Ô ma muse, ainsi vous m’abandonnâtes,
Ainsi vous fuîtes, me laissant diminué,
Pleurant sur une photo de votre chatte,
Un grand froid fut soufflé sur mon esprit givré.
Et me voici une nouvelle fois bien seul
Tel une âme en peine, errant dans les limbes
Et larmoyant amèrement dans son linceul...