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LSD + MDMA = dissolution de l'égo dans l'extase

HippyFlip

Matrice périnatale
Inscrit
6 Juin 2015
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12
LSD + MDMA = dissolution de l'égo dans l'extase


Salut à tous ! Je voudrais partager ma première expérience de Candyflip qui est aussi mon premier TR et qui fut une expérience pour le moins enrichissante. Désolé à l’avance pour la taille du TR et bonne lecture !


Set & Settings :

Cela faisait déjà un moment que je souhaitais expérimenter la MDMA avec soit des champis, soit du LSD. J’avais déjà un peu plus d’une dizaine d’expériences avec les champotes et une seule perche sous acide. L’occasion s’est présentée un soir d’essayer cette combinaison détonante. Ne réussissant pas à me procurer des champis pour le soir même, je fais le pari risqué de tenter un candyflip. On s’organise une soirée avec une dizaine de pote dans un grand jardin public. Sur la petite dizaine de hauts voltigeurs que nous étions, seuls trois d’entre nous étaient motivés à tenter l’expérience ; un très bon ami à moi que je nommerai A,ma copine que j’appellerai R et moi. J’étais dans d’excellentes conditions psychologiques, loin de tout stress et dans une très bonne période de ma vie. Les autres perchistes souhaitaient seulement prendre de la D ce soir là.

On se rejoint aux alentours de minuit. Je discute un peu avec A. Au final, il préfère prendre uniquement de la D lui aussi, ce qui me fait un peu hésiter à prendre du LSD. On marche un peu dans le jardin et on trouve un endroit sympa un peu éclairé. On finit par se décider avec ma copine à prendre de l’acide. Il est 1h00. Je prends un demi buvard dosé à 180 µg et elle, seulement un quart, sachant qu’elle est extrêmement sensible aux effets. J’avais pris du LSD avec elle pour la première fois seulement 4 jours auparavant. On était donc plutôt tolérants. Une demi-heure plus tard, il y’a une coupure d’électricité dans le jardin qui se retrouve plongé dans le noir le plus complet. On se retrouve obligé de sortir. Juste à la sortie, on traverse une petite route éclairée qui mène sur un petit étang entouré d’un petit coin de nature ; un endroit parfait.


La montée :

Il est environ 2h00 quand je commence à sentir le début des effets alors que je suis à jeun. R est quant à elle en pleine montée et les autres sont déjà bien loin. A 3h30, ma copine est bien perchée mais moi, je ne sens quasiment rien. Juste les effets “seuils”. Je voulais vraiment me taper une grosse perche et je me savais tolérant. Je décide donc de redrop un demi buvard et un para. Me voilà donc parti pour 180 µg de LSD et 150 mg de MDMA. R me suit et prend un quart de buvard en plus et un para lui aussi dosé à 150mg.



La révélation extatique :

A peine une demi-heure plus tard, je commence à sentir la montée d’acide et de MD en même temps. C’est très agréable. Je perçois de façon très nette les effets de la D. C’est comme sentir que l’on va se taper un white avec des phosphènes et qu’on va perdre connaissance après avoir fumé de la Weed mais à l’inverse, c’est une sensation très (très) agréable et on ne perd pas connaissance. Je commence à percevoir quelques déformations au niveau visuel et je me sens très léger. Je me sens libéré de toute inhibition et ressens un apaisement profond. Je me suis senti tellement léger que j’ai pris un plaisir fou à m’accrocher à une branche d’arbre située à plus de deux mètres et à me tracter sans aucune difficulté jusqu’à me mettre debout sur cette branche sans aucun appui (je pense qu’il est tout de même assez difficile de réaliser la traction quand on arrive au niveau des avants-bras).

Je vais voir R et on se fait un câlin pour le moins chaleureux. Les effets se font ressentir de façon encore plus intense qu’avant. Je demande à un pote de me prêter son enceinte pour mettre de la musique/

Je m'allonge dans l'herbe à côté de ma copine et je me mets à regarder les étoiles. L'enceinte restitue bien les basses et la musique me transcende. Les étoiles se mettent à se déplacer dans mon champ visuel dans un spectacle jouissif de lumière colorées. Je ferme les yeux. Pour la première fois de ma vie, j'ai des CEV. Je me mets à voyager à travers des motifs géométriques abstraits très détaillés constitués de fractales entourés de petits points lumineux qui se répètent à l'infini et de quadrillages. J'alterne entre les yeux ouverts et fermés et en contemplant cette géométrie abstraite et les étoiles, je comprends ma place dans l'univers. Je fais le lien entre toutes mes connaissances scientifiques, philosophiques et mes quelques expériences psychédéliques. Je vais quand même essayer de décrire toute cette expérience introspective sur l’univers, la science et la philosophie car bien que personnelle, je trouve intéressant de la partager.

Je repense à la célèbre citation de Lavoisier: "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme". Cette phrase prend maintenant tout son sens même si en fait, cette phrase ne vient pas de lui... Les éléments se désintègrent en particules plus élémentaires à l’échelle quantique pour former par la suite d'autres particules qui donneront naissance à d’autres choses. J’essaie d’établir des liens entre la physique et les maths en repensant à mes cours de terminale S… A petite échelle, il est impossible de savoir quel est le comportement d’un seul photon mais plus on se réfère à un nombre important de photons et plus il est possible de prévoir leur comportement en appliquant des lois de probabilités (en analogie avec les intégrales en maths). Donc notre univers serait régi par le hasard ? Pourtant, en changeant d’échelle, il est possible de prévoir le hasard. Donc l’univers est à la fois tout et rien ? Donc l’univers repose sur lui-même ? :question: Je vois littéralement le lien entre cette théorie de l’univers qui repose sur lui-même et les figures géométriques que sont les fractales, ces figures qui se répètent “différemment” à l’infini. Quand on observe une galaxie, on se rend compte que toutes les étoiles tournent autour d’un immense amas d’étoiles tout comme les planètes tournent autour d’un astre tout comme les électrons gravitent autour d’un noyau. J'ai pu constater par la suite que pour tirer profit de ces expériences de pensées un peu abstraites, il est nécessaire de mener un réel travail de réflexion structuré sans quoi elles ne reflètent que très mal l'expérience vécue ; d'autant plus que ce sont des raisonnement complètement fumeux hahahaha

Je me mets à philosopher. Pourquoi sommes-nous là ? Quelle est notre place dans l’univers ? Ce n’est que mon point de vu profondément athé mais j’ai pensé que nous n’avons pas spécialement été crée par une quelconque entité divine. En partant du principe que l’univers est immense, infini et régi par des lois de probabilités, il me semblait totalement logique de penser qu’il n’est pas impossible que le hasard ait fait qu’une forme de vie telle qu’une bactérie, qui n’est après tout qu’un ensemble de molécules qui réagit avec son environnement par le biais de réactions chimiques, aurait pu donner une forme de vie telle qu’un être humain.

Il m’est alors apparu absurde de s’obstiner à chercher le sens de la vie puisqu’une question existentielle n’a de sens qu’à partir du moment où on la pose. Oui, ça part un peu en couilles. Les effets de la MD atteignent leur pic. J’accepte ma place de néant parmi l’immensité de l’univers. Je comprends qu’il ne faut pas chercher le sens de la vie mais le sens de ma vie.

Je me suis complètement accepté et dans l’extase la plus totale, mon égo s’est dissout dans l’univers dans une compréhension totale de celui-ci. J’étais l’univers. Le temps s’est à la fois considérablement dilaté et considérablement compressé. La musique se termine par une sorte de “vent psychédélique”. En sentant la fin de celle-ci, je me suis relevé et je me suis senti renaître. J’ai regardé ma copine et j’ai compris qu’elle était exactement dans le même état que moi.
J’ai regardé son visage qui se déformait au gré de mes hallucinations.

La renaissance extatique :

Après avoir écouté une compo à moi dans cet état là, je me suis dit que ça ne serait pas une mauvaise idée d’en écouter d’autres… Je suis allé voir A pour qu’il me prête son portable pour me connecter sur Soundcloud. Il me l’a généreusement tendu. J’ai d’abord un peu galéré pour trouver l’appli. Pour rentrer mes identifiants, c’était une autre histoire… Je rentre mon adresse mail et là, le portable se met à buger. Mais quand je dis buger, c’est vraiment buger… Il commence à afficher pleins de publicités pour l’appli qui se superposent et font des méga fondus-enchaînés. Je lui retend le portable :

“Mec ton portable il bug sérieusement là…”

Aussitôt qu’il le reprend, le portable marche à nouveau normalement. Il me le redonne et je finis de rentrer l’adresse mail. J’essaye de rentrer le mot de passe et il se met à buger à nouveau.

- J’crois que je sais pas me servir de ton portable… Il arrête pas de buger.
- Fais voir. Ah ça ? C’est normal qu’il fasse ça, c’est parce que t’es sous LSD !

Il le débug à nouveau, je n’ai plus qu’à rentrer le mot de passe. Je dois rentrer un caractère spécial et là je tombe nez à nez avec des caractères bizarres. C’était assez troublant...

- Mec, c’est moi ou t’as Pi sur ton clavier ?
- Ouais je l’utilise des fois pour mes mots de passe.
- Ah d’accord… Et sinon, il est où le tiret du bas ?

J’ai par la suite spontanément demandé à un pote qui était à balle de D :

- Eh mec, t’es chaud à ce qu’on se tape un sprint ?
- Tu veux vraiment courir là ?
- Bah ouais pourquoi ?
- J’sais pas… Spontanément là ? Pour le plaisir ?
- On a un corps physique en état de marche, pourquoi on se priverait de l’utiliser ?
- T’as raison...

A ce moment là, je n’avais trop la notion du temps mais je suppose qu’il était 5H car le soleil commençait à pointer le bout de son nez. On convient d’accélérer progressivement. On se lance et on traverse la petite route qui mène vers une grande allée dans le parc. Je me souviens avoir eu une visu que je n’avais encore jamais eu, le “zoom visuel”. Au début de la course, en traversant la route, j’ai réussi à faire une sorte de zoom au niveau visuel qui me permettait de voir avec énormément de précision le bout de l’allée situé 400m plus loin.
Je courais encore à une vitesse de footing mais je ne sentais pas du tout l’effort physique. C’était jouissif de se dépenser physiquement et je retrouvais peu à peu ma place dans mon corps physique. On continue d’accélérer et je commence à dépasser mon pote. Je crois que je n’avais jamais couru aussi vite de ma vie.

Je ne sentais pas du tout l’effort physique mais je ressentais l’oxygène que je respirais passer à travers mes poumons. J’avais plus l’impression de flotter au dessus du sol que de prendre appui dessus… Je me suis mis à analyser le mouvement du corps humain lorsqu’il court à pleine allure. C’est drôle parce qu’au final, on ne passe que très peu de temps à prendre appui sur le sol. Je vois mon pote qui est maintenant 20 mètres derrière moi freiner progressivement sa course. On a du courir 200 mètres comme ça. Je fais de même et on rejoint les autres là où on les avait laissé.


Bon, maintenant il faut gérer la grosse perche sous LSD…

Il devait être 6h. Les effets de la D commencent à redescendre doucement. R lève les yeux aux ciels

R: Oh merde, c’est déjà le matin !

Effectivement, le temps s’était à la fois considérablement dilaté mais aussi considérablement compressé comme si entre le pic des effets de la MD et cette prise de conscience du soleil qui se lève, il s’était écoulé environ 20 minutes. Bref, du grand n’importe quoi... Un gars qui rentre de soirée croise notre route de hauts voltigeurs et nous taxe une clope. On l’invite à se joindre un petit peu à nous et on tape un peu la discute. Il devait avoir 16 ans. Il se vente d’avoir trompé sa copine. Ah… Il nous a cramé mais c’était surtout à cause de R et moi...

- Vous avez pris quoi ?
- Nous, on a pris de la MD et eux, ils ont pris un mélange de LSD et de MD.
- Putain, vous êtes sérieux ? Moi, jamais de ma vie, je pourrais prendre ça.

Une pensée m'a traversé l'esprit : “tant mieux, laisse-nous ce privilège” mais je ne suis pas sûr que cette réflexion fasse preuve d'une grande sagesse.
Comme la lumière faisait de nouveau sentir sa présence, on est retourné dans le parc. A côté de l’étang, de toute façon, on commençait sérieusement à se faire attaquer par des moustiques mutants… J’essaye un peu de discuter avec ce gars mais les conversations ne mènent pas à grand chose et restent vachement terre à terre, chose assez frustrante quand on est sous acide. Dans le dialogue, pauvre, mais néanmoins dialogue qu’on arrivait à maintenir à bout de bras, je sentais qu’il ne comprenait pas le quart de ce que je disais. J’ai vite arrêté de parler avec ce gars...

- Et alors, tu vois quoi ? Des éléphants ?
- Non, t’as pas de vrais hallucinations, bref en gros tu te sens très bien...
- Putain c’est vraiment de la merde ces trucs.

Bon ça ne servait pas vraiment à grand chose d’aller plus loin. Un employé du parc qui ramassait les déchets s’approche de nous. Il avait l’air sympa et plutôt heureux. On se dit bonjour et je vois quelque chose d’écrit sur la poubelle qu’il trimballe.

- Un moment de bonheur à partager - Miko. Ecrit sur une poubelle

On était tellement cramé, mais on s’en foutait un peu. Cette scène a bien faire rire les autres qui étaient en pleine descente.
On s’écarte un peu avec R et le pote avec qui j’ai fait un sprint. On va vers un coin où il y’a un peu plus de végétation. Je me rends compte qu’il va falloir gérer la descente de D sous LSD. D’un premier aspect, ça faisait un peu peur mais finalement; c’était tout à fait gérable. On s’assoit dans l’herbe qui se fractalise et sa kaléidoscopise… En fait, l’intégralité de l’environnement part en fractal. Wouah ! C’est vraiment fou les visus sous LSD ! On discute un peu. R est entrain de vivre la même chose que moi. On n’a même plus besoin de parler pour se comprendre. On retourne avec les autres. Je regarde le sol. Les graviers aussi se transforment en fractales kaléidoscopiques. Tout le monde commence à avoir un peu faim. On décide d’aller acheter un p’tit dej dans une boulangerie. En sortant du parc, je parle un peu avec A.

Moi : Je sais pas si c’est moi qui suis trippé mais j’ai vraiment l’impression que le gars qui est avec nous depuis avant pense 100 fois moins vite et comprend 100 fois moins de trucs que moi.
A : Ah nan, t’inquiète, c’est juste qu’il est con !

Désolé pour l’individu concerné mais c’est vraiment comme ça que je l’ai perçu... Finalement, il finit par nous laisser.


La découverte de l’environnement urbain :

On s’approche petit à petit de la boulangerie dont il est question. Elle ouvre ses portes avec quelques clients qui attendent à l’extérieur. On était encore complètement perchés R et moi. Je discute avec A:

- Merde comment on va faire pour avoir l’air normal dans cette boulangerie ?
- Au pire j’y vais à ta place.
- Nan ça peut être marrant.
- J’ai une technique moi, quand je suis sous acide pour avoir l’air normal “en société”. Tu réfléchis à l’avance à ce que tu vas demander et tu restes concentré dessus. Stay focused !
- Ouais, t’as raison, “une baguette de pain et deux cafés s’il vous plaît”. Stay focused !
- C’est ça, t’as tout compris !

On s’aventure dans la boulangerie A, R et moi. Dans la file d’attente, je commence à avoir le regard qui divague sur les pains au chocolat et je commence à bien phaser.

A : Regarde la caisse et stay focused !
Moi : Stay focused !

On se tape un gros fou rire en plein dans la file d’attente puis vient notre tour...

- Bonjour !
- Bonjour ! Une baguette de pain et deux cafés s’il vous plaît !
- Vous voulez combien de sucre dans le café ?

Oh nan le piège ! Deux sucres mais pour les deux cafés ou pour chaque café ? Du coup ça fait 4 sucres ? :paranoid:

- 4 sucres !
- 3€50 s’il vous plaît. (ouf !)

Nous voici donc armés pour la suite !


La télépathie, c’est l’empathie poussée à l’extrême :

Il devait être 7h30. Les voitures commencent à inonder les routes. Ça devient moins agréable d’être dans un environnement urbain. Finalement, on réussit à se trouver un parking calme en plein air où il y’a assez peu de circulation. J’essaie un peu de parler avec ma copine mais la conversation est pour le moins étrange. Je commence à peine une phrase qu’elle s’empresse de la ponctuer d’un “oui je sais”. Et effectivement, j’étais capable du même exploit télépathique qu’elle. On s’est assez vite rendu compte qu’on était tellement en synergie que les pensées de l’un empiétaient sur celles de l’autre…

On se sentait comme les deux hémisphères complémentaires du cerveau, tellement qu’il nous était impossible de communiquer en se parlant directement. Pour avoir une conversation, on était obligé de parler à quelqu’un d’autre, et par l’intermédiaire de cette conversation, on arrivait à dialoguer… Cette synergie était tellement importante qu’elle en devenait frustrante. C’est perturbant que quelqu’un sache dans les moindres détails ce que vous allez dire avant même que vous ayez commencé la phrase… On plaisantait sur une blague quelconque. Sous acide, il peut y avoir différentes façons de voir un même raisonnement :

Moi : Ah mais en fait, ta blague, c’est un triple troll !
R : Nan, y’en a 4 !
Moi : 4 ? C’est quoi le quatrième ?... Et merde…

En fait, il n’y avait pas 4 façons de voir la blague mais bien, 3. Seulement, le temps que je cherche quel était ce 4 ème troll, elle m’avait déjà trollé puisqu’il n’existe pas...C’était tellement frustrant qu’on en est arrivé à se départager avec un concours de vitesse de pensée. Oui vraiment, ça semblait totalement pertinent comme distraction...

Finalement la perche a fini par redescendre tout doucement et on est enfin redevenus capables de se parler directement. Tout le monde est rentré chez soi. Je me suis endormi vers les 11h avec ma copine sans trop de difficultés en écoutant du Jazz…


Conclusion :

C’était très certainement une des plus grosses perches de ma vie. Ça faisait longtemps que je l’attendais et elle ne m’a pas déçu. Je n’ai pas réellement trouvé que prendre de la MDMA et du LSD en même temps était plus dangereux que de prendre les deux substances séparément notamment parce que je trouve que la MD atténue le côté bad du LSD. On n'oubliera pas de préciser que les deux molécules amplifient mutuellement les effets l'une de l'autre et que les amphétamines, ça file la tachycardie. La descente était relativement douce et agréable.
 

Siddh?rtha

Glandeuse pinéale
Inscrit
12 Fev 2012
Messages
152
Beau TR l'ami, cela dit j'ai pas l'impression que ton égo ai été si dissolu que ça à la lecture de tes écrits :lol:
 

Moondude

Matrice périnatale
Inscrit
3 Nov 2015
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2
Hahaaaa gros parkour sur les branches et et petit sprint sous influence ^^ Pour avoir fait le meme combo dans des conditions similaires , jme retrouve vraiment dans ces kiffs ,waaaaaaaaaaaaw ca fait plaisir de lire ca :D au passage le son est douuux :p
 

SAMBAATA

Matrice périnatale
Inscrit
26 Mar 2016
Messages
16
La télépathie, c’est l’empathie poussée à l’extrême :

Pas mal cette phase , sympa ce tr
 
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