forêt
Sakura
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- 14 Mai 2023
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Yo les noctambules 
Comme j'ai été touché par quelques réalisateur japonais des années 50, je me permets de vous présenter certains de leurs films.
- kenji mizoguschi 溝口 健二
Une femme dont on parle 噂の女
Ce film de geisha traite de la difficulté qu'éprouvent les femmes du japon de l'époque à ne dépendre que d'elles-même.
On y retrouve le stéréotype de la jeune fille livrée à la honte après sa rupture avec un homme qui n'était pas son mari.
Elle tente donc de se suicider puis rejoint "l'ordre" des geisha.
Le film racconte la difficulté à s'imposer dans ce milieu où règne la concurence pour s'emparer des hommes les plus influent dans le but de payer leur étude, ou de racheter leur liberté selon le point de vue.
L'esthetisme est saisissant malgré l'absence de couleur : une scène en particulier montre toute la beauté de l'art scénique exploité par ces femme
Cela n'est pas sans rappeler le film Mémoires d'une geisha de Rob Marshall, notemant la scène culte de la représentation scénique absolument magistrale
Les contes de la Lune vague après la pluie 雨月物語
Ce conte explique le destin de deux frères qui décident de profité de la hausse des prix dûe à la guerre pour vendre plus de poteries. L'un veux devenir samourail et espère pouvoir se payer un ensemble digne de cette profession ; l'autre n'a de cesse de vouloir générer toujours plus d'argent grâce à ses oeuvres.
Mais la gloire de l'un emporte sa famille dans la mort quand l'avarice de l'autre le livre aux fantômes.
Ce film traite, vous l'aurez compris, des aspects néfastes de l'ambition.
Les costumes, musiques, moeurs et bribes de mythologie tout-à-fait traditionnels sont captivants et sauront vous faire voir les couleurs qui pourtant ne s'afficheront pas
- Yasujirō Ozu 小津 安二郎
La musique est occidentalisée, telle le pays tout entier en cette période d'après-guerre. Les costumes son tradis pour les vieux et occidentaux pour les jeunes. Le deuil y est évoqué ; celle qui perd les siens est heureuse de retrouver les ancêtres qui les ont dédiés à son quotidien.
Une magnifique critique de la modernité
pour un lien durable
sinon disponible en français et en meilleur qualité sur arte.tv jusqu'au 29 de ce mois-ci :
www.arte.tv
Comme j'ai été touché par quelques réalisateur japonais des années 50, je me permets de vous présenter certains de leurs films.
- kenji mizoguschi 溝口 健二
Une femme dont on parle 噂の女
Ce film de geisha traite de la difficulté qu'éprouvent les femmes du japon de l'époque à ne dépendre que d'elles-même.
On y retrouve le stéréotype de la jeune fille livrée à la honte après sa rupture avec un homme qui n'était pas son mari.
Elle tente donc de se suicider puis rejoint "l'ordre" des geisha.
Le film racconte la difficulté à s'imposer dans ce milieu où règne la concurence pour s'emparer des hommes les plus influent dans le but de payer leur étude, ou de racheter leur liberté selon le point de vue.
L'esthetisme est saisissant malgré l'absence de couleur : une scène en particulier montre toute la beauté de l'art scénique exploité par ces femme
Les contes de la Lune vague après la pluie 雨月物語
Ce conte explique le destin de deux frères qui décident de profité de la hausse des prix dûe à la guerre pour vendre plus de poteries. L'un veux devenir samourail et espère pouvoir se payer un ensemble digne de cette profession ; l'autre n'a de cesse de vouloir générer toujours plus d'argent grâce à ses oeuvres.
Mais la gloire de l'un emporte sa famille dans la mort quand l'avarice de l'autre le livre aux fantômes.
Ce film traite, vous l'aurez compris, des aspects néfastes de l'ambition.
Les costumes, musiques, moeurs et bribes de mythologie tout-à-fait traditionnels sont captivants et sauront vous faire voir les couleurs qui pourtant ne s'afficheront pas
- Yasujirō Ozu 小津 安二郎
Voyage à Tokyo 東京物語
Après les ravages de la seconde guerre mondial, un couple de retraités partent en visite chez leurs enfants. Ceux-ci, embrouillé par les problèmes liés aux enfants et au travail, n'ont guère de temps à leur accorder : comme la lente reconstruction des villes, les famille se dissloquent et cherchent pourtant à maintenir des liens en dépit d'énormes boulversements. On envoie déjà les vieux au loin, comme un soucis en moinsLa musique est occidentalisée, telle le pays tout entier en cette période d'après-guerre. Les costumes son tradis pour les vieux et occidentaux pour les jeunes. Le deuil y est évoqué ; celle qui perd les siens est heureuse de retrouver les ancêtres qui les ont dédiés à son quotidien.
Une magnifique critique de la modernité
sinon disponible en français et en meilleur qualité sur arte.tv jusqu'au 29 de ce mois-ci :
Voyage à Tokyo - Regarder le film complet | ARTE
En visite chez leurs enfants à Tokyo, Shukishi et Tomi, un couple âgé, sont confrontés à l’égoïsme de leurs proches dans un monde en mutation... Le chef-d’oeuvre d’Ozu, poème visuel délicat et poignant, qui fit connaître sur le tard le cinéaste japonais en France.
www.arte.tv
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