Eh bien, pour tout vous dire, j'aime beaucoup, beaucoup, lire Burroughs sous LSA. Feuilleter le Festin Nu ou les Garçons Sauvages dans cet état de félicité absolue, d'ouragan d'extase, où bourrasques et spumes ravinent votre visage de joie, mais où également la forme s'affecte d'une flaccidité...