Un vent estival souffle sa chaude haleine
Sur nos corps immobiles, dans le creux de nos cous
Que d’étranges positions on n’peu moins naturelles
Rappellent sombrement des cadavres un peu fous.
Gisants, étendus, contorsionnés, dévêtus
Nous dormons tranquilles de nos derniers sommeils,
Et...