S
Styloplume
Invité
Salut les amis!
Cette nuit, rêve plus ou moins étrange, mais surtout je m'en souviens très bien au réveil, ça n'arrive pas très souvent, on va en profiter. J'ai pu découper le rêve en deux parties qui ont entre elles une certaine ressemblance.
Première partie
C'est la nuit. Je roule dans la forêt plein de neige, vers l'endroit où j'avais dialogué avec l'enfant intérieur. Mon vélo a une lampe mais il fait très sombre, en fait j'avance dans le noir. Au détour d'un chemin je distingue une forme par terre. C'est la selle d'un cheval (ah oui il y avait des traces de cheval dans la neige). Mais, de cheval, aucune autre trace. Je continue mon chemin sans trouver d'endroit potable pour parler avec l'enfant intérieur. Je me retrouve à sortir de l'autre côté de la forêt, où il y a des routes et des parking. Je me décide à prendre un autre chemin pour y retourner, mais il y a plein de touristes qui se garent sur les parkings et qui partent à pied sur les pistes cyclables, le jour commence à se lever après tout. Du coup je suis gêné pour retourné dans la forêt.
Deuxième partie
Soirée chez un ami d'enfance avec ses amis que je connais pas trop. Dans la maison ancienne il y a des tableaux, c'est tout ce dont je me souviens. Pas vraiment l'impression d'être à ma place.
On rentre de la soirée par la ville, en passant par des lieux de mon enfance ou de la leurs, notamment à côté de cours d'école ou de collège. Il y a une fille chinoise dont je ne m'approche pas trop, mais on finit par être les deux seuls qui marchent ensemble. La fille chinoise c'est celle que j'avais connu brièvement en Allemagne avant qu'elle se fasse tout plein d'amis Chinois (elle venait de débarquer et n'avait pas tous ses repères). J'avais traîné avec elle et entendus ses proverbes chinois, mais j'en avais pas compris beaucoup plus. Là on marche à nouveau, mais je veux pas me lancer dans un truc bizarre avec elle, on a vraiment pas la même culture. Je part faire mon chemin seul.
Je marche seul dans la rue et je me fait arrêter par des policiers qui font leur boulot. Hop, vagabondage, au trou. Je trouve ça peut-être injuste, mais je me sens vraiment pas dans la peau du teuffeur opprimé pour cinq grammes de weed. Je les suis en pleine confiance. On discute un peu, mais je suis vraiment trop différent et barré. La seule chose que je peux faire passer, c'est ma confiance en eux. Alors je suis super sympa avec eux. Du coup ils m'envoient dansle sous-sol pour y passer la nuit dans une cellule. Il ne me suivent même pas au sous-sols! Comme quoi ils me font confiance aussi, me disent d'aller prendre la troisième cellule à gauche (je vais passer la nuit ici).
J'arrive dans le couloir, je trouve la troisième cellule à droite (ils avaient dit à gauche ou bien? Je prends à droite). Je me dit que c'est vraiment cool, je fais comme chez moi. Je trouve la cellule mais je prends le temps de passer aux chiottes avant (très propres) et de me remplir une bouteille d'eau. Je retourne vers la cellule de bonne humeur: je vais passer une bonne nuit en sécurité. Mon humeur s'améliore quand je vois une guitare qui traîne par là. Une guitare bizarre, à moitié transparente, avec des cordes épaisses. Un mix entre la viole de gambe baroque avec ses cordes en boyau, la boîte de plastique transparent et la guitare. Mais c'est cool.
Je trouve aussi une chemise scoute. Et un foulard scout, aux mêmes couleurs que celui que je portais étant jeune. Le foulard correspond à ma ville, j'ai gardé mes racinnes. Par contre, la chemise, au lieu d'être jaune, bleue, ou rouge (comme j'ai déjà porté selon l'âge, scouts de france power!), est beige. Beige? Connais pas comme couleur de chemise. Qui porte des chemise beiges chez les scouts de France? A quelle responsabilité ça correspond? Enfin, c'est discret. J'enfile la chemise et passe le foulard.
Bon, je retourne vers les instruments de musique pour faire un peu de son, mais voilà qu'un type jeune, du genre chef scout/animateur/prof de musique arrive par une autre porte dans la cellule. Je lui dit que c'est chez moi, il dit "Pas du tout, je crois pas" (avec un ton désagréable du jeune bobo qui a des responsabilité et qui est dans son droit). Il rentre, et voilà que la première porte de la cellule laisse entrer des jeunes collégiens. Cette cellule devient un vrai moulin, ça me gave un peu. Je cause aux enfants, qui attendent que la salle de classe soit aménagée. C'est un cours de musique de collège! WTF? Bon, je parle aux enfants:
- Ca va, vous avez bien mangé?
- On a eu de la semoule.
On s'en fout mais ça je m'en souviens.
Bon le cours de musique j'en ai rien à secouer, je retourne dans le couloir, qui est bondé par des profs, des parents d'élèves.. Je tombe peut-être sur la directrice qui semble me dire que c'est normal que j'ai laissé la salle de classe pour le cours de musique... ouais, si tu veux.
J'avance un peu plus dans le couloir, et des barres en ferrailles apparaissent un peu partout, ainsi que des sièges du genre qu'on a dans les bus. Je me retourne, WTF, on est dans le tramway! Haha c'est psyché!
Bon, alors je m'installe, je me dis que la nuit au poste elle est un peu foutue, après tout le soleil se lève. Je regarde par la fenêtre et un visage d'enfant me grimace, du genre evil puppy, un visage de diable cruel. Je prends peur et je me rends compte que c'est la gamine sur le même banc que moi qui me regardait par reflet dans la vitre. Je la regarde en souriant et veux commencer à jouer à faire des grimaces avec elles (je n'ai plus peur), mais j'entends une famille parler russe dans le tram, ça retient mon attention.
La famille russe, pour moi, c'est le mode de communication qui m'est étranger sans me sembler complètement irrationnel. Les familles étrangères d'autres origines je ne comprends pas du tout leurs fonctionnement, et ça m'intéresse pas, ça me rebute plutôt. Par contre, les familles russes, ça m'intrigue. L'éducation des enfants, la langue, les coutumes... bon voyons voir ce qu'il font. Outre se ballader à droite et à gauche dans le tram en parlant russe, je remarque que la grande sœur s'amuse avec sa petite sœur à chanter des comptines. Comme je parle pas russe, ça ressemble à des chants africains, mais je vais montrer le principe.
La grande sœur chante un mot rythmé qui veut dire: "veapatena"
Et la petite sœur répète: "veapatena"
La grande sœur complique: "veapateke apatena"
Et la petite sœur répète.
Puis: "veapateke apateke apatena" (avec un rythme très marqué).
Je suis en train de cogiter sur ce mode de chant à mesure que je me réveille (oui c'est la descente :wink: ). Une grande utilité bien sûr c'est de stimuler la mémoire, le chant rythmé, l'écoute, la concentration. Et en même temps je repense à la manière qu'ont de chanter les Hare krishna quand il rentre en transe par la musique. Il y a aussi un excité qui chante "Hare krishna hare krishna krishna krishna hare hare" et tout le monde répète. Puis, c'est "hare rama hare rama rama rama hare hare". Et tout le monde répète avec le même mode, le même rythme.
Je me dis qu'entre psychonautes ce serait le pied complet de rentrer dans ce genre de délire, un mot, répété, deux mots, répétés, puis l'affaire se complique jusqu'à devenir surtrippante, et à la fin, !break!, et tout le monde chante Om en même temps.
Ah ouais je le vois gros comme une maison.
Explications hasardeuses
Il me semble entrevoir une trame. Dans chaque partie, ça commence de nuit en mode introspection et puis on accède au matin en mode social.
A chaque fois, que je sois en forêt ou en ville, je passe de la sollitude dans la nuit à l'interaction avec plein de monde qui débarque le matin.
La fille chinoise, c'est la femme étrangère que je ne comprends pas et avec qui je ne suis pas très à l'aise (peut-être des corrélations avec mon quotidien, mais c'est mon affaire).
Les policiers, c'est l'image du père qui me rappelle à l'ordre pour me mettre dans le droit chemin.
La chemise scoute, c'est l'incarnation même du droit chemin, et en même temps ça me dit: "Occupe-toi non seulement de ton enfant, mais en plus des autres enfants".
La preuve, tout plein d'enfants qui débarque, les collégiens, la famille russe.
Mon enfant intérieur est dans le lot (la fille qui me fait une grimace démoniaque) mais avec lui je m'entends pas trop mal, du moins je le prends en compte.
Le chant pédagogique est une bonne représentation du chemin que je peux prendre. Je vais cogiter là-dessus.
Conclusions
Je me cherche beaucoup, mais je me trouve en grande partie et je tends à m'ouvrir sur l'extérieur (enfin je crois).
Différence rêve/défonce
Plus, à mon avis un rêve ça s'analyse en partie comme un trip. Faut pas hésiter à découper les images, à les classifier... à faire des associations aussi (mode psychanalyse on)
Ce qu'il se passe avec le rêve, c'est que les images passent super rapidement, on s'en souvient pas forcément... dès que l'une est passée, ziiiouuuu la suivante. Dans un trip psychédélique je troue ça plus gérable quand même, au moins on s'en souvient (même si ça va à dix année-lumières par seconde).
Dans un trip psychédélique, les images font du sens immédiatement, ce qui peut décourager un analyse nécessaire: "Non, je m'en souviens, pas besoin d'analyser..."
Un rêve ne veut rien dire si on ne l'analyse pas.
Un trip veut dire plein de trucs de toutes façons, mais si on ne l'analyse pas ça ne nous permet pas de changer nos vies.
Donc mon avis, c'est qu'il faut tout analyser.
Allez, les amis! Trip safe!
Cette nuit, rêve plus ou moins étrange, mais surtout je m'en souviens très bien au réveil, ça n'arrive pas très souvent, on va en profiter. J'ai pu découper le rêve en deux parties qui ont entre elles une certaine ressemblance.
Première partie
C'est la nuit. Je roule dans la forêt plein de neige, vers l'endroit où j'avais dialogué avec l'enfant intérieur. Mon vélo a une lampe mais il fait très sombre, en fait j'avance dans le noir. Au détour d'un chemin je distingue une forme par terre. C'est la selle d'un cheval (ah oui il y avait des traces de cheval dans la neige). Mais, de cheval, aucune autre trace. Je continue mon chemin sans trouver d'endroit potable pour parler avec l'enfant intérieur. Je me retrouve à sortir de l'autre côté de la forêt, où il y a des routes et des parking. Je me décide à prendre un autre chemin pour y retourner, mais il y a plein de touristes qui se garent sur les parkings et qui partent à pied sur les pistes cyclables, le jour commence à se lever après tout. Du coup je suis gêné pour retourné dans la forêt.
Deuxième partie
Soirée chez un ami d'enfance avec ses amis que je connais pas trop. Dans la maison ancienne il y a des tableaux, c'est tout ce dont je me souviens. Pas vraiment l'impression d'être à ma place.
On rentre de la soirée par la ville, en passant par des lieux de mon enfance ou de la leurs, notamment à côté de cours d'école ou de collège. Il y a une fille chinoise dont je ne m'approche pas trop, mais on finit par être les deux seuls qui marchent ensemble. La fille chinoise c'est celle que j'avais connu brièvement en Allemagne avant qu'elle se fasse tout plein d'amis Chinois (elle venait de débarquer et n'avait pas tous ses repères). J'avais traîné avec elle et entendus ses proverbes chinois, mais j'en avais pas compris beaucoup plus. Là on marche à nouveau, mais je veux pas me lancer dans un truc bizarre avec elle, on a vraiment pas la même culture. Je part faire mon chemin seul.
Je marche seul dans la rue et je me fait arrêter par des policiers qui font leur boulot. Hop, vagabondage, au trou. Je trouve ça peut-être injuste, mais je me sens vraiment pas dans la peau du teuffeur opprimé pour cinq grammes de weed. Je les suis en pleine confiance. On discute un peu, mais je suis vraiment trop différent et barré. La seule chose que je peux faire passer, c'est ma confiance en eux. Alors je suis super sympa avec eux. Du coup ils m'envoient dansle sous-sol pour y passer la nuit dans une cellule. Il ne me suivent même pas au sous-sols! Comme quoi ils me font confiance aussi, me disent d'aller prendre la troisième cellule à gauche (je vais passer la nuit ici).
J'arrive dans le couloir, je trouve la troisième cellule à droite (ils avaient dit à gauche ou bien? Je prends à droite). Je me dit que c'est vraiment cool, je fais comme chez moi. Je trouve la cellule mais je prends le temps de passer aux chiottes avant (très propres) et de me remplir une bouteille d'eau. Je retourne vers la cellule de bonne humeur: je vais passer une bonne nuit en sécurité. Mon humeur s'améliore quand je vois une guitare qui traîne par là. Une guitare bizarre, à moitié transparente, avec des cordes épaisses. Un mix entre la viole de gambe baroque avec ses cordes en boyau, la boîte de plastique transparent et la guitare. Mais c'est cool.
Je trouve aussi une chemise scoute. Et un foulard scout, aux mêmes couleurs que celui que je portais étant jeune. Le foulard correspond à ma ville, j'ai gardé mes racinnes. Par contre, la chemise, au lieu d'être jaune, bleue, ou rouge (comme j'ai déjà porté selon l'âge, scouts de france power!), est beige. Beige? Connais pas comme couleur de chemise. Qui porte des chemise beiges chez les scouts de France? A quelle responsabilité ça correspond? Enfin, c'est discret. J'enfile la chemise et passe le foulard.
Bon, je retourne vers les instruments de musique pour faire un peu de son, mais voilà qu'un type jeune, du genre chef scout/animateur/prof de musique arrive par une autre porte dans la cellule. Je lui dit que c'est chez moi, il dit "Pas du tout, je crois pas" (avec un ton désagréable du jeune bobo qui a des responsabilité et qui est dans son droit). Il rentre, et voilà que la première porte de la cellule laisse entrer des jeunes collégiens. Cette cellule devient un vrai moulin, ça me gave un peu. Je cause aux enfants, qui attendent que la salle de classe soit aménagée. C'est un cours de musique de collège! WTF? Bon, je parle aux enfants:
- Ca va, vous avez bien mangé?
- On a eu de la semoule.
On s'en fout mais ça je m'en souviens.
Bon le cours de musique j'en ai rien à secouer, je retourne dans le couloir, qui est bondé par des profs, des parents d'élèves.. Je tombe peut-être sur la directrice qui semble me dire que c'est normal que j'ai laissé la salle de classe pour le cours de musique... ouais, si tu veux.
J'avance un peu plus dans le couloir, et des barres en ferrailles apparaissent un peu partout, ainsi que des sièges du genre qu'on a dans les bus. Je me retourne, WTF, on est dans le tramway! Haha c'est psyché!
Bon, alors je m'installe, je me dis que la nuit au poste elle est un peu foutue, après tout le soleil se lève. Je regarde par la fenêtre et un visage d'enfant me grimace, du genre evil puppy, un visage de diable cruel. Je prends peur et je me rends compte que c'est la gamine sur le même banc que moi qui me regardait par reflet dans la vitre. Je la regarde en souriant et veux commencer à jouer à faire des grimaces avec elles (je n'ai plus peur), mais j'entends une famille parler russe dans le tram, ça retient mon attention.
La famille russe, pour moi, c'est le mode de communication qui m'est étranger sans me sembler complètement irrationnel. Les familles étrangères d'autres origines je ne comprends pas du tout leurs fonctionnement, et ça m'intéresse pas, ça me rebute plutôt. Par contre, les familles russes, ça m'intrigue. L'éducation des enfants, la langue, les coutumes... bon voyons voir ce qu'il font. Outre se ballader à droite et à gauche dans le tram en parlant russe, je remarque que la grande sœur s'amuse avec sa petite sœur à chanter des comptines. Comme je parle pas russe, ça ressemble à des chants africains, mais je vais montrer le principe.
La grande sœur chante un mot rythmé qui veut dire: "veapatena"
Et la petite sœur répète: "veapatena"
La grande sœur complique: "veapateke apatena"
Et la petite sœur répète.
Puis: "veapateke apateke apatena" (avec un rythme très marqué).
Je suis en train de cogiter sur ce mode de chant à mesure que je me réveille (oui c'est la descente :wink: ). Une grande utilité bien sûr c'est de stimuler la mémoire, le chant rythmé, l'écoute, la concentration. Et en même temps je repense à la manière qu'ont de chanter les Hare krishna quand il rentre en transe par la musique. Il y a aussi un excité qui chante "Hare krishna hare krishna krishna krishna hare hare" et tout le monde répète. Puis, c'est "hare rama hare rama rama rama hare hare". Et tout le monde répète avec le même mode, le même rythme.
Je me dis qu'entre psychonautes ce serait le pied complet de rentrer dans ce genre de délire, un mot, répété, deux mots, répétés, puis l'affaire se complique jusqu'à devenir surtrippante, et à la fin, !break!, et tout le monde chante Om en même temps.
Ah ouais je le vois gros comme une maison.
Explications hasardeuses
Il me semble entrevoir une trame. Dans chaque partie, ça commence de nuit en mode introspection et puis on accède au matin en mode social.
A chaque fois, que je sois en forêt ou en ville, je passe de la sollitude dans la nuit à l'interaction avec plein de monde qui débarque le matin.
La fille chinoise, c'est la femme étrangère que je ne comprends pas et avec qui je ne suis pas très à l'aise (peut-être des corrélations avec mon quotidien, mais c'est mon affaire).
Les policiers, c'est l'image du père qui me rappelle à l'ordre pour me mettre dans le droit chemin.
La chemise scoute, c'est l'incarnation même du droit chemin, et en même temps ça me dit: "Occupe-toi non seulement de ton enfant, mais en plus des autres enfants".
La preuve, tout plein d'enfants qui débarque, les collégiens, la famille russe.
Mon enfant intérieur est dans le lot (la fille qui me fait une grimace démoniaque) mais avec lui je m'entends pas trop mal, du moins je le prends en compte.
Le chant pédagogique est une bonne représentation du chemin que je peux prendre. Je vais cogiter là-dessus.
Conclusions
Je me cherche beaucoup, mais je me trouve en grande partie et je tends à m'ouvrir sur l'extérieur (enfin je crois).
Différence rêve/défonce
Plus, à mon avis un rêve ça s'analyse en partie comme un trip. Faut pas hésiter à découper les images, à les classifier... à faire des associations aussi (mode psychanalyse on)
Ce qu'il se passe avec le rêve, c'est que les images passent super rapidement, on s'en souvient pas forcément... dès que l'une est passée, ziiiouuuu la suivante. Dans un trip psychédélique je troue ça plus gérable quand même, au moins on s'en souvient (même si ça va à dix année-lumières par seconde).
Dans un trip psychédélique, les images font du sens immédiatement, ce qui peut décourager un analyse nécessaire: "Non, je m'en souviens, pas besoin d'analyser..."
Un rêve ne veut rien dire si on ne l'analyse pas.
Un trip veut dire plein de trucs de toutes façons, mais si on ne l'analyse pas ça ne nous permet pas de changer nos vies.
Donc mon avis, c'est qu'il faut tout analyser.
Allez, les amis! Trip safe!
