JOEL
Matrice Périnatale
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- 6/1/21
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TRIP REPORT
Bonjour à tous ! Je tiens à rappeler que ce TR ne vise en aucune mesure à faire l'éloge d'un certain mode de consommation ou bien d'une substance. Si ce dernier est d'ailleurs écrit, c'est avant tout dans un but de réduction de risques, pour vous illustrer une situation qui n'était typiquement pas appropriée, à mon sens, pour une prise sereine de Salvia. Ces évènement sont évidemment relatés tels que je m'en souviens et tels que je les ait vécus. Bonne lecture !
Chapitre 1 : Cela semblait d'abord être une soirée ordinaire
C'était un vendredi soir, je m'en souviens aujourd'hui encore. Qui, après une longue semaine, ne rêve pas de passer un moment convivial avec des amis pour décompresser quelque peu, dans une vie qui tourne à cent à l'heure ? Nous étions au départ quatre, dont votre serviteur et trois amis, à nous installer chez moi, pour d'abord prendre un verre et discuter. Ce qui devait être au départ un apéritif léger, histoire de prendre des nouvelles de chacun, commence à se prolonger dans la soirée. Rapidement cette soirée prend un autre tournant et monte en intensité, je reprendrais l'élégante formule de l'un de mes camarades pour décrire alors notre objectif : "Ce soir, on se la met copieux". En d'autres termes, nous venions d'acter que nos limites habituelles de consommations allaient être légèrement perturbées, et je sors tout l'attirail pour réaliser notre quête : Tabac, alcool, poppers et cannabis à volonté. Alors que nous bavardions et que nous nous enivrions, un ami fait remarquer que cette soirée manque un peu d'énergie et surtout d'autres personnes. Un autre passe un coup de fil, et vingt minutes plus tard cinq autres lascars rejoignent la troupe pour des aventures toujours plus burlesques. La soirée bat son plein entre musique et défonce, il me semblait affirmer que rien, ou presque rien, ne pouvait nous manquer.
Chapitre 2 : Quand arrive l'idée d'une perche collective de Salvia Pourtant, toute histoire a toujours un élément déclencheur qui peut la faire radicalement basculer. Dans notre cas, celui-ci proviendra de la recherche d'un camarade, qui mécontent de retrouver le sac de Marie-Jeanne vidé, ira effectuer des fouilles plus approfondies dans mon petit placard magique dont il connait l'emplacement. L'idiot revient intrigué quelques minutes plus tard, muni d'un sachet d'extrait de dame Sally que j'avais acquis quelques temps auparavant. La boite de Pandore avait été ouverte. Je dois alors des explications au groupe, qu'est-ce donc que ce pochon suspect ? Je leur évoque un produit dont je ne connais que peu de choses mais qui m'intrigue et que j'aimerais évidemment tester un jour ou l'autre. D'un accord commun, la troupe acte que ce jour était arrivé. Dans l'ivresse du moment, je me laisse embarquer par cette proposition. Et puis merde. Il est vrai que j'ai déjà lu quelques témoignages, la Salvia est quelque chose à prendre au sérieux. Si nous commencions par des dosages légers, peut-être que nous pourrions passer un encore meilleur moment, qui sait ? Et pourquoi pas, tant que l'on y est, tous en profiter, et en même temps ? Tout ce tas d'idées m'apparait avec du recul très stupide quand je sais que nous étions déjà tous bien entamés par les substances évoquées précédemment. Je ne dispose pas à cet instant de cette clairvoyance pour mettre un arrêt à ce chantier, et c'est même moi qui vais le démarrer. Première erreur.
Chapitre 3 : Visite d'une réalité parallèle Tout le groupe me regarde, et pour cause c'est moi le doyen qui doit franchir la première marche. J'attrape une pipe, et l'imbécile que j'étais trouve malin de doser à l'œil la Salvia, car merde les piles la balance ont rendu l'âme. Seconde erreur. Tandis que l'un de mes compagnons dans cette entreprise douteuse m'allume le produit à l'aide d'un briquet chalumeau, j'inspire profondément cette fumée épaisse jusqu'au plus profond de mes poumons, pour la relâcher au bout d'une vingtaine de secondes. Je me sens alors léger, comme posé sur un matelas moelleux. La pipe tourne entre tous les participants et tour à tour, chacun découvre la molécule et ses effets. Deuxième tournée, je reste à peu près sur le même dosage à l'œil ; j'inhale à nouveau la fumée et la retiens le plus longtemps possible. Lorsque je la relâche, je suis pris d'une euphorie et je ferme ainsi les yeux, pour découvrir un monde coloré, quelque peu psychédélique, où des engrenages et des roues tournent dans des circuits sans queue ni tête. Tous ces mouvements n'ont aucun sens, j'essaie en vain de les comprendre. J'ai l'impression de me trouver dans une usine, une usine qui ne produit simplement rien ; tout est tellement incohérent. Je réouvre les yeux, mes camarades sont assis autour de moi en train de planer, je comprends qu'ils ne se sont pas non plus fait attendre. Cette fois-ci je suis déterminé à exploiter le plein potentiel de Sally, je remplis copieusement la pipe et rebelotte. Ultime erreur. L'aventurier inconscient me direz vous, s'apprête à se prendre un claque généreuse. Je relâche une nouvelle fois la fumée, mais cette fois aucun effet ne m'atteint immédiatement. Je commence à discuter avec mon voisin à ma droite, lui demander son ressenti du trip. Il me parle, mais je ne le comprends pas, comme s'il me parlait d'une langue qui m'était inconnue, une sorte de dialecte extraterrestre tellement il m'est peu familier. Je fronce les sourcils. Mais qui es tu ? Probablement que le pauvre bougre s'amuse de moi, ou bien qu'il se sent mal, il a même peut-être besoin d'eau ! Je me dirige vers l'évier, en ayant le sentiment d'être épié par le regard perçant dans mon dos de cet ami devenu pour un temps un drôle de personnage. J'ouvre alors la porte de la cuisine. Qui débouche sur une nouvelle porte. Que j'ouvre à nouveau. Qui débouche elle aussi sur une nouvelle porte. Mais où suis-je ? Je regarde derrière moi. Une porte, encore. Et merde. Ma vision se trouble, perturbée par des artéfacts sombres. Une nausée m'envahit, je me sens confus. J'apparais dans une pièce circulaire, des portes, encore, partout, partout autour de moi ! Mais où mènent ces putains de portes ? Un bourdonnement couplé à des voix mystérieuses traversent mes tympans, le fait de me boucher les oreilles n'y change rien. Ma vision est de plus en plus troublée, j'en suis d'autant plus balbutiant et abasourdi. Le bruit ambiant augmente graduellement, jusqu'à en devenir insupportable.
Puis, néant. Plus rien. Le concept de matière même ne fait plus sens, mais ma conscience persiste à exister. S'il n'existe effectivement plus ce matière à cet instant, comment puis-je seulement penser et moi-même être ? Qui suis-je ? Aurais je atteint cet état post mortem tant fantasmé où conscience se détacherait du corps ? Il n'y a rien autour de moi, je ne peux pas me déplacer car mon propre corps même ne donne pas de réponse. Il y a quelqu'un ? Je n'ai jamais connu cet état, je me sens à la fois perdu et omniscient, d'une manière assez paradoxale que je ne pourrais détailler. Ici, le temps ne passe pas, j'aurais atteint un lieu qui s'affranchit de toutes les règles de l'Univers, ou qui d'une manière certainement plus probable perturbe mes sens au plus haut niveau.
Voir la pièce jointe 3
Puis me reviennent peu à peu des souvenirs : J'étais autrefois un homme, qui a vécu une soirée mouvementée, qui a pris de la Salvia sur un coup de tête avec ses potes, qui a entrevu une espèce d'usine aberrante, qui ne s'est pas posé de questions, qui en a voulu plus, qui en a voulu encore plus, qui a passé des portes, qui a atteint le néant, le néant, le né..
Je suis soudainement pris d'une énorme bouffée d'air, mes poumons se gonflent, je suis tiré vers l'arrière à toute vitesse, sans savoir où je vais, et j'atterris. Je retrouve la sensation de mon corps, mes doigts bougent, mes paupières s'ouvrent. Mes amis autour de moi me regardent et s'esclaffent. Je serais resté perché un bout de temps selon eux. Je n'aurais en réalité même pas bougé de mon siège, je n'aurais jamais parlé avec mon voisin, je ne me serais jamais levé pour chercher de l'eau. Tout cela, inventé de toutes pièces. J'en reste pantois, il est temps pour moi de calmer le jeu, histoire d'éviter un incident. Les autres acceptent et me confient d'ailleurs unanimement qu'il se sont arrêtés à leur deuxième taffe tant ils ont senti le puissance de la Salvia qui pouvait les écraser à tout instant. Une sagesse dont j'aurais aimé bénéficier si j'avais été moins bourrin. Pour la suite, la soirée se termine tranquillement pour tout le monde, fin de l'aventure.
Conclusion A titre personnel, cette expérience me laisse dubitatif. Je ne sais pas trop quoi en penser, j'aurais du mal à la qualifier de positive mais je n'ai pas non plus ressenti de mal-être à postériori, notez que je n'ai jamais repris de Salvia depuis. Pas d'autre leçon à retenir que de respecter dame Sally à l'avenir. Je vous laisser ainsi juger par vous-mêmes de la qualité de ce Set&Settings. La Salvia reste une molécule très potente et je ne recommande pas son mélange avec les autres substances évoquées ici. Cela rajoute selon moi beaucoup de confusion à un trip qui est déjà assez complexe à interpréter. A titre de conseil, restez toujours prudents dans vos dosages et assurez vous d'être en confiance si vous en prenez avec d'autres gens.
Prenez soin de vous,
Peace, JOËL
Bonjour à tous ! Je tiens à rappeler que ce TR ne vise en aucune mesure à faire l'éloge d'un certain mode de consommation ou bien d'une substance. Si ce dernier est d'ailleurs écrit, c'est avant tout dans un but de réduction de risques, pour vous illustrer une situation qui n'était typiquement pas appropriée, à mon sens, pour une prise sereine de Salvia. Ces évènement sont évidemment relatés tels que je m'en souviens et tels que je les ait vécus. Bonne lecture !
Chapitre 1 : Cela semblait d'abord être une soirée ordinaire
C'était un vendredi soir, je m'en souviens aujourd'hui encore. Qui, après une longue semaine, ne rêve pas de passer un moment convivial avec des amis pour décompresser quelque peu, dans une vie qui tourne à cent à l'heure ? Nous étions au départ quatre, dont votre serviteur et trois amis, à nous installer chez moi, pour d'abord prendre un verre et discuter. Ce qui devait être au départ un apéritif léger, histoire de prendre des nouvelles de chacun, commence à se prolonger dans la soirée. Rapidement cette soirée prend un autre tournant et monte en intensité, je reprendrais l'élégante formule de l'un de mes camarades pour décrire alors notre objectif : "Ce soir, on se la met copieux". En d'autres termes, nous venions d'acter que nos limites habituelles de consommations allaient être légèrement perturbées, et je sors tout l'attirail pour réaliser notre quête : Tabac, alcool, poppers et cannabis à volonté. Alors que nous bavardions et que nous nous enivrions, un ami fait remarquer que cette soirée manque un peu d'énergie et surtout d'autres personnes. Un autre passe un coup de fil, et vingt minutes plus tard cinq autres lascars rejoignent la troupe pour des aventures toujours plus burlesques. La soirée bat son plein entre musique et défonce, il me semblait affirmer que rien, ou presque rien, ne pouvait nous manquer.
Chapitre 2 : Quand arrive l'idée d'une perche collective de Salvia Pourtant, toute histoire a toujours un élément déclencheur qui peut la faire radicalement basculer. Dans notre cas, celui-ci proviendra de la recherche d'un camarade, qui mécontent de retrouver le sac de Marie-Jeanne vidé, ira effectuer des fouilles plus approfondies dans mon petit placard magique dont il connait l'emplacement. L'idiot revient intrigué quelques minutes plus tard, muni d'un sachet d'extrait de dame Sally que j'avais acquis quelques temps auparavant. La boite de Pandore avait été ouverte. Je dois alors des explications au groupe, qu'est-ce donc que ce pochon suspect ? Je leur évoque un produit dont je ne connais que peu de choses mais qui m'intrigue et que j'aimerais évidemment tester un jour ou l'autre. D'un accord commun, la troupe acte que ce jour était arrivé. Dans l'ivresse du moment, je me laisse embarquer par cette proposition. Et puis merde. Il est vrai que j'ai déjà lu quelques témoignages, la Salvia est quelque chose à prendre au sérieux. Si nous commencions par des dosages légers, peut-être que nous pourrions passer un encore meilleur moment, qui sait ? Et pourquoi pas, tant que l'on y est, tous en profiter, et en même temps ? Tout ce tas d'idées m'apparait avec du recul très stupide quand je sais que nous étions déjà tous bien entamés par les substances évoquées précédemment. Je ne dispose pas à cet instant de cette clairvoyance pour mettre un arrêt à ce chantier, et c'est même moi qui vais le démarrer. Première erreur.
Chapitre 3 : Visite d'une réalité parallèle Tout le groupe me regarde, et pour cause c'est moi le doyen qui doit franchir la première marche. J'attrape une pipe, et l'imbécile que j'étais trouve malin de doser à l'œil la Salvia, car merde les piles la balance ont rendu l'âme. Seconde erreur. Tandis que l'un de mes compagnons dans cette entreprise douteuse m'allume le produit à l'aide d'un briquet chalumeau, j'inspire profondément cette fumée épaisse jusqu'au plus profond de mes poumons, pour la relâcher au bout d'une vingtaine de secondes. Je me sens alors léger, comme posé sur un matelas moelleux. La pipe tourne entre tous les participants et tour à tour, chacun découvre la molécule et ses effets. Deuxième tournée, je reste à peu près sur le même dosage à l'œil ; j'inhale à nouveau la fumée et la retiens le plus longtemps possible. Lorsque je la relâche, je suis pris d'une euphorie et je ferme ainsi les yeux, pour découvrir un monde coloré, quelque peu psychédélique, où des engrenages et des roues tournent dans des circuits sans queue ni tête. Tous ces mouvements n'ont aucun sens, j'essaie en vain de les comprendre. J'ai l'impression de me trouver dans une usine, une usine qui ne produit simplement rien ; tout est tellement incohérent. Je réouvre les yeux, mes camarades sont assis autour de moi en train de planer, je comprends qu'ils ne se sont pas non plus fait attendre. Cette fois-ci je suis déterminé à exploiter le plein potentiel de Sally, je remplis copieusement la pipe et rebelotte. Ultime erreur. L'aventurier inconscient me direz vous, s'apprête à se prendre un claque généreuse. Je relâche une nouvelle fois la fumée, mais cette fois aucun effet ne m'atteint immédiatement. Je commence à discuter avec mon voisin à ma droite, lui demander son ressenti du trip. Il me parle, mais je ne le comprends pas, comme s'il me parlait d'une langue qui m'était inconnue, une sorte de dialecte extraterrestre tellement il m'est peu familier. Je fronce les sourcils. Mais qui es tu ? Probablement que le pauvre bougre s'amuse de moi, ou bien qu'il se sent mal, il a même peut-être besoin d'eau ! Je me dirige vers l'évier, en ayant le sentiment d'être épié par le regard perçant dans mon dos de cet ami devenu pour un temps un drôle de personnage. J'ouvre alors la porte de la cuisine. Qui débouche sur une nouvelle porte. Que j'ouvre à nouveau. Qui débouche elle aussi sur une nouvelle porte. Mais où suis-je ? Je regarde derrière moi. Une porte, encore. Et merde. Ma vision se trouble, perturbée par des artéfacts sombres. Une nausée m'envahit, je me sens confus. J'apparais dans une pièce circulaire, des portes, encore, partout, partout autour de moi ! Mais où mènent ces putains de portes ? Un bourdonnement couplé à des voix mystérieuses traversent mes tympans, le fait de me boucher les oreilles n'y change rien. Ma vision est de plus en plus troublée, j'en suis d'autant plus balbutiant et abasourdi. Le bruit ambiant augmente graduellement, jusqu'à en devenir insupportable.
Puis, néant. Plus rien. Le concept de matière même ne fait plus sens, mais ma conscience persiste à exister. S'il n'existe effectivement plus ce matière à cet instant, comment puis-je seulement penser et moi-même être ? Qui suis-je ? Aurais je atteint cet état post mortem tant fantasmé où conscience se détacherait du corps ? Il n'y a rien autour de moi, je ne peux pas me déplacer car mon propre corps même ne donne pas de réponse. Il y a quelqu'un ? Je n'ai jamais connu cet état, je me sens à la fois perdu et omniscient, d'une manière assez paradoxale que je ne pourrais détailler. Ici, le temps ne passe pas, j'aurais atteint un lieu qui s'affranchit de toutes les règles de l'Univers, ou qui d'une manière certainement plus probable perturbe mes sens au plus haut niveau.
Voir la pièce jointe 3
Puis me reviennent peu à peu des souvenirs : J'étais autrefois un homme, qui a vécu une soirée mouvementée, qui a pris de la Salvia sur un coup de tête avec ses potes, qui a entrevu une espèce d'usine aberrante, qui ne s'est pas posé de questions, qui en a voulu plus, qui en a voulu encore plus, qui a passé des portes, qui a atteint le néant, le néant, le né..
Je suis soudainement pris d'une énorme bouffée d'air, mes poumons se gonflent, je suis tiré vers l'arrière à toute vitesse, sans savoir où je vais, et j'atterris. Je retrouve la sensation de mon corps, mes doigts bougent, mes paupières s'ouvrent. Mes amis autour de moi me regardent et s'esclaffent. Je serais resté perché un bout de temps selon eux. Je n'aurais en réalité même pas bougé de mon siège, je n'aurais jamais parlé avec mon voisin, je ne me serais jamais levé pour chercher de l'eau. Tout cela, inventé de toutes pièces. J'en reste pantois, il est temps pour moi de calmer le jeu, histoire d'éviter un incident. Les autres acceptent et me confient d'ailleurs unanimement qu'il se sont arrêtés à leur deuxième taffe tant ils ont senti le puissance de la Salvia qui pouvait les écraser à tout instant. Une sagesse dont j'aurais aimé bénéficier si j'avais été moins bourrin. Pour la suite, la soirée se termine tranquillement pour tout le monde, fin de l'aventure.
Conclusion A titre personnel, cette expérience me laisse dubitatif. Je ne sais pas trop quoi en penser, j'aurais du mal à la qualifier de positive mais je n'ai pas non plus ressenti de mal-être à postériori, notez que je n'ai jamais repris de Salvia depuis. Pas d'autre leçon à retenir que de respecter dame Sally à l'avenir. Je vous laisser ainsi juger par vous-mêmes de la qualité de ce Set&Settings. La Salvia reste une molécule très potente et je ne recommande pas son mélange avec les autres substances évoquées ici. Cela rajoute selon moi beaucoup de confusion à un trip qui est déjà assez complexe à interpréter. A titre de conseil, restez toujours prudents dans vos dosages et assurez vous d'être en confiance si vous en prenez avec d'autres gens.
Prenez soin de vous,
Peace, JOËL