25/01/2023 23:11
Tu peux faire des cycles inspirer - bloquer - expirer avec un nombre précis de secondes pour chaque, par exemple 6 - 5 - 9. Il y a plein d’applis qui proposent un support audio pour cela.
Concernant les sensations physiques désagréables, une psy / sophrologue m’avait donné cette exercice : d’abord isoler une zone du corps, explorer les sensations quelle te donne (dont les contacts avec le reel physique), constater son ancrage comme des racines plongeant jusque dans le sol, puis visualiser l’air entrant comme un fluide pur qui envahit cette zone, et l’air sortant chargé de toutes ces sensations viciées que tu vas expirer. Puis tu imagines que cette zone, nettoyée, se met à vibrer agréablement. Tu peux le faire de la tête aux pieds, je trouve ça hyper efficace quoiqu’un peu long (15 min environs).
J’avais ouvert qqpart (en section « psychonautisme » ?) un topic titré « méditation - expérience » pour en discuter.
Au fait, tu penses pas que c'est simplement le diazépam qui a atteint son pic d'effets à ce moment-là ?
Concernant les sensations physiques désagréables, une psy / sophrologue m’avait donné cette exercice : d’abord isoler une zone du corps, explorer les sensations quelle te donne (dont les contacts avec le reel physique), constater son ancrage comme des racines plongeant jusque dans le sol, puis visualiser l’air entrant comme un fluide pur qui envahit cette zone, et l’air sortant chargé de toutes ces sensations viciées que tu vas expirer. Puis tu imagines que cette zone, nettoyée, se met à vibrer agréablement. Tu peux le faire de la tête aux pieds, je trouve ça hyper efficace quoiqu’un peu long (15 min environs).
J’avais ouvert qqpart (en section « psychonautisme » ?) un topic titré « méditation - expérience » pour en discuter.
Citation :Et même si ça semble à priori facile de lâcher-prise de cette manière pour certaines personnes, avant ce moment-là, je n’y étais jamais parvenu durant un trip.
Un peu plus tard, la sensation d’inconfort que j’avais ressenti à totalement disparu. Je me souviens m’être dit “c’est bon, la phase compliquée est passé, désormais c’est que du bonheur”.
Au fait, tu penses pas que c'est simplement le diazépam qui a atteint son pic d'effets à ce moment-là ?
« Il nous faut mener double vie dans nos vies, double sang dans nos cœurs, la joie avec la peine, le rire avec les ombres, deux chevaux dans le même attelage, chacun tirant de son côté, à folle allure. Ainsi allons-nous, cavaliers sur un chemin de neige, cherchant la bonne foulée, cherchant la pensée juste, et la beauté parfois nous brûle, comme une branche basse giflant notre visage, et la beauté parfois nous mord, comme un loup merveilleux sautant à notre gorge. »