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LSD • Club porno local puis 9km à pieds dans Paris

L'eau d'Oïs

Neurotransmetteur
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12 Avr 2021
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  • Substance : LSD + THC + Étizolam
  • Dosage : 1 buvard acheté en club
  • Corpulence : 181cm - 69,40kg
  • Set : Heureux, excité, enjoué, assuré.
  • Setting : à la folie paris (club queer parisien) puis dans les rues de Paris.
  • Horaires : 21h00 : Drop LSD
                     02h00 : Joint
                     06h00 : Drop 1mg Étizolam (9h de trip)
                     07h00 : Redrop 1mg Étizolam 
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Alors j'avais déjà du pris du L en septembre, mais je n'avais pas eu beaucoup d'effets. Il faut dire aussi qu'on avait pris un sucre (supposé contenir une goutte de L) et on l'a écrasé puis divisé en 4, puis bu avec du cidre. Donc je considère que j'ai pas essayé le LSD cette fois là.
Les champis, premier trip en Janvier c'était génial, première expérience toutes drogues confondues (hors alcool/weed). En Février c'était pas ouf les champis, puis en Mai c'était bien mais triste. Et en Août, ceux que j'avais fait poussés dans une box ne m'ont fait aucun effet.
Donc bon, j'étais un peu en mode "oh non, les psychés ne me font plus rien aled".

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Retour dans le futur du temps, à Paris, le jeudi 04 novembre, dans les Caves Lechapelais (très beau club queer techno !) avec l'organisation Nuit de Grâce, je suis posé sur un canapé en train de fumer. Un mec se pose à côté de moi et on discute une demi-heure, puis j'apprends qu'il vend du L. Je me dis que c'est l'occaz, car j'ai pas envie d'acheter en ligne car il faut en prendre pas mal pour que ce soit rentable (au niveau des frais cryptos, FDP etc..). Donc je lui achète, bref il me dit que c'est son pote qui les achète sur le DW, que c'est de la patate etc..

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Donc j'ai maintenant en ma possession du L. Mais plusieurs choses sont à prendre en compte pour déterminer mon choix  je n'ai pas d'ami avec qui le prendre + je pouvais pas bien le conserver donc je devais "vite" le prendre pour pas qu'il perde en puissance.
J'apprends que le samedi 27 novembre, un collectif porno alternatif faisait une présentation du projet dans un club/bar nommé "à la folie Paris". Soirée LGBTQIA+ friendly / Porn lovers welcome = ça a l'air sympa, et ça finit à 2h00.
En même temps, il y avait une soirée Nuit De Grâce, encore aux Caves Lechapelais, de 23h00 à 06h00. 
Je me suis donc dit que je ferais l'un, puis l'autre.. que nenni au final.
Et donc comme cette soirée a l'air sympa, inclusive, avec de la musique, des jolies personnes : go prendre du L là-bas.

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Je me suis préparé toute la journée, mentalement j'ai hâte, je pense comme ça : 
- si le L marche pas, pg ce sera quand même une bonne soirée et j'ai du joint
- si le L marche, beh la soirée sera encore meilleure
J'arrive donc vers 20h00, je me fais sérigraphié une magnifique tenue rose avec le logo du collectif. Je remarque que le lieu est incroyable et aussi très tippy. Quelques photos d'illustration :

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Je fume un peu, puis je drop mon L à 21h00. Je bois une bière et dès 21h30 les effets ont commencés à arriver.

Déjà la bière que j'ai bu m'a monté à la tête, et je suis un peu à retardement niveau mental. Et je me rends compte que en effet, ma main est différente de d'habitude. Je suis agréablement surpris que ça monte si vite, et j'ai aussi l'euphorie de découvrir une nouvelle expérience, car c'est différent de mes prises aux champis.
Peu à peu, l'ambiance autour de moi devient plus intense. Je prends vraiment conscience à ce moment-là que le lieu EST trippy, chaque mur/plafond/personne/escalier est une fresque aux allures des hippies 80's que j'ai en référence.

Comme pas mal de fois quand je suis défoncé, ou même dans la vie en général, je ne parle pas. Et je ne peux pas parler même quand des gens me parlent. Donc des fois c'était juste des échanges de regard enflammés, ou sinon du langage corporelle. Mais j'angoisse aussi très peu dans la vie, donc ça allait.
J'ai donc erré, regarder les gens (beaucoup) et j'avais une phrase en tête :They know x')
Donc je ne sais pas si c'était cramé à 10000 ou pas, mais ça me faisait rire intérieurement.
La musique était incroyable, le lieu me paraissait beaucoup plus grand, l'ambiance était littéralement légendaire, j'ai vécu ma meilleure soirée tout confondus, la scénographie, la tension : TOUT.
J'ai une image en tête : je voyais des géométries abstraites sur les murs/plafonds et les gens se déplacés dans différentes temporalités, comme dans cette vidéo : [video=youtube]
Certains allez en accéléré, et d'autres à vitesse normal et c'était assez perturbant de réalité.
J'étais aussi tout le temps afféré à observer quelque chose, puis changer de sujet 10sec après.
J'ai aussi eu un moment où j'ai vu IRL une personne que je suis sur Insta, et ça m'a fait buguer car ma réalité d'avant s'est confondu avec la nouvelle vie que je mène depuis deux mois. 
Un truc qui me faisait chier, c'est que j'adore observer les gens vivrent. Le soucis c'est que je me disais que ça pouvait les mettre mal à l'aise d'être fixé. Donc j'été tiraillé entre être ici en faisant chier, alors qu'en soit je faisais rien, et que chez moi ce serait grave moins bien mais je ne serai un problème pour personne.


acbn.png

Vers 2h00, l'ambiance est à son paroxysme mais il faut partir. Donc on nous passe les meilleures musiques puis on sort.
J'avais donc prévu d'aller à la soirée Nuit De Grâce, donc je regarde les métros. Je ne savais pas encore que les métros parisiens étaient fermés entre 1h30-5h30.. Donc je me dit pas grave je vais marcher :)

Durée du trajet : 1H09 à pieds.
Dans mon état, bien plus. Mais bon, je me dis que je peux essayer. Si je me concentre, ça passe, j'arriverai vers 3h30.
Je m'allume un joint et deux personnes viennent me demander de l'argent pour aller dormir à l'hôtel. Gros retour à la réalité, qui est celui de beaucoup de personnes Porte de la Villette. Et le gros contraste, entre moi qui prend du LSD car je ne risque rien, que je n'ai pas à me préoccupé du lendemain sans cesse ; et eux, qui demandent à dormir quelque part. Complètement perché, je commence à dire de la merde en mode : "oui mais il faut continuer à croire, et tout ira toujours pour le mieux avec le temps ", mais ils me font remarqué que c'est assez irrespectueux. Finalement on se quitte, et je commence à marcher. Puis à essayer de me repérer : C'ÉTAIT ULTRA DUR. Je n'avais qu'un moyen pour moi de me repérer : le GPS de mon téléphone. Mais l'application m'énervait, et ne faisait pas ce que je voulais et ça me soûlait tellement x)
Donc j'ai réussi à partir dans la bonne direction.
J'écoute mes musiques favorites, beaucoup de Disiz La Peste, et aussi des streams de Marex_LoL.
Je voyais les frontières entre mon monde, dans ma bulle toute trippy, et la rue froide et dure où dormaient certainx.
J'ai vite compris que soit je n'arriverai jamais à ma destination, ou soit j'arriverai à la fermeture. J'ai donc essayé de prendre le chemin de la maison.

Marcher était pas non plus facile, car je devais faire attention aux voitures bien que je ne voyais pas grand chose et que le temps se déroulait étrangement. J'ai prié à plusieurs moments où je traversai des passages cloutés.
Je pensais à certaines choses avec toujours le même pattern :
- je ne veux pas marcher car trop long
- je ne peux pas prendre le bus car je ne comprends rien à mon appli
- il faut donc que je redescende, mais je trouve plus ma benzodiazépine
- je dois continuer à marcher et ne pas rester fixé sur l'un de ces 3 choses ou sur le décor sinon je vais pas avancer.

Finalement je marche 4heures et 9km pour arriver chez moi. Je me prends un kebab, je retrouve mon etiz donc j'en drop 1mg vers 06h00.
Je n'arrive/n'ai pas envie de dormir jusqu'à environ 8h30. J'ai redrop un etizolam à 07h00.


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Et bien c'était sympa en tout. J'ai pas bad, à aucun moment. Alors que en y repensant, mon setting était pas au top : un endroit avec beaucoup de gens, beaucoup de vie(s), première fois, seul, puis la rue entre 02h00 et 06h00. Si quelqu'un dans le club, ou un mec en sortie de boîte aurait voulu m'agresser/me voler, je n'aurai rien pu faire.
J'avais toute ma vie dans ma sacoche, et j'espérai très très très fort de rien avoir perdu en faisant tomber.

Donc j'ai bien aimé, mais je pensais pas que ce serait aussi fort et impossible à faire retomber juste en s'y forçant par la pensée. Je réessaierai sûrement ;)
 
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2 Sept 2021
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Salut, ton TR à été très bien écrit, j'ai pris plaisir à tout lire ^^

J'ai une question, à quel dosage était le buvard que tu as pris?
 

L'eau d'Oïs

Neurotransmetteur
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12 Avr 2021
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Eau Precieuse a dit:
Salut, ton TR à été très bien écrit, j'ai pris plaisir à tout lire ^^

J'ai une question, à quel dosage était le buvard que tu as pris?

Merci, mais si tu lis bien je l'ai acheté à un inconnu, donc impossible de savoir. Je l'aurai mis si je le saurai
 

Biquette

Modo vache qui rend chèvre
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5 Fev 2013
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Très bon TR, même si j'aurais aimé plus d'observations sur ce qui se passait dans ta tête ^^
En tout cas t'as abordé le truc avec le bon mindset, prévoir de kiffer sa soirée avec ou sans effets ajoutés !
 

xyzt_

Symplectomorphisme
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et bravo pour la présentation, c'est chouette ! :)
 

Skruffy

Holofractale de l'hypervérité
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Incroyable, sacrée soirée! C'est vrai que le setting était pas au poil mais c'est aussi ça qui peut pimenter l'expérience et l'enrichir avec par ex. la soirée dans la boite ou même tes rencontres nocturnes dans les rues.

Mais ouais franchement si le carton était fort et que tu l'as bouffé en entier t'as vachement bien géré! Entre la galère à se perdre dans Paname et les club pleins d'inconnus y'a de quoi vriller (pour certains).

C'est cool les images pour faire des titres aussi
 

L'eau d'Oïs

Neurotransmetteur
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12 Avr 2021
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Merci, ça fait plaisir !
Je suis content que les titres plaisent, je trouvais ça plus pratique sachant que je ne sais pas géré l'outil d'édition de titres du forum..

Skruffy a dit:
Incroyable, sacrée soirée! C'est vrai que le setting était pas au poil [...] Entre la galère à se perdre dans Paname et les club pleins d'inconnus y'a de quoi vriller (pour certains).

Oui surtout que je mettais tous mes efforts pour réussir la mission de rentrer chez moi. C'était la fois la plus dure pour rentrer chez moi BY FAR.

Biquette a dit:
Très bon TR, même si j'aurais aimé plus d'observations sur ce qui se passait dans ta tête ^^

J'avoue que j'ai du mal à définir ce que je voyais vraiment et les effets car en fait j'avais l'impression d'avoir tous les effets possibles : 
physique : euphorie / bodyhigh agréable / stimulation / endurance / suppression appétit

hallucinoses : vision 4K, couleurs augmentées, déjà-vu, ondulation et respiration des choses, superposition de différents vues (dehors, vitre, reflet de l'int..), driftings, gros pattern géomètriques, hallus auditives (j'avais un casque audio, ça faisait des choses sympas)

mental : difficultés à rester focus, réflexions typiques d'un perché, empathie, boucles de pensées, trous de mémoires, distorsions du temps + espace,
 

Sandman

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[quote="L']
Si quelqu'un dans le club, ou un mec en sortie de boîte aurait voulu m'agresser/me voler, je n'aurai rien pu faire.
J'avais toute ma vie dans ma sacoche, et j'espérai très très très fort de rien avoir perdu en faisant tomber.
[/quote]

Je sais pas si j'y penserais tout le temps mais ouais c'est ce qui me ferait le plus me sentir mal à l'aise voir bader dans ce genre de contexte parisien (ou de grandes villes en général).

Sobre je suis un mec plutôt baraque et sur de ma force (du moins c'est ce que j'essaye de dégager) donc on vient rarement m'embrouiller. Mais sous psyché j'aurais peur d'être inapte à me défendre.

Sans même parler d'agression physique t'sais les gars ils viennent pour se foutre de ta gueule, pour t'humilier voir pour te foutre un coup de pression gratis.
 

Tridimensionnel

Holofractale de l'hypervérité
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C’est marrant j’ai vraiment pas la même perception de la ville que vous. À la limite je me méfie des attoucheurs mais de mon expérience c’est pas dans les rues qu’ils sont les plus dangereux.
 

Sandman

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Après je suis un peu villo-phobe.

Mais j'ai eu de nombreux retours d'expérience notamment sur Paris qui m'ont refroidis aussi. Moi même dans des villes moyenne jme suis déjà fait emmerder.
J'sais pas, Paris y'a cette ambiance d'insalubrité et d'insécurité. C'est peut être des idées mais en tout cas j'y suis sensible et je suis sur que ça jouerait sur mon trip.

A la rigueur je serais bien plus tranquille si j'avais vraiment rien sur moi.

Après je sais pas comment vous vous comportez sous psyché mais je sais que sous champis moi il me fallait un sitter. Sinon dans la rue je pouvais faire des conneries. Même faire chier un peu les gens vu que pendant la montée j'étais très désinhibé.

Et puis y'a les flics aussi. J'ai pas spécialement peur d'eux mais ça me ferait chier de me retrouver en cellule de dégrisement avec des mecs bourrés pendant tout le trip...
 

Tridimensionnel

Holofractale de l'hypervérité
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Je sais pas, j'ai souvent traîné de nuit dans la capitale, notamment dans les quartiers des Halles, du Montparnasse et de Pigalle, et j'en retire pas de sentiment d'insécurité (peut-être que j'ai évité certains attroupements ou changé de trottoir, mais j'en garde pas de souvenir). Ensuite y'a probablement une part d'inconscience aussi, et puis peut-être que j'allais pas non plus dans les endroits qui craignent le plus, mais par contre j'ai jamais été sélective dans mes trajets.
Je me méfierais bien plus du centre-ville de Nantes, qui pour le coup est très correctement équipé en gros chiens en rut et agresseurs nocturnes.
 

L'eau d'Oïs

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L'ambiance que j'ai ressenti entre La Vilette et Montparnasse est très différente.
Je vois bien ce que tu veux dire MrSandMan avec l'insalubrité. Enfin moi c'était de la tristesse qui y était liée, avec tous ces gens, alors que moi j'ai le luxe de tripper.

Vers Montparnasse c'est tellement grand et vide. Ça fait moins mal.
 

Kumaneko-San

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Tridimensionnel a dit:
Je sais pas, j'ai souvent traîné de nuit dans la capitale, notamment dans les quartiers des Halles, du Montparnasse et de Pigalle, et j'en retire pas de sentiment d'insécurité (peut-être que j'ai évité certains attroupements ou changé de trottoir, mais j'en garde pas de souvenir). Ensuite y'a probablement une part d'inconscience aussi, et puis peut-être que j'allais pas non plus dans les endroits qui craignent le plus, mais par contre j'ai jamais été sélective dans mes trajets.
Je me méfierais bien plus du centre-ville de Nantes, qui pour le coup est très correctement équipé en gros chiens en rut et agresseurs nocturnes.

Les coins comme Montparnasse, les Halles ça va encore, même la nuit. Pigalle c'est très particulier je trouve car c'est un quartier  où se mêle à toutes heure diverses populations, je ne m'y suis jamais senti en danger. Par contre il y a des coins comme Chateau Rouge, Barbès et certaines portes du nords où je ne me m'amuserais pas à foutre les pieds la nuit. 

[quote="L']
L'ambiance que j'ai ressenti entre La Vilette et Montparnasse est très différente.
Je vois bien ce que tu veux dire MrSandMan avec l'insalubrité. Enfin moi c'était de la tristesse qui y était liée, avec tous ces gens, alors que moi j'ai le luxe de tripper.

Vers Montparnasse c'est tellement grand et vide. Ça fait moins mal.
[/quote]

En ce moment c'est clair que c'est triste. Le soir je fais souvent Gare du Nord Rue de Rennes à pieds quand je rentre du Taff et il y a beaucoup de SDF je trouve. C'est dans ces moments là que je prends conscience de ce que certains ont et d'autres non! :-s

Sinon c'est quand même sacrément audacieux la traversé de Paris sous LSD^^ :coool:
 

AlphaCentauri

Alpiniste Kundalini
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24 Mar 2017
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J'ai fait tous mes trips acides dans les rues de paris, mais en journée.

La nuit j'aurais pas apprécié.
 

AlphaCentauri

Alpiniste Kundalini
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24 Mar 2017
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Justement à ce propos, j'ai souvenir d'un trip ou installé en plein soleil sur une chaise dans le jardin des tuileries, les yeux fermés, la formation d orbes lumineuses étaient facilité par la luminosité du soleil sur les paupières. Ça donnait l'impression d'un monde lumineux , d'une chaleur envoûtante. J'imagine que dans le noir ça aurait tout autre.
 
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