mohamed chirac
Alpiniste Kundalini
- Inscrit
- 9 Juin 2022
- Messages
- 676
Le 3e join de ma vie se déroulait avec mon meilleur ami... Et la plupart des autres aussi 
.
On était dans un petit parc, un peu défoncé, mais sans plus. Nous croisâmes des fumeurs de beuh quotidiens. L'occasion était trop belle et nous nous joignîmes à eux
Un expert de la fumette nous fit inhaler en fusée.
J'explique en gros cela consistait à nous faire aspirer par la main grâce à un mudra particulier.
La défonce montait, à vitesse grand V. Chaque taffe me propulsait en arrière. Je partais dans un délire total et bondissait dans tout les sens après chaque bouffée de beuh.
Au final, je me trouvais scotché sur le gazon à regarder le ciel. J'avais l'impression d'être paralysé, jamais je ne pourrais me relever.
Je réussis finalement, mais de façon extrêmement laborieuse, c'était toute une aventure. Je croisais le visage de mon ami qui stoïck n'avait pas bougé d'un pouce depuis le début et été restait mué.
Le groupe qui nous avait invité eurent honte et nous expulsèrent en râlant. " c'est quoi ça, n'importe quoi" "les gars il faut qu'il faire ça chez vous, ce genre de délire, c'est bien" "non, mais il font exprès"
On était des gros tarés en effet. Le trip se finit agréablement et on passa une bonne soirée après ces dix premières minutes intenses.
Quelques semaines plus tard, on alla au quartier acheter notre drogue. Le dealeur était un gars charismatique avait une grosse voix balèze qui se répercutait dans les graves. Cette fois-ci nous décidâmes de faire un pur chacun. Sois 1g de beuh chacun.
Nous invitèrent un pote. Nous voulions lui faire une farce. Il allait fumer du basilic et nous allions nous moquer de lui car il allait faire semblant d'être défoncé. Il se passa l'inverse.
On se posait dans une petite ruelle et nous allumâmes nos pétards. L'autre se rendit compte de la farce et tira quelque latte du vrai joint avec nous. Très vite on partit en couille total. On toussait sans arrêt, on tenait pas debout et puis on commençait à rire à chaque mot. La dissociation psychédélique devient des plus intense. Mon pote était au ralenti -- "mec je suis au ralenti ! Meeec !" -- et moi j'étais clairement dans une autre dimension. Je ne le savais pas encore, mais je vivais le meilleur trip de ma vie. Nous étions à ce moment un spectacle vivant, y compris nos "amis" qui nous regardaient génés et en se moquant. Je m'affaissais sur une barre comme un ivre mort. Puis je marchais. J'avais l'impression que tout mon corps était applati, on aurait dit un cartoon psychélique 2D, d'un humour extrême.
Quand je marchai, je ne sais pas quand ni comment, j'eus plusieurs troubles de l'identité avec dépersonnalisation. J'étais Petipotopetipotapetiposule.
Petipotopetipotapetiposule est un grand roi, qui ressemble à une patate chauve, il dirige Petipotopetipotapetiposule Etat. Il y a d'autres roi comme timéea jéulipe.
Je jurais chaque phrase par ce nom. Pendant bien 20minutes je répétais et répétais et faisais des phrases par l'intermédiaire de petipotopetiposule. Tout nous faisait rire avec mon pote, y compris le bruit d'un claxonne qui déclencha un crise de rire incontrôlable (un claxon style clown)
Le trip pouvait aussi être désagréable de par sa puissance. J'avais l'impression que des pics acérés rentraient et perforaient l'intérieur de ma george
Dans la rue nous vîmes un handicapé moteur. Je sais que ce n'est pas morale de faire ça, mais je fis remarquer à Marvin que c'était un "homme chevreuil" et nous rîimes comme des cons.
Actuellement cet homme est docteur à l'hôpital psychiatrique dans lequel je séjourne.
Je remarquai la puissance de ce trip par les hallucinations qui procurait. Mon chant de vision était recouvert de motif psychédéliques. Des triangles, des cercles, des carrés de couleurs savonneuse. C'était comme si on me montrait le portail qui séparait la matrice de la réalité, sans pour autant voir la réalité, mais me permettre de m'apercevoir de l'illusion dans laquelle je baignais.
Les visuels repartirent de plus bel quand nous décidèrent de finir le pétard. Marvin m'enferma dans le noir. Un aigle géant apparu. Il était en fait plutôt une statue avec un buste carré solide comme un tronc. Son visage était blanc, mais des faisceaux de couleurs rouge, vert, bleus lui donnaient un air magique, festivalesque et majestueux. J'eus très peur et sortit frénétiquement.
Maintenant que j'y repense, il s'agissait peut être d'un entité spirituelle.
Nous regardîmes un film d'horreur dans la soirée. On a rien compris tout est passé très vite et on est allé dans la chambre. Nous décidâmes alors de refaire un pur. Le délire était reparti. La conscience s'élargissait et Marvin parraissait géant. Surtout sa tête de bonhomme. Malheureusement les sortes de pointe qui me perçaient les glaires et clavicules firent à nouveau leurs apparitions. J'allai alors au lit et réussi finalement à dormir après quelques longues minutes.
. On était dans un petit parc, un peu défoncé, mais sans plus. Nous croisâmes des fumeurs de beuh quotidiens. L'occasion était trop belle et nous nous joignîmes à eux
Un expert de la fumette nous fit inhaler en fusée.
J'explique en gros cela consistait à nous faire aspirer par la main grâce à un mudra particulier.
La défonce montait, à vitesse grand V. Chaque taffe me propulsait en arrière. Je partais dans un délire total et bondissait dans tout les sens après chaque bouffée de beuh.
Au final, je me trouvais scotché sur le gazon à regarder le ciel. J'avais l'impression d'être paralysé, jamais je ne pourrais me relever.
Je réussis finalement, mais de façon extrêmement laborieuse, c'était toute une aventure. Je croisais le visage de mon ami qui stoïck n'avait pas bougé d'un pouce depuis le début et été restait mué.
Le groupe qui nous avait invité eurent honte et nous expulsèrent en râlant. " c'est quoi ça, n'importe quoi" "les gars il faut qu'il faire ça chez vous, ce genre de délire, c'est bien" "non, mais il font exprès"
On était des gros tarés en effet. Le trip se finit agréablement et on passa une bonne soirée après ces dix premières minutes intenses.
Quelques semaines plus tard, on alla au quartier acheter notre drogue. Le dealeur était un gars charismatique avait une grosse voix balèze qui se répercutait dans les graves. Cette fois-ci nous décidâmes de faire un pur chacun. Sois 1g de beuh chacun.
Nous invitèrent un pote. Nous voulions lui faire une farce. Il allait fumer du basilic et nous allions nous moquer de lui car il allait faire semblant d'être défoncé. Il se passa l'inverse.
On se posait dans une petite ruelle et nous allumâmes nos pétards. L'autre se rendit compte de la farce et tira quelque latte du vrai joint avec nous. Très vite on partit en couille total. On toussait sans arrêt, on tenait pas debout et puis on commençait à rire à chaque mot. La dissociation psychédélique devient des plus intense. Mon pote était au ralenti -- "mec je suis au ralenti ! Meeec !" -- et moi j'étais clairement dans une autre dimension. Je ne le savais pas encore, mais je vivais le meilleur trip de ma vie. Nous étions à ce moment un spectacle vivant, y compris nos "amis" qui nous regardaient génés et en se moquant. Je m'affaissais sur une barre comme un ivre mort. Puis je marchais. J'avais l'impression que tout mon corps était applati, on aurait dit un cartoon psychélique 2D, d'un humour extrême.
Quand je marchai, je ne sais pas quand ni comment, j'eus plusieurs troubles de l'identité avec dépersonnalisation. J'étais Petipotopetipotapetiposule.
Petipotopetipotapetiposule est un grand roi, qui ressemble à une patate chauve, il dirige Petipotopetipotapetiposule Etat. Il y a d'autres roi comme timéea jéulipe.
Je jurais chaque phrase par ce nom. Pendant bien 20minutes je répétais et répétais et faisais des phrases par l'intermédiaire de petipotopetiposule. Tout nous faisait rire avec mon pote, y compris le bruit d'un claxonne qui déclencha un crise de rire incontrôlable (un claxon style clown)
Le trip pouvait aussi être désagréable de par sa puissance. J'avais l'impression que des pics acérés rentraient et perforaient l'intérieur de ma george
Dans la rue nous vîmes un handicapé moteur. Je sais que ce n'est pas morale de faire ça, mais je fis remarquer à Marvin que c'était un "homme chevreuil" et nous rîimes comme des cons.
Actuellement cet homme est docteur à l'hôpital psychiatrique dans lequel je séjourne.
Je remarquai la puissance de ce trip par les hallucinations qui procurait. Mon chant de vision était recouvert de motif psychédéliques. Des triangles, des cercles, des carrés de couleurs savonneuse. C'était comme si on me montrait le portail qui séparait la matrice de la réalité, sans pour autant voir la réalité, mais me permettre de m'apercevoir de l'illusion dans laquelle je baignais.
Les visuels repartirent de plus bel quand nous décidèrent de finir le pétard. Marvin m'enferma dans le noir. Un aigle géant apparu. Il était en fait plutôt une statue avec un buste carré solide comme un tronc. Son visage était blanc, mais des faisceaux de couleurs rouge, vert, bleus lui donnaient un air magique, festivalesque et majestueux. J'eus très peur et sortit frénétiquement.
Maintenant que j'y repense, il s'agissait peut être d'un entité spirituelle.
Nous regardîmes un film d'horreur dans la soirée. On a rien compris tout est passé très vite et on est allé dans la chambre. Nous décidâmes alors de refaire un pur. Le délire était reparti. La conscience s'élargissait et Marvin parraissait géant. Surtout sa tête de bonhomme. Malheureusement les sortes de pointe qui me perçaient les glaires et clavicules firent à nouveau leurs apparitions. J'allai alors au lit et réussi finalement à dormir après quelques longues minutes.