais avec mon ami Marvin.
Une fois on avait roulé trois purs avec un peu de vodka. Au final on avait pas tellement bu, la weed faisait bien plus rêver. Je rappelle qu'il s'agit d'une variété outsider ! Chargé au moins 50% de THC, voir plus !
Donc on part en trip très vite et on rigole partout en ville. Nos phrases n'ont aucun sens, on par en délire sur un parapluie que mon pote nomme parapluie coïncidence. On a fait toute une randonnée, en chantant, en escaladant. C'est assez drôle. On se pose au final dans une petite cabane dans un jardin d'enfant.
Il n'y avait pas de petits, alors c'était l'occasion rêvée pour fumer à l'intérieur. On continue notre marche et arrivons dans une forêt.
J'avais des hallus quand je regardais au loin. J'ai vu par exemple un bûcheron qui faisait sa besogne.
Nous arrivons au final devant un arbre immense, il est collosal. Je m'empresse de lui faire un câlin et il était chargé d'une telle énergie, que je suis projeté au sol, comme si je me prenais un coup de pied dans le ventre. Je tombe et je commence à vomir. Et avant de lâcher la fin,je prends la peine de faire une roulade arrière. La scène est compliqué à visualiser par écrit, mais c'était hilarant.
Je fumais quelques rares fois chez moi. Les pétards étaient vraiment puissants. De grosses altérations du temps, comme sous LSD, tout semblait lent, les secondes passaient longuement. À cette époque mes parents ne savaient pas que je fumais. Je me cachais sur le balcon et quand j'avais fini revenais discrètement dans ma chambre esquivant mon père qui ronflait comme un gobelin endormi.
Une fois j'étais chez Marvin, la nuit, nous faisions la crémaillère de son nouveau chez lui. Nous fûmâmes et il me présenta son nouveau salon, transformé pour l'occasion en Berneille City.
Berneille city : ville du nouveau salon présenté par la femme au deux doigts, à la voix aiguë et au cul courbée.
La femme au doigt crochus et au cul courbé c'etait mon pote.
Explorer cette nouvelle ville nous fit bien rire.
De mon côté j'inventai un personnage fantastique ressemblant à Goldorak : Captain Barack.
Il faisait un peu peur et nous le redoutions car je voyais ses ombres terrifiantes se dessiner sur les murs.
90% des trips, je les faisais avec mon ami Marvin.
Une fois on avait roulé trois purs avec un peu de vodka. Au final on avait pas tellement bu, la weed faisait bien plus rêver. Je rappelle qu'il s'agit d'une variété outsider ! Chargé au moins 50% de THC, voir plus !
Donc on part en trip très vite et on rigole partout en ville. Nos phrases n'ont aucun sens, on par en délire sur un parapluie que mon pote nomme parapluie coïncidence. On a fait toute une randonnée, en chantant, en escaladant. C'est assez drôle. On se pose au final dans une petite cabane dans un jardin d'enfant.
Il n'y avait pas de petits, alors c'était l'occasion rêvée pour fumer à l'intérieur. On continue notre marche et arrivons dans une forêt.
J'avais des hallus quand je regardais au loin. J'ai vu par exemple un bûcheron qui faisait sa besogne.
Nous arrivons au final devant un arbre immense, il est collosal. Je m'empresse de lui faire un câlin et il était chargé d'une telle énergie, que je suis projeté au sol, comme si je me prenais un coup de pied dans le ventre. Je tombe et je commence à vomir. Et avant de lâcher la fin,je prends la peine de faire une roulade arrière. La scène est compliqué à visualiser par écrit, mais c'était hilarant.
Je fumais quelques rares fois chez moi. Les pétards étaient vraiment puissants. De grosses altérations du temps, comme sous LSD, tout semblait lent, les secondes passaient longuement. À cette époque mes parents ne savaient pas que je fumais. Je me cachais sur le balcon et quand j'avais fini revenais discrètement dans ma chambre esquivant mon père qui ronflait comme un gobelin endormi.
Une fois j'étais chez Marvin, la nuit, nous faisions la crémaillère de son nouveau chez lui. Nous fûmâmes et il me présenta son nouveau salon, transformé pour l'occasion en Berneille City.
Berneille city : ville du nouveau salon présenté par la femme au deux doigts, à la voix aiguë et au cul courbée.
La femme au doigt crochus et au cul courbé c'etait mon pote.
Explorer cette nouvelle ville nous fit bien rire.
De mon côté j'inventai un personnage fantastique ressemblant à Goldorak : Captain Barack.
Il faisait un peu peur et nous le redoutions car je voyais ses ombres terrifiantes se dessiner sur les murs.
