https://scitechdaily.com/archaeologists-...ent-europe

Une étude (Direct evidence of the use of multiple drugs in Bronze Age Menorca (Western Mediterranean) from human hair analysis) vient de paraître sur l'utilisation de l'atropine, de la scopolamine, et de l'éphédrine pendant l'Âge du Bronze à Minorque en Espagne. Des cheveux trouvés en contexte funéraire et datés d'il y a environ 3000 ans en contiennent des traces. Cependant, il reste difficile de savoir si les doses utilisées étaient réellement psychoactives. Les plantes localement présentes contenant ces molécules sont la mandragore (Mandragora autumnalis), la jusquiame (Hyoscyamus albus), la datura stramoine (Datura stramonium), et l'éphédra (Ephedra fragilis).

   

Ce classique des années 70 va trouver une réédition en plusieurs langues.
"Avec le retour des hallucinogènes dans le milieu de la recherche, ce n'était qu'une question de temps : les hallucinogènes sont en effets prometteurs pour modeler l'esprit et mettre fin aux comportements problématiques. La jeunesse d'aujourd'hui, disposant d'une richesse inégalée dans l'histoire de l'humanité et d'une attention permanente des institutions, développe des tendances à l'indiscipline et au laxisme, comme en témoignent les taux de chômage élevés, les manifestations et le dégoût généralisé pour l'investissement dans la communauté."

De plus en plus d'études scientifiques mettent en avant les bénéfices d'un travail thérapeutique sous hallucinogènes dès l'enfance. Comme le dit justement le Dr. Georges Orbad, fameux pour ses travaux sur l'éducation depuis 1984 : "Les psychédéliques ont cette propriété de dissoudre les structures de croyance qui posent problème au bon développement de l'individu, laissant l'esprit neuf et purifié. Agir dès l'enfance, c'est éveiller l'individu à sa vraie nature, guidé par l'expérience de ses aînés dans la nécessité de bâtir une vision commune et unie, pour forger les adultes sains de demain."

Un livre indispensable, "bientôt classique de l'éducation nationale" selon Pascal le Grand Frère (plus connu à l'étranger comme Pascal Big Bro').

Hello les Psychos, cette semaine, je nous invite à réfléchir au lien entre nos consommations et la création , artistique ou en général, votre sentiment de créativité . 

Le mythe que certaines substances aideraient à la création me semble largement implanté dans notre société , le cliché de l'artiste illuminé par la drogue, au bord de la folie ou du génie, et qu'en est-il dans votre réalité?

Mais c'est aussi paradoxalement assez connu que la consommation peut au contraire brider toute motivation ou esprit critique sur son oeuvre .

Qu'en est-il de la création sous produit ? Certaines expériences ont-elles particulièrement influencées vos aventures créatives? 

https://www.youtube.com/watch?v=8UXircX3VdM&t=713s

Pour a peine etre cliché :P

Salut ! Il m'importe de commencer ce topic hebdo par un débunk nécessaire :

Non, toucher un animal quand on est perché ne le perche pas à son tour !

Mais cette légende urbaine à le mérite de soulever pas mal de questions.
D'abord, peut-être qu'il vaut effectivement mieux éviter de toucher des bestioles quand on est perché, dans le sens où on peut les blesser, les opresser, etc. Question de respect et de sécurité.
Ensuite, c'est vrai qu'on a souvent l'impression que les animaux font des trucs chelous, quand on est perché. Est-ce qu'ils réagissent à un état inhabituel chez nous ? Ou est-ce nous qui les voyons différemment ?

Bref, voici le sujet de ce topic hebdo : quel est votre rapport aux animaux quand vous prenez des drogues ? Les vôtres, ceux de vos potes, ou alors les animaux sauvages. Avez-vous des principes à ce sujet ? Des anecdotes à partager ?

C'est à vous !

Bonjour, 

Dans le cadre de mon mémoire de recherche en psychologie (Ecole de Psychologues Praticiens), je m’intéresse à l’usage des psychédéliques dans un contexte privé.  
Pour ce faire, je recherche des personnes majeures qui ont consommé plus d’une fois une ou plusieurs des substances suivantes : LSD, psilocybine (champignons hallucinogènes), mescaline (peyotl), DMT (ayahuasca). 
  
La participation à cette étude consiste en un entretien individuel d’une heure environ. C’est avant tout votre expérience que je souhaite recueillir, dans la perspective de mieux cerner les dynamiques d’usage. Plus largement, l’un des objectifs de cette recherche est de sensibiliser les professionnels du soin aux vécus liés à la prise de psychédéliques.    
Les informations récoltées resteront strictement anonymes et confidentielles.  

Si vous êtes intéressé(e)s, vous pouvez me contacter via la messagerie de psychonaut ou m’écrire à l’adresse suivante : esther. coudin @ outlook. fr. Je reviendrai alors vers vous pour vous donner de plus amples informations.  
J'aimerais, autant que possible, faire des entretiens en présentiel. Si vous êtes en région lyonnaise c'est donc encore mieux. La visio est bien entendu envisageable !

Je reste disponible pour répondre à vos éventuelles questions. Au plaisir d’échanger avec vous !