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TR (long long)champote Hawaïen Bad trip from belgium

Cedoux

Matrice périnatale
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1 Déc 2014
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16
Préambule
Cette histoire s’étant passé il y a bientôt 10ans, j’avais donc une vingtaine d’année à l'époque des faits.
Vous trouverez ici le récit d’un bad trip qui a eu lieu en Belgique, à Liege, il m'aura fallut attendre 1 an jour pour jour pour me mettre à l'écrire sur des feuilles de papiers afin d'en être exorcisé une bonne fois pour toute.
N.B : pour ce qui est de la différenciation entre le réel de l’imaginaire, je vais le mettre entre ( )

Set and Setting
Tout commence un jour de janvier, juste après les fêtes de l’an et de noël, un vendredi si ma mémoire est bonne. J’arrive donc dans la jolie ville de liége, prêt à rivaliser avec le monde et avec la ferme intention de me déchirer la tête ce week end car les exams sont passés, que tout va pour le mieux et qu’il faut que je me sorte un peu la tête de tout les tracas quotidien. On me promet la lune et le soleil servit avec des couverts en argent. Je prends place dans une voiture pot-de-yahourt et choppe au passage un bon pétard, que je m’empresse de fumer. Je dis bonjour à la compagnie que je ne connais ni d’Ève ni d’Adam et ils m’accueillent avec un grand sourire. Le type chez qui je suis invité me regarde avec un grand sourire, c’est mon pote du primaire et du collège, une grande histoire d’amitié en gros. L’air ravi et complément détaché du monde, je me laisse aller au doux son des Doors et en route pour la frontière hollandaise

Environnement inconnu, des gens inconnus…toutes les conditions sont réunies pour que ça parte en couille à la moindre occasion.

Une demie heure de route plus tard, on arrive à destination prêt d’un port où règne un je ne sais quoi qui m’inquiète car il fait nuit et froid mais j’ai la tête dans les nuages, on fait nos emplettes, je prends de hawaiiens (la dose me souviens plus, parait que c'était beaucoup) en guise d’amuses gueule malgré les avertissements du vendeur.
15minutes de trajet plus tard, rencontre d’une patrouille d’hommes en bleu, qui nous font signe de nous arrêter.

La prise
Le mot d’ordre dans ce cas la c’est : on donne tout ce qu’on a, on ne risque pas grand-chose, mais pour ce qui est des malheureux schtroumpfs, il faut vite les gober (je vide toute la boite forcément…) sous peine de grossen problemen. Nous nous exécutâmes donc en cœur, et je dois dire que ce n’est pas vraiment bon ces truc la, nature. On fait bonne figure, j’arbore un smile à décrocher les étoiles, ils prennent nos pochettes, les inspectent un instant et nous les rendent, sans omettre de nous souhaiter un bon retour chez les belges, une fois !

On arrive alors dans une ruelle qui ne laisse la place que pour le pot de yaourt et rien d’autre, très étroite et nous sortons difficilement de l’engin. Pittoresque comme endroit, près du carré etc. La classe ultime pour tout bon belge qui se respecte.
J’arrive alors au terme de 4 longs étages dans un appart très accueillant, et je me jette le premier sur la cannap’ car c’est la meilleur place et que je suis un peu raide à ce moment. On picole donc et j’en oublie que je viens il y a quelque instant d’ingurgiter ce qui pourrait être pour moi le dernier aliment de mon existence.

Ca monte
C’est a ce moment que se déclanche un je ne sais pas trop quoi, qui m’oblige à donner beaucoup d’importance aux objets environnants. Je fixe donc un grille pain qui me semble un peu louche vu sa forme aux allures étranges. Un peu inquiet je m’en approche et je le vois bouger et onduler sur place comme si soudain la vie l’avait parcouru lors d’un instant. Puis je m’en retourne à ma préoccupation première, boire mon verre de whisky, qui lui aussi semble avoir pris une drôle de forme. De plus, la boule à facette accrochée au plafond et la musique tribe électro jazz space n’est pas innocente à l’atmosphère qui se dégage de cet appartement qui m’apparaît plus hostile qu’auparavant. Je me calme un peu, c’est l’effet de gargamelle sur mon organisme. Je participe donc à la discussion qui devient de plus en plus incompréhensible et cela ne m’aide pas vraiment à maintenir un rythme d’activité assez accéléré pour ralentir la montée en puissance du psychotrope qui commence à me posséder. En effet, je le sens venant du fond de ma gorge, remontant le long des tempes, comme si un arbre poussait à l’intérieur de moi. Je me calme donc en fumant un gros pet et la je vois de jolies vapeur osciller devant mes yeux, mes mains prendre des formes plutôt marrante tel que de la gum à mâcher ou bien des moitiés de chromosomes. Pour accentuer ma vision, je me lance alors dans un ballet, mes deux mains se joignant et rejoignant l’une et l’autre, ressemblant alors à une séparation chromosomique, peut être est-ce la biologie au lycée qui me faisait peur, je ne sais pas trop. Toujours est-il que cela ne fait que commencer car je sens les murs s’éloigner de moi, et le petit appart de mon pote devient une cour de louis XIV, il me faut alors 10 bonnes minutes pour traverser la pièce d’un bout à l’autre pour aller pisser car la porte qui y mène mesure prêt d’une dizaine de mettre de haut et qu’il me faut l’aide d’un tabouret pour accéder à la poignet de celle-ci. Je vous dis pas le mal que j’avais, tout mes membres au ralentit. Je ressors du lieu dit et croise mon pote entouré dans un tapis blanc, et deux demoiselles lui courant après car elles en voulaient certainement au tapis, c’est la réflexion la qui m’est passée par la tête à cet instant et rien d’autre.

Un trip qui commence plutôt bien en somme.

En m’intéressant de plus près aux personnes présentes, je m’aperçois qu’il y a quelques nouveaux dans le lot, peut être étaient ils arrivé après moi, je ne saurais dire avec exactitude. Ils sont tous par terre, à rire et jouer aux cartes. Mon regard se pose sur une demoiselle aux cheveux d’un noir plus qu’inquiétant et je vois poindre sur sa tête des petites cornes et des dessins tribaux se dessiner sur son visage et sur ces bras. Je me demande alors si je la connais elle, ou alors si ce n’est pas moi qui fais un rêve plutôt bizarre sur le coup. Mais non, c’est réel et tout autour de moi devient comme assourdit par une bulle qui m’entoure et m’empêche de regarder devant moi. Je suis alors obligé de me mettre sur le canapé et boire mon whisky. Et la je suis seul dans mon coin, abandonné de tous, aucun point d’accroche pour me retenir à la réalité, mes réflexes sont quelque peu perturbés et je laisse échapper ce verre, qui finit dans ma chemise et me donne froid dans tout le corps. Je sais pas trop ce qui m’a traversé l’esprit à cet instant, mais je fus curieux de voir la tache de whisky sur ma chemise, et quelle surprise quand je m’aperçus que celle-ci était d’une belle couleur rouge, et que j’avais un couteau dans une main et du sang sur l’autre. Impossible me dis-je, mais je vais vérifier en demandant un avis à la population.

La goutte qui fera déborder le vase
J’étais la, debout devant eux à les regarder, et eux n’avait de cesse de regarder mon ventre, et par terre, à nettoyer je ne sais quelle tache sur le sol, mais ils me suivaient du regard et me pausaient des questions que je ne discernais que très peu. « Denis (c’est même pas mon prénom) assied toi, Denis tu vas bien ? Regarde-moi, tu as mal ? Calme toi tout va bien, on t’emmène (à l’hôpital) dehors prendre l’air (tenez le il perd beaucoup de sang) »
Moi de répondre « Hein ? Regardez je saigne, j’ai du faire une connerie, je me souviens pas, j’ai pas mal, sa doit être les champotes c’est bizarre, en plus je vous connais pas, je ne sais pas ce que je fous si loin de chez moi, pourquoi je suis ici, en fait on a eu un accident en bagnol, et vous vous êtes la pour me transporter sa doit être ça, je veux aller dehors, ici c’est trop fermé »
« (T’inquiète pas fiston, on va prendre soin de toi, quant à tes amis nous ne sommes pas sûr de les sauver, vous avez pris de la drogue et ensuite conduit sur l’autoroute, regarde moi ça, lui il n’a plus tout ces membres, un vrai carnage, allez on le transporte) »
Je commence alors sévèrement à m’inquiéter de plus en plus, et la je matte ma montre…A partir de ce moment, je change totalement d’optique, car cette montre m’indique l’heure à laquelle nous avons quitté les gendarmes sur la route, comme si le temps s’était arrêté ensuite. Panique à bord je crois que je flippe grave et l’hypothèse d’être sous l’effet des psychotropes ne me vient même plus l’esprit, je suis convaincu d’être dans une civière, et que l’on me transporte dans une ambulance, j’entends les sirènes ainsi que le respirateur artificiel qu’ils m’ont mis dans la gorge, impossible de l’enlever et je ne sens plus mes membres. On arrive dehors, l’air est doux, je ne ressens pas grand-chose la rue est immense, les maisons sont des immeubles et il n’y a personne dehors, à part moi et les infirmières avec les deux médecins.

Nouvelles perturbations, je matte vite fait les plaques d’immatriculations des voitures des alentours, elles sont immatriculées dans mon département, en France alors que je suis sensé être en Belgique.

On me propose une balade dans le parc, mais la aussi horreur, ce parc n’est autre que le parc où je jouais étant tout petit et l’endroit me parait totalement familier, un peu trop même pour que ce soit une coïncidence. Je suis en plein délire, les mots des gens qui m’entourent ne m’atteignent plus, je vois leurs bouches se mouvoir et des voix que je crée viennent se mettre sur leurs lèvres. Mon imagination est en pleine composition d’un chef d’œuvre d’hallucination dont je suis le maître, mais je suis trop défoncé pour tout maîtriser. Je me vois alors tendant une clope à mon ami, qui n’a plus la même gueule. Je m’imagine alors que c’est un bon docteur qui me prend sous son aile ce soir, car tout va mal et que je dois être le seul survivant. J’accepte donc cette éventualité et des larmes coulent sur ma joue, car je pense à toutes les choses que je pourrais faire si j’avais pas fait le con, si j’étais resté chez moi, avec ma petite brune qui m’aime tant ou bien à tout mes potes qui me manqueront le plus et je me ressaisis car on me demande de pas pleurer car tout est fini et que demain sera un autre jour. On avance alors dans le parc et je tombe sur une grande serre ou il semble y avoir un peu d’agitation.

Point Break
Je m’en approche et bing, la claque dans la gueule du genre la grande nouvelle, je me vois dans une salle d’opération avec tout les protagonistes de l’histoire entrain de me parler gentiment, de me maintenir en éveil et moi les yeux grand ouverts, fixés au plafond l’air perdu. Je me ballade au milieu de ces gens quand soudain une forme familière m’interpelle : derrière la vitre, se tien mon père et ma mère, ils sont en larme, ne peuvent rien faire et moi je les regarde tout les deux, ils ont l’air déchirés, ma mère tape mon père de ces petit poings et celui-ci se tien tellement fort la tête qu’on voit les marques de ses ongles sur ses tempes.
Un grand chagrin m’envahi, je ne vais pas m’en sortir et cela me rend triste mais je commence à m’y faire, je devient alors un ectoplasme libéré de mon corps, parcourant tout les endroits inaccessibles jusqu’alors. Mais un doute persiste encore, malgré que je sente le respirateur artificiel à travers ma gorge et de l’air chimique dans mes poumons, ce doute ne parvient pas à disparaître, et une envie de vivre me submerge, je rentre alors en courant dehors et interpelle le moindre piéton, lui demandant s’il me voit ou bien s’il m’entend…mais aucun d’eux ne me répond de manière simple et je ne comprends rien à ce qu’ils me disent. Il commence à faire jour, les médecins sont toujours sur mon corps et je leur parle, je leur demande de mettre de la musique. Ce qu’ils font. La musique qui passe n’est autre qu’une de mes playlist de mon mp3, les musiques se suivent dans le même ordre et possédant des chansons que peut de monde connaît, je suis sur à 100% qu’il s’agit bien de mon mp3 qui fonctionne.
J’entends les médecins et infirmières qui chantonnent les airs de musiques familliers.
Mon ectoplasme étant libre de se balader, je trouve un ordinateur portable ouvert, je vais sur Google.be et regarde si par hasard l’actualité ne parlerait pas de nous. Et la, ben merde quoi, en première page une belle image de carcasse défoncée, et l’heure du crash coïncidant exactement avec l’heure à laquelle ma montre s’est arrêtée.
Je perds totalement pied, je deviens fou furieux, j’arrache ce qui me semble être mon respirateur et je suis aussitôt remis en place par de solides bras et je retrouve de l’air, on me demande de me calmer, me dit que tout est bientôt fini et qu’il ne faut pas que je m’en veuille, c’est la vie, ou bien la mort, que le mec il a une voix calme et apaisante. Je me laisse bercer et me calme, relativise, me disant que peut être ailleurs c’est mieux, mais je n’en peux plus de cette attente, de ce temps figé.
Je veux en finir tout de suite, mais je me ressaisis à temps, car bon, je suis une sacrée tête de mule et je retourne dans la salle où il y a un ordinateur, je surf sur le web, la date étant celle du lendemain évidement, j’en apprends plus sur les victimes de l’accident. Mon identité est inscrite noir sur blanc, on voit nos 5 photos, avant l’accident. Nous sommes beau et promis à un grand avenir, personne ne pourrait se douter qu’on aurait un accident de voiture, surpris a 150 km/h en sens inverse de l’autoroute faisant le lien entre masstrich et liége, un beau soir d’hiver.
Voila à peu près ce que les journaux diront de cette escapade nocturne mortelle et voila comment on retiendra ma disparition de cette planète.

C’est un peu con comme mort je trouve, et moi je suis la au milieu de gens qui essayent de me sauver, ils savent qu’ils n’y arriveront pas et que je leur filerai entre les doigts à un moment ou à un autre, qu’ils seront totalement impuissant fasse à cette destruction. Puis je m’endors durant quelques instant, je crois bien que c’est la fin mais plus rien n’a d’importance, je suis tellement fatigué.


La vie
J’ouvre un œil, regarde machinalement ma montre, il est 9h du matin, je suis dans un canapé bleu, j’ai de l’herbe et de la terre sur mon jean. Il me semble que je suis dans l’appart d’hier, ou bien pas, puis j’élargis ma zone d’ observation et aperçoit des têtes connus, ils ont l’air content de me voir,ils me disent que je suis partis très loin cette nuit, que je les ai pris pour des médecins, pour des diablotins, qu’ils m’ont sorti dehors pour prendre l’air mais que sa a empiré, que j’ai pris une serre de plante pour un laboratoire et que j’ai agressé tout le monde dans la rue pour leur demander si j’étais bien vivant...L’inconnu de la soirée était la pour nous encadrer, il me dit ne jamais avoir vu ça. Ils éclatent tous de rire, et moi je réalise que oui, putain j’ai voyagé cette nuit et que j’en suis revenu et bien vivant, en un seul morceau. Je vais voir sur google.be et il n’y a pas la moindre trace de l’accident que j’ai lus mais mes camarades m’assurent que je n’ai pas rêvé, j’étai bel et bien sur l’ordinateur entrain de flipper sur l’image atroce de l’accident et qui se révélait être en fait un article sur la parade annuel de leur roi ou une autre bondieuserie à la belge.


Voila pour la petite histoire. Ça fait du bien de la partager, même sous anonymat.
C’est un peu le fouillis dans le récit, je l’ai quand même mis sur papier 1 an après les faits (j’avais des notes sur un calepin pour les détails)
Je n’étais jamais parti aussi loin et mal dans un délire et ça ne m’est plus jamais arrivé depuis. (Amsterdam 2007 peut être mais ceci est une autre histoire)
J’ai retenu qu’il faut évidement faire ce genre de chose avec des amis, pas des inconnus et encore moins à 1000 bornes de chez soit sinon gare au carnage.

Merci de m'avoir lu entièrement

Ced
 

190BPM

Holofractale de l'hypervérité
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25 Sept 2013
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Impressionnant
 

Phlogiston

Neurotransmetteur
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24 Nov 2014
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T'as morflé. Ca ressemble beaucoup à un rapport de délirogène genre datura plus qu'à un trip aux champotes ! Me demande quand même combien t'en as pris, les P. cyanescens niveau concentration c'est carrément un truc à part des autres espèces.
 

Devanagari

Holofractale de l'hypervérité
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15 Avr 2014
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Superbe , belle première aux panéoles cela dit !
C'est le monde des enthéogènes et les premières sont parfois un voyage vers d'autres contrées hors du temps .

J'ai apprécié te lire Cedoux
 

Heiwa

Elfe Mécanique
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9 Août 2013
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Salut, je trouve tpn TR Fantastique par contre j'espere vraiment plur toi que tu ten est remis psychiquement :-\
Je tenait a rajouter le fait que tu a bloquée ton cerveau a l'instant de la prise des psylo et cette derniere mollecule maline et vocieuse a diriger ta vie le temps d'un trip impressionant meme effrayant
J'aimerais bien vivre une experience similaore mais
plonger danz un monde
positivementpzychedelique. Tu a eue de la chance que les gens ce soit tout de meme occuper de toi :)
 

Tumbleweed

Sale drogué·e
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23 Avr 2014
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Wouah, du beau bad trip, horror trip je dirai même bien sale et traumatisant comme j'aime en lire mais que j'espère ne jamais vivre...:mrgreen:

Vraiment impressionnant ce mécanisme de psychose qui se met en place (le sang sur la chemise, la montre qui "s'arrête" à la même heure que le supposé accident dont tu vois l'article sur le net, les médecins...) brrrr... flippant !

Merci beaucoup d'avoir partagé, ce fut un véritable plaisir de te lire... et content pour toi que tout se soit finalement bien terminé, mais j'ose pas imaginer comme t'as dû ramasser... J'espère que tu t'en es bien remis...
 

Cedoux

Matrice périnatale
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1 Déc 2014
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16
en effet jai mis super longtemps a m'en remettre de ce bad trip, mais c'est passé avec le temps. Pis je ny ai pas retouché avant un moment. Et jamais plus d'hawaiens! Ca m'empeche pas d'en rever encore quelque fois mais sans plus. Je suis une personne qui a une imagination debordante au naturel, je pense que ca aide au niveau des delires, mais a ce point la c'est tres tres tres violent!
Je suis content que mon TR vous ai plut, j'ai mis un sacré bout de temps avant de me decider à en parler ;)
 
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