UnderDrugs
Glandeuse pinéale
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- 27 Sept 2009
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Bonsoir les psychonaut ! 
.
Peut être certains se rappelleront de moi, j'étais passé il y a quelques temps pour préparer un trip LSA et discuter un peu autour des morning glory. J'ai au final mit ça de côté pour le moment.
Je viens donc vous raconter mon premier trip, sous Salvia.
Il est 10h du mat', l'essai Salvia était prévu depuis le début de la semaine. On se retrouve à trois, chez un pote. Conditions plutôt niquel : aucunes contraintes horaires, lumières tamisées, playlist de reggae. Non sans une certaine appréhension, je coule une première douille de feuilles pour faire une petite approche. Les effets sont très faibles mais le but est atteint : j'ai pris une certaine confiance. Quelques minutes plus tard, mon pote me prépare une douille d'extrait x5.
Je coule la douille, garde la fumée plusieurs secondes dans les poumons, ma vision se trouble, j'explose de rire, puis je tousse, je tousse et je tousse. Quand j'ai fini de tousser, je continue de rigoler, mon cerveau fuse dans tous les sens, des idées, des images. Je regarde devant moi, je vois les couleurs du rideau devant moi se coller sur le mur, puis défiler, descendre ensuite vers le sol et venir jusqu'à moi. J'ai des chatouilles de partout dûes aux couleurs, je n'arrête pas de rigoler. Je me lève d'un coup et je me met à courir dans tous les sens pour finalement plonger dans un pieu. Je n'arrive pas à parler, je n'essaye d'ailleurs même pas, car je sens que ce serait trop difficile. Je sors du lit pour revenir au micro-espace installé dans la pièce : 3 chaises les unes tournées vers les autres. Je me réinstalle dans le rocking chair et continue de rigoler. Je crois qu'il y'a deux " univers " dans la pièce : celui du micro-espace, ou tout est super agréable : la musique, les potes, le rocking chair, la lumière douce, il y fait chaud et l'autre : hors du micro-espace ou il fait froid, sombre. Puis en gardant un big smile, je redescend de mon nuage, un peu déçu que ce n'est pas duré plus longtemps. J'aurai voulu continué à explorer le monde fascinant dans lequel je me trouvais : celui de celle que l'on appelle Sally .
. Peut être certains se rappelleront de moi, j'étais passé il y a quelques temps pour préparer un trip LSA et discuter un peu autour des morning glory. J'ai au final mit ça de côté pour le moment.
Je viens donc vous raconter mon premier trip, sous Salvia.
Il est 10h du mat', l'essai Salvia était prévu depuis le début de la semaine. On se retrouve à trois, chez un pote. Conditions plutôt niquel : aucunes contraintes horaires, lumières tamisées, playlist de reggae. Non sans une certaine appréhension, je coule une première douille de feuilles pour faire une petite approche. Les effets sont très faibles mais le but est atteint : j'ai pris une certaine confiance. Quelques minutes plus tard, mon pote me prépare une douille d'extrait x5.
Je coule la douille, garde la fumée plusieurs secondes dans les poumons, ma vision se trouble, j'explose de rire, puis je tousse, je tousse et je tousse. Quand j'ai fini de tousser, je continue de rigoler, mon cerveau fuse dans tous les sens, des idées, des images. Je regarde devant moi, je vois les couleurs du rideau devant moi se coller sur le mur, puis défiler, descendre ensuite vers le sol et venir jusqu'à moi. J'ai des chatouilles de partout dûes aux couleurs, je n'arrête pas de rigoler. Je me lève d'un coup et je me met à courir dans tous les sens pour finalement plonger dans un pieu. Je n'arrive pas à parler, je n'essaye d'ailleurs même pas, car je sens que ce serait trop difficile. Je sors du lit pour revenir au micro-espace installé dans la pièce : 3 chaises les unes tournées vers les autres. Je me réinstalle dans le rocking chair et continue de rigoler. Je crois qu'il y'a deux " univers " dans la pièce : celui du micro-espace, ou tout est super agréable : la musique, les potes, le rocking chair, la lumière douce, il y fait chaud et l'autre : hors du micro-espace ou il fait froid, sombre. Puis en gardant un big smile, je redescend de mon nuage, un peu déçu que ce n'est pas duré plus longtemps. J'aurai voulu continué à explorer le monde fascinant dans lequel je me trouvais : celui de celle que l'on appelle Sally
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