voidmercenary
Holofractale de l'hypervérité
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Encore un TR sur la MXE de ma part, on va croire que je suis amoureux. j'ai des relations assez étranges avec les produits, je ne me contente jamais d'un voyage, il me faut toujours la claque. Si je ne l'ai pas reçue, c'est presque sur que dans la semaine je vais retenter avec une dose plus forte, et ainsi de suite... C'est absolument pas RDR ni une façon de consommer proprement, mais je suis comme ça et j'ai fini par m'accepter comme ça. Ceci dit je n'en rachèterais pas de si tôt, surtout qu'avec des doses faibles il est possible d'être en public sans se donner en spectacle, bien addictif à mon goût.
Il est 18h, environ 30mg à l'oeil en sublingual, la montée ne se fait pas sentir au bout de 10 minutes, donc j'avale tout (miam). Aucun effet notable.
Il est 19h, j'arrive chez un pote et on est censé aller à une fête de village. Je propose à deux potes d'essayer la MXE; je prépare une trace de environ 120mg que je divise en deux, on est deux à en prendre finalement. Ok. On part d'acheter de l'alcool au Leclerc pour la fête. Sur le chemin ça commence à monter pour moi, déséquilibre, mais rien de plus. Arrivé au leclerc c'est parti, mon pote monte vraiment d'un coup, mais je sais qu'il supporte bien les effets des drogues en général alors j'ai pas radiné sur sa dose. Il n'est pas déçu et part dans ses délires, le voir s'amuser me relaxe et je peux partir serein à mon tour. Dans le supermarché c'est vraiment n'importe quoi, même notre pote sobre n'a pas l'air sobre. On se balade dans les rayons sans chercher quoi que ce soit de particulier. C'est l’expérience temple de la consommation sous drogue, ça me fait toujours ça. Se balader dans les rayons sans rien chercher, juste à contempler les articles. On finit par sortir de la avec de la vodka et des bières. Génial. Notre pote sobre va se chercher un macdo et nous allons avec lui dedans. Je ferme les yeux et je ne sens plus mon corps, j'adore cette sensation, je crois mes mains devant mon torse comme pour faire une prière, et je ferme les yeux. Le fait de ne pas sentir mon corps est tellement fort que je crie (hystérie inside). Notre pote sobre nous envoie dehors car on est vraiment trop grillé. On attend donc sur les marches. On sent bien que ça pousse comme il faut. Le corps anesthésié, entouré d'une chaleur vraiment douce, et plus qu'appréciable. On repart en voiture manger dans un appart'.
Arrivés là bas, on est un peu perdus. Je met une frite dans ma bouche, j'ai l'impression de manger un son, le son de ce truc qui se désagrège dans ma bouche. C'est vraiment étrange. Je le sens bien, toutes mes problèmes du moment resurgissent, ça fait une bonne semaine que je les rejettent, il fallait bien qu'ils arrivent. Je les laisse faire surface, je n'ai pas la force de lutter. Lorsque je regarde dehors je vois la grille de la pharmacie clignoter, étrange. Toutes ces pensées me font sombrer dans une pseudo dépression, mais je supporte. C'est dans ma nature de supporter ce genre d'émotions. Je passe un peu de temps à réfléchir sur le sens de la vie, sans en tirer de conclusion, de toute façon je me sens vraiment mourir, et ça me plait. J'arrive à me complaire dans ce genre de moments, je me suis déjà même forcé à faire un bad en vain, parce que j'en ai marre de tout supporter. J'ai toujours réussi à étouffer mes émotions, les restreindre, il me manque juste l'amour, dont j'ai du mal à écraser, pour moi la plus puissante des drogues. Je me laisse partir au gré de ces pensées de mort et de disparition. Le plafond se déforme et prend la forme de la tête de Chuck Noris, j'ose à peine le regarder tellement il a l'air bête. Il commence à me parler de mes problèmes et je l'écoute, forcément ça n'y résout rien. Je ferme les yeux et je pars pour la mort. Finalement je sors de ce délire et je suis assez heureux, enfin je pense. Je commence à être inondé de pensées bien confuses, impossibles de les analyser, elles repartent aussi tôt pour céder leur place à d'autres. Cette fois la grille se déforme clairement, elle commence à prendre des tons violets. Elle est belle. Je décide de sortir faire un tour dans le quartier avec celui qui est sobre. L'autre reste dans l'appart.
Une fois dehors je lui demande une cigarette indus, j'en ai vraiment envie, alors que d'habitude je déteste le tabac. Je sens que c'est de fumer autant de cet AM 2201 qui m'a approché de l'addiction au tabac. Cette cigarette, je sens qu'elle va me diffuser un plaisir intense, mais qu'elle est aussi dévastatrice. C'est pas grave, je l'allume et je commence à fumer, ça me fait vraiment du bien. Elle se termine vite, je ne sens pas la fumée passer dans la gorge. On s'installe dans un coin d'herbe, comme la nature est belle. Si les prods m'ont appris une chose c'est bien d'aimer la nature. Elle est vraiment belle, cette verdure... On rentre à l'appart.
Une amie arrive, elle n'a vraiment pas l'air motivée pour faire la fête, moi non plus, personne enfait. Mais on va y aller quand même, parce deux autres amies vont arriver aussi pour y aller. On attend donc que ça descende, celle qui vient d'arriver repart chez elle pour prendre du doliprane et de l'alcool. On attend dehors. Je reste seul et décide de parler avec mon ex sur le portable. Pour revenir à ce que je disais au début, j'arrive enfin à étouffer ce sentiment d'amour, à le remettre à sa place et surtout à ne plus le laisser s'étendre vers une ultra possessivité. Je suis enfin libéré de ce poids, ça y est. Je comprends mieux la notion d'amour que je cherchait à développer depuis quelques temps. C'est bon, j'ai fini de régler mes problèmes ! Les deux voitures arrivent, on part donc vers un petit village où la fête semble avoir commencée. On arrive vers 23h là bas.
Cette partie est moins intéressante car c'est vraiment full alcool. J'ai passé la nuit à danser jusqu'à la fin de la soirée. Belle soirée avec que des gens sympas, tous dans le délire alcool. Personne qui vient chercher des embrouilles, c'est le genre de soirée à faire et refaire. La musique était à chier mais bon, on fait ce qu'on peut.
Il est 18h, environ 30mg à l'oeil en sublingual, la montée ne se fait pas sentir au bout de 10 minutes, donc j'avale tout (miam). Aucun effet notable.
Il est 19h, j'arrive chez un pote et on est censé aller à une fête de village. Je propose à deux potes d'essayer la MXE; je prépare une trace de environ 120mg que je divise en deux, on est deux à en prendre finalement. Ok. On part d'acheter de l'alcool au Leclerc pour la fête. Sur le chemin ça commence à monter pour moi, déséquilibre, mais rien de plus. Arrivé au leclerc c'est parti, mon pote monte vraiment d'un coup, mais je sais qu'il supporte bien les effets des drogues en général alors j'ai pas radiné sur sa dose. Il n'est pas déçu et part dans ses délires, le voir s'amuser me relaxe et je peux partir serein à mon tour. Dans le supermarché c'est vraiment n'importe quoi, même notre pote sobre n'a pas l'air sobre. On se balade dans les rayons sans chercher quoi que ce soit de particulier. C'est l’expérience temple de la consommation sous drogue, ça me fait toujours ça. Se balader dans les rayons sans rien chercher, juste à contempler les articles. On finit par sortir de la avec de la vodka et des bières. Génial. Notre pote sobre va se chercher un macdo et nous allons avec lui dedans. Je ferme les yeux et je ne sens plus mon corps, j'adore cette sensation, je crois mes mains devant mon torse comme pour faire une prière, et je ferme les yeux. Le fait de ne pas sentir mon corps est tellement fort que je crie (hystérie inside). Notre pote sobre nous envoie dehors car on est vraiment trop grillé. On attend donc sur les marches. On sent bien que ça pousse comme il faut. Le corps anesthésié, entouré d'une chaleur vraiment douce, et plus qu'appréciable. On repart en voiture manger dans un appart'.
Arrivés là bas, on est un peu perdus. Je met une frite dans ma bouche, j'ai l'impression de manger un son, le son de ce truc qui se désagrège dans ma bouche. C'est vraiment étrange. Je le sens bien, toutes mes problèmes du moment resurgissent, ça fait une bonne semaine que je les rejettent, il fallait bien qu'ils arrivent. Je les laisse faire surface, je n'ai pas la force de lutter. Lorsque je regarde dehors je vois la grille de la pharmacie clignoter, étrange. Toutes ces pensées me font sombrer dans une pseudo dépression, mais je supporte. C'est dans ma nature de supporter ce genre d'émotions. Je passe un peu de temps à réfléchir sur le sens de la vie, sans en tirer de conclusion, de toute façon je me sens vraiment mourir, et ça me plait. J'arrive à me complaire dans ce genre de moments, je me suis déjà même forcé à faire un bad en vain, parce que j'en ai marre de tout supporter. J'ai toujours réussi à étouffer mes émotions, les restreindre, il me manque juste l'amour, dont j'ai du mal à écraser, pour moi la plus puissante des drogues. Je me laisse partir au gré de ces pensées de mort et de disparition. Le plafond se déforme et prend la forme de la tête de Chuck Noris, j'ose à peine le regarder tellement il a l'air bête. Il commence à me parler de mes problèmes et je l'écoute, forcément ça n'y résout rien. Je ferme les yeux et je pars pour la mort. Finalement je sors de ce délire et je suis assez heureux, enfin je pense. Je commence à être inondé de pensées bien confuses, impossibles de les analyser, elles repartent aussi tôt pour céder leur place à d'autres. Cette fois la grille se déforme clairement, elle commence à prendre des tons violets. Elle est belle. Je décide de sortir faire un tour dans le quartier avec celui qui est sobre. L'autre reste dans l'appart.
Une fois dehors je lui demande une cigarette indus, j'en ai vraiment envie, alors que d'habitude je déteste le tabac. Je sens que c'est de fumer autant de cet AM 2201 qui m'a approché de l'addiction au tabac. Cette cigarette, je sens qu'elle va me diffuser un plaisir intense, mais qu'elle est aussi dévastatrice. C'est pas grave, je l'allume et je commence à fumer, ça me fait vraiment du bien. Elle se termine vite, je ne sens pas la fumée passer dans la gorge. On s'installe dans un coin d'herbe, comme la nature est belle. Si les prods m'ont appris une chose c'est bien d'aimer la nature. Elle est vraiment belle, cette verdure... On rentre à l'appart.
Une amie arrive, elle n'a vraiment pas l'air motivée pour faire la fête, moi non plus, personne enfait. Mais on va y aller quand même, parce deux autres amies vont arriver aussi pour y aller. On attend donc que ça descende, celle qui vient d'arriver repart chez elle pour prendre du doliprane et de l'alcool. On attend dehors. Je reste seul et décide de parler avec mon ex sur le portable. Pour revenir à ce que je disais au début, j'arrive enfin à étouffer ce sentiment d'amour, à le remettre à sa place et surtout à ne plus le laisser s'étendre vers une ultra possessivité. Je suis enfin libéré de ce poids, ça y est. Je comprends mieux la notion d'amour que je cherchait à développer depuis quelques temps. C'est bon, j'ai fini de régler mes problèmes ! Les deux voitures arrivent, on part donc vers un petit village où la fête semble avoir commencée. On arrive vers 23h là bas.
Cette partie est moins intéressante car c'est vraiment full alcool. J'ai passé la nuit à danser jusqu'à la fin de la soirée. Belle soirée avec que des gens sympas, tous dans le délire alcool. Personne qui vient chercher des embrouilles, c'est le genre de soirée à faire et refaire. La musique était à chier mais bon, on fait ce qu'on peut.
