Paasche
Neurotransmetteur
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TR AL-LAD : 185ug d'AL-LAD (soit environ 100/110ug de LSD pour moi).
Drop à 16h45, plateau atteint vers 19h (H+2), donc plutôt long (repas lourd à 14h). J’ai pensé que je n’en avais pas pris assez, que le produit fonctionnait pas, mais c’est finalement arrivé un peu plus tard que prévu (j’avais pas redrop au cas où). La montée est smooth du coup, assez longue, accompagnée en revanche d’un bodyload que j'ai trouvé autant prononcé qu'un autre analogue et cette fois ci une légère nausée ressentie en montée (d'habitude non, c'est peut-être dû à un estomac assez chargé). Afin de m’occuper et dissiper ce léger inconfort, je vais profiter de l’extérieur tant qu’il fait encore jour, tout en faisant à manger aux animaux. Ça se gère relativement bien, tout en s’égarant et en se mettant à fixer un peu les arbres / la nature / le ciel pour profiter de ce soir du juillet.
J’alterne ensuite des moments sur l’ordinateur, étant désormais dégagé de mes obligations animales. Une fois plus posé sur le plateau du trip, j’analyse la situation et me rend compte que la seule vraie différence notable à ce dosage est le côté très euphorique, potentiellement plus qu'un autre analogue. Ce qui explique peut-être sa réputation d'un meilleur bodyhigh, son côté plus accessible, "sympa", notamment pour une première expérience. C'est à modérer par la lourdeur ressentie du côté physique, et cette impression de trop-plein, qui est peut-être très personnelle mais récurrente avec les lysergamides. La prochaine fois j’essayerai de manger léger, mais je n’aime pas trop manger sous LSD, même si j’y parviens habituellement sans trop de difficultés. L'AL-LAD est effectivement bien visuel, mais sans distinction particulièrement marquée à ce dosage avec un autre analogue, peut-être légèrement plus coloré et des déformations d'objets plus profondes (coulées, trous plus profonds à la place de légères ondulations en OEV à ces dosages). ça reste très subjectif ...
Une fois rentré et le soleil couché, j’ai fait un carnage pour manger un bout (coup classique) et j’ai analysé le morphing des carreaux au sol, pourtant habituellement posés à distance équivalente entre eux, cassant aujourd'hui les courbes et créant des dolines assez impressionnantes. En parallèle sur l’ordinateur je me marre de mes activités et vidéos en ligne. Début de redescente qui se fait bien ressentir à 22h (H+5), et afterglow vers 00h (H+7) plus de visuels. On est quand même sur un lysergamide assez court donc !
Conclusion : honnêtement pas de quoi mettre 2x le prix d'un autre LSD pour moi mais bien sympathique quand même (sans combo). Pour un premier dosage et expérience, 150/160ug suffiront aux plus précautionneux tandis que les plus expérimentés pourront probablement partir directement sur des dosages à 200ug et + si affinités
Drop à 16h45, plateau atteint vers 19h (H+2), donc plutôt long (repas lourd à 14h). J’ai pensé que je n’en avais pas pris assez, que le produit fonctionnait pas, mais c’est finalement arrivé un peu plus tard que prévu (j’avais pas redrop au cas où). La montée est smooth du coup, assez longue, accompagnée en revanche d’un bodyload que j'ai trouvé autant prononcé qu'un autre analogue et cette fois ci une légère nausée ressentie en montée (d'habitude non, c'est peut-être dû à un estomac assez chargé). Afin de m’occuper et dissiper ce léger inconfort, je vais profiter de l’extérieur tant qu’il fait encore jour, tout en faisant à manger aux animaux. Ça se gère relativement bien, tout en s’égarant et en se mettant à fixer un peu les arbres / la nature / le ciel pour profiter de ce soir du juillet.
J’alterne ensuite des moments sur l’ordinateur, étant désormais dégagé de mes obligations animales. Une fois plus posé sur le plateau du trip, j’analyse la situation et me rend compte que la seule vraie différence notable à ce dosage est le côté très euphorique, potentiellement plus qu'un autre analogue. Ce qui explique peut-être sa réputation d'un meilleur bodyhigh, son côté plus accessible, "sympa", notamment pour une première expérience. C'est à modérer par la lourdeur ressentie du côté physique, et cette impression de trop-plein, qui est peut-être très personnelle mais récurrente avec les lysergamides. La prochaine fois j’essayerai de manger léger, mais je n’aime pas trop manger sous LSD, même si j’y parviens habituellement sans trop de difficultés. L'AL-LAD est effectivement bien visuel, mais sans distinction particulièrement marquée à ce dosage avec un autre analogue, peut-être légèrement plus coloré et des déformations d'objets plus profondes (coulées, trous plus profonds à la place de légères ondulations en OEV à ces dosages). ça reste très subjectif ...
Une fois rentré et le soleil couché, j’ai fait un carnage pour manger un bout (coup classique) et j’ai analysé le morphing des carreaux au sol, pourtant habituellement posés à distance équivalente entre eux, cassant aujourd'hui les courbes et créant des dolines assez impressionnantes. En parallèle sur l’ordinateur je me marre de mes activités et vidéos en ligne. Début de redescente qui se fait bien ressentir à 22h (H+5), et afterglow vers 00h (H+7) plus de visuels. On est quand même sur un lysergamide assez court donc !
Conclusion : honnêtement pas de quoi mettre 2x le prix d'un autre LSD pour moi mais bien sympathique quand même (sans combo). Pour un premier dosage et expérience, 150/160ug suffiront aux plus précautionneux tandis que les plus expérimentés pourront probablement partir directement sur des dosages à 200ug et + si affinités