Quoi de neuf ?

Bienvenue sur Psychonaut.fr !

En vous enregistrant, vous pourrez discuter de psychotropes, écrire vos meilleurs trip-reports et mieux connaitre la communauté

Je m'inscris!

Ethylphenidate

passemoilebedo

Sale drogué·e
Inscrit
5 Fev 2009
Messages
998
salut mes gins

Quelqu'un aurait -il des infos sur Ethylphenidate , il semble que ce soit un stim en remplacement de la ck d 'apres wiki
Aspect crystaux blanc et que ce prod soit actif des 10 mg

IUPAC name: ethyl 2-phenyl-2-piperidin-2-ylacetate
CAS number: 57413-43-1

618px-Ethylphenidate-3D-ball-model.png
 

PSYCHOCRACK

le gros con avec une chaussure noire
Inscrit
10 Jan 2007
Messages
5 659
Pas d'info, désolé, mais , au prix ou c'est vendue par rapport au dosage ça laisse présagé rien de bon..... :?

Mais après peu être je me goure.....

Le non ressemble beaucoup à celui de la ritaline!!!!

C'est un analogue????
 
C

Chandly

Invité
J'ai reçu un gramme il y a peu de temps et j'ai testé ça cette semaine donc, plus ou moins sur deux jours et demi ( pas RDR donc j'étales pas ça ici ). D'abord en para de 30/40 mg : les effets arrivent assez vite, compter 20/30 minutes environ, légère euphorie, bonne pêche, bonne tchatche, attention augmentée, tout ça pendant 1 heure grand maximum, ensuite plus rien si ce n'est les dents qui morflent et le coeur qui tape. Grosse envie de redrop ( après ça c'est perso chacun gère ça différemment ) à coups de petite trace de quelques mg qui font effet 10/20/30 minutes max ( je déconseille bien sûr ).

Bref pour le moment je suis mitigé, je trouves la descente et la durée de vie du produit ( peut-être dû aussi aux relatives faibles doses assimilées ) bien trop contraignantes en comparaison des bénéfices apportés par les effets attrayants, voilà voilà :)
 
C

Chandly

Invité
Si tu parles de la descente psychologique je dirais que c'est bien pénible pendant trois bonnes heures, après physiquement je pourrait pas donner de données ( mouarf ) réellement fiables étant donné ( :shock: ) que j'ai redrop bêtement à plusieurs reprises mais en gros après deux jours de conso et quasi deux nuit blanches + 8 heures et demie de sommeil tout à l'heure qui m'ont bien requinquer je dirais que j'ai mis facile 24 heures pour ne plus sentir aucun effet :wink:
 

clubkids

Elfe Mécanique
Inscrit
12 Mar 2009
Messages
464
Ah uai, c'est si addictif que ça ? Genre méphédrone ? et 1g pas too much ?
 

passemoilebedo

Sale drogué·e
Inscrit
5 Fev 2009
Messages
998
je pense qu'il faut vraiment faire attention au dosage , faut souvent revenir au panier mais a petite dose .
 
C

Chandly

Invité
Jamais test la méphe donc peut pas comparer ^^
Après je le redis ceci n'est QUE mon avis, et je précise d'ailleurs que je suis quelqu'un d'assez sujet à l'addiction donc tout est relatif ;)
 

clubkids

Elfe Mécanique
Inscrit
12 Mar 2009
Messages
464
étonnant ^^. Mais sur 2 jrs tu as pris tout ton pochon ? Irresponsable ?
 
C

Chandly

Invité
Haha non y a eu mésentente là ! J'ai pas mal repoutré oui, mais seulement à coups de quelques mg, jamais je me serait tapé 1g en doux jours :shock: je doute fort d'ailleurs que je te parlerais en ce moment si tel avait été le cas ^^
 

jamesfree

Neurotransmetteur
Inscrit
17 Déc 2011
Messages
20
Bjr,
Ayant utilisé de l'ethylphenidate pendant 1 mois de façon presque quotidienne je me permets de participer.
En sniff et sans tolérence je fais des lignes de 10-20mg. Maximum 5 sur la journée. A ce dosage, un produit pour trouver le sommeil sera surement utile.
La toute 1ere fois que j'en ai pris, c'etais un lendemain de cK (nouvel an) et je n'ai eu que de la stimulation et disphorie.
1 semaine plus tard j'ai ré essayé en rentran du boulot avec un verre de vin. J'ai adoré. Envie de parler, euphorie, motivation, energie, concentration. Pas de descente psychologique pourtant j'y suis fort sensible habituelement.

Ne jamais dépasser 50mg en moins d'une heure. Cela engendre a coup sur chez moi une confusion-anxiété.
Essayer de ne pas dépasser 100mg sur une journée. Redoser par 20mg toute les 2-3 heures etait sympa. Meme au boulot.
En para je n'ai pas bcp essayer car les effets sont moindres et pas aussi agréables. Dans la littérature anglaise ce produit semble etre le plus apprécié par administration anale. Je n'ai pas encore essayé. Vu l'état de mon nez, ça ne saurait tarder.
Ce produit pique un peu a assez fort selon l'état du nez et je dirais qu'on sent bien le coté caustique du produit. En tout cas ça débouche.

Je dirais que c'est assez dur sur le coeur qd même aussi!

En arrivent au bout de mon premier g, j'ai eu l'irresistible envie d'en racheter un stock. Depuis j'ai reçu pleins d'autres produits légaux comme illégaux. L'EP est plus fun et plus sain que la MPA par exemple. Quoique parfois sous EP j'ai pas trop envie de m'amuser, je prends conscience que je dois fair des trucs utiles pour ma vie.

Je déconseille de melanger ce stim avec d'autres prods sauf alcool. Le cannabis entrainant souvent une élévation du rhythme cardiac, je me suis senti mal alaise qq fois en fumant moins de 3 heures apres la dernière prise. Mais j'avoue je suis particulièrement sensible. Donc ne pas fumer trop rapidement apres la prise d'EP.

Je regrette d'en avoir racheter 4g un soir au j'etais allumé car la il faut surtout que je me calme et que je m'éloigne des stims. Je vais essayer de les renvoyer au vendeur mais je doute qu'il soit d'accord.

Prenez soin de vous!
 

GuyGeorge

Holofractale de l'hypervérité
Inscrit
28 Avr 2008
Messages
7 454
Tu déconseille pas le mélange stim' et alcool? Jeune fou! :D (je dis ça en rigolant hein) Ça m'as l'air assez utilitaire comme produit, faudrai peut être que je vois... Merci du report!
 

jamesfree

Neurotransmetteur
Inscrit
17 Déc 2011
Messages
20
Lol non, je ne le déconseille pas formellement. Mais vu que tu m'y fais penser, je vais ajouter une précision importante :wink: .

On est plus vite bouré en buvant de l'alcool avec l'ethylphenidate qu'avec un autre stim. Voir meme sans stim. A confirmer.
Donc testez vous gentillement. Vu aussi l'élévation forte de la pression sanguine avec l'EP, il vaut mieux ne pas abuser avec l'alcool pur.

Au fait, pour faire suite a mon post, j'ai fait ma première administration anal cette après midi. A 2 reprises. C'est vous dire comme c'est bon :lol: Et bien, l'effet est different qu'en nasal. Déja, sa ne pique plus le nez :wink: . Il est 3h40.
Sinon ça fait une petite sensation de chaleur et un chatoullis sympa. Je parle des effets une fois que la seringue d'un diametre important est retirée de mon anus défloré. :rolleyes: . Je vais surement modifier ce post en me levant demain. L'Etizolam et la bonne weed de coffee shop m'emènent sur un terrain délicat at cet heure indélicate.

Bref, par cette voie, les effets positifs sont boostés et la stimulation périférique reduite. Bonne érection par rapport au nasal. Etant nouveau, je ne sais même pas si cest un peu tabou ou la "tehon" sur ce forum mais je n'en ai pas grand chose a faire. Je fais avancer la science moi Monsieur!

DISCLAIMER : Je ne suis ni chimiste ni médecin ni vétérinaire. Ni gay 8) Bon :arrow:
 
C

Chandly

Invité
Plus d'un mois de conso régulière pour moi également, frustrant au début et peu à peu on l'apprivoise.
Frustrant dans le sens ou les effets euphoriques sont relativements courts ( 1h/1h30) au début, et donc l'envie de redrop est rapidement présente et désagréable. Après redrop on repart très vite, à la différence que cette fois ci, plutôt qu'une descente frustrante et énervante, on va avoir le droit à une stimulation cérébrale puissante et agréable, sans être euphorique. En rien comparable avec une décharge dopaminergique type 3-FA et consorts (ni rush ni jouissance intérieure non plus), une sensation de légère quiétude stimulante, clean, intérêt pour tout et n'importe quoi totalement décuplé, la stimulation cérébrale est agréable et participe au sentiment de bien-être qui accompagne le tout.
On abuse par contre vite du produit, car suivant la dose, le redrop est, si on veut conserver ces effets, nécessaire après 2/3/4 heures écoulées. Une journée complète ( 24h ) est parfaitement jouable dès lors que l'on poutre quelques dizaines de mg toutes les trois heures.
Pour ma part ( attention pas RDR du tout, à ne pas reproduire si vous tenez un tant soit peu à votre santé, mentale comme physique ) j'ai tenu 6 jours dont 5 entiers ( jours + nuit sans dodo ) avec 2 grammes, le premier ayant tenu les trois premiers jours, donc on peut calculer ça grossièrement ( 1000mg/3 = 333mg par jours environ ) mais je n'ai pas de donnée fiable à donner puisque les doses ont toutes étés faites à l'oeil ( ne pas faire non plus ) et au feeling suivant l'état mental du moment.

Les trois premiers jours ont étés très bon, l'insomnie que provoque le produit n'ayant pas encore causés d'effets secondaires gênants ou inquiétants, l'hydratation très régulière et surveillé ont permis de limiter les dégâts, la baisse d'appétit bien que gênante est bien gérable, la faim revient assez vite une fois l'EP moins actif dans l'organisme, donc profiter de ces instants pour se nourrir au moins un minimum et maintenir une activité stomacalo-digestives.

3 fois lors de ces 6 jours, la prise du matin a été retardé autant que possible, généralement de 6h du matin jusqu'à 11h soit 5 petites heures de répits cérébral toujours accompagnés d'un énervement croissant et d'une descente bien désagréable.
Ce laps de temps me permettait d'ingurgiter un cocktail composé de diverses vitamines, magnésium, guarana, ginseng, caféine, re-vitamines C,E, B6( même si inutile une fois un certain seuil atteint, ça rassure et puis une urine arôme oranges vitaminés c'est la classe 8)... ou pas), une ampoule de Debrumyl dégueulasse, le tout avalé avec un bon thé ultra sucré suivit d'un redbull ! :)
Honnêtement et même si une bonne partie doit être imputable à l'effet placebo, ce coktail de compléments me remettait ( les trois, quatres premiers matins du moins ) d’appoint, et limitait la fatigue nerveuse et physique qui ne faisait qu'augmenter au fil des journées.

Je précise aussi que l'abus d'ethylphenidate perturbe l'activité gastro-intestinal ( un para a réussit à me faire aller poser une pêche à trois reprises en moins de 15 minutes chrono en main ! et pas le petit truc hein, le vidage lourd et intégral ^^ :tonqe: alors qu'au contraire durant cette semaine d'abus volontaire mais très con et dangereux, j'ai regouté aux joies de la constipation, au bon souvenir des semaines passées sans aller poser le moindre étron, excepté une tentative mensuelle qui aboutissait généralement, après luttes acharnés me transformant en tomate, à l'insatisfaisant et frustrant démoulage chaotique de deux voire trois boulettes diamétralement ridicule et aux couleurs froides et pâles, dont la consistance assimilable à celle d'un petit caillou ( j'ai effectivement été contrait d'y toucher... LE PREMIER KI SMOKE JLE TAPE OKAY ? mais l'histoire est futile et inintéressante :D ) n'aurait aucun mal à transpercer un vitrage banal...Mais pourquoi je racontes tout ça moi, bon après tout, je préfères que ce forum soit mon psy plutôt qu'un énième tacard incompétent :D )
Donc en cas d'éventuel abus, préparer les citrates de bétaines, laxatif thérapeutiques et autres médocs facilitant la digestion et le démoulage de kayke ;)

5eme jour de la semaine : break médicamenteux, opis + benzos pour apaiser le tout, 24h de break dont 15 de sommeil, levé à 19h le samedi soir, étant seul et en mode " toute façon t'as fais le con avec ta dopamine toute la semaine, t'étonnes pas d'être mentalement HS et pas heureux " je décides de me faire une bonne bouffe devant la télé, et d'improvisé après.
Un Gavage de mort de faim auquel mon petit estomac, plus du tout habitué à ingurgiter autant de nourriture, réagit cash ( je pense quand même que le mélange massif de skénan et d'etizolam, probablement encore un brin présent dans l'organisme après ces heures de dodo, ont une petite part de responsabilité m'enfin, osef en fait ) en offrant un billet retour à ma belle pizza outrageusement garnit de délicieux fromages divers sur un matelas préalablement composé d'un pot quasi entier de crème fraîche épaisse :heart: :bave:, je rage encore de ce gâchis ( d'ailleurs c'est la conséquence physique qui m'énerve le plus avec l'abus de X molécule, je rêve de pouvoir bouffer normalement et en quantité conséquente comme avant, sans maltraiter mon estomac et risquer au choix nausée, gerbis, ou remontées acides ultra douloureuse et nauséabonde pendant 30 heures facile... :( )

Suite à ça, vidé mentalement comme physiquement, envahit d'un coup de blues, je me souviens que je dispose de 300mg de 6-APB. Un para de 100mg et rules. La nuit se déroule très bien, molécule vraiment sympa, descente pas difficile, bref, bon produit, d'autant plus après une quasi semaine de spoil et de sollicitation continue du système dopaminergique (
coeur.gif
)
Le dimanche matin passé, laisse place à un début d'après-midi pénible nerveusement, revêtant un pessimisme et un sentiment je m'en foutiste totale, je suis pris du fameux " allez on termine la semaine de toute façon, une de plus une de moins... on arrêtes les conneries dès lundi de toute façon ! " ... Pochon sortit, deux pointes de couteau avalés avec de la flotte, et deux dans les narines qui soulagent immediatement...
Aux alentours de 17h des premiers signes inquiétants se manifestent : Palpitations puissantes et inhabituelles, difficultés à prononcer une phrase d'une traite, sans bafouiller ou chercher un mot. A partir de cet instant ( 18h environ ) va apparaître et se manifester crescendo, de façon de plus en plus forte et de plus en plus génante à mesure que les minutes défilent, ce que j'appellerais une hypersensibilité sensorielle et paranoïaque.
En gros, le sentiment que le moindre son entendu est agressif, fort, et cause des dommages cérébraux ( difficilement explicable ), l'impression insupportable qu'à tout moment quelqu'un peut venir par surprise taper une gueulante dont le cerveau ne se remetrait pas, la sensation parano d'être au coeur de toutes les conversations et de monopoliser la totalité de l'attention, la peur de voir quelqu'un surgir et causer un trauma, grosso modo plus les effets se développaient plus le sentiment de peur était présent. Quelques hallucinations visuelles et sonores aussi, avec cette sale impression que le cerveau est au bord de la rupture et que le moindre choc peut-être dévastateur...

Bref je sais pas de quoi il s'agit vraiment, j'ai cherché sur le net sans résultats convaincants ( si certains ont une piste, grand merci d'avance ) mais qu'il s'agisse de réels symptômes ou que ce soit le résultat d'un épuisement nerveux, dû à un profond manque de sommeil et de l'abus de stimulants, ça fait bien flipper en tout cas ! ( Il va de soi que dès l'apparition de ce symptôme je n'ai pas redropé le moindre mg... pas suicidaire non plus hein )
L'organisme fait généralement savoir par diverses manifestations, lorsqu'il est proche de la rupture, qu'il est à bout et que la limite est atteinte... Mais parfois il n'a pas le temps de prévenir, parfois l'empoisonnement subit est trop important et l'intoxication le met HS en quelques secondes. Donc plutôt que de tâter les limites et prendre le risque qu'il n'est pas le temps de prévenir que là c'est bon stop... Prenez soin de lui et si abus il doit y avoir ( ce serait utopiste et naïf de croire le contraire ), faîtes le au moins souffler 24h dès que le double ( 48h ) en conso est atteint :) Les aspects récréatifs n'en seront que meilleure, et la récupération mentale et physique facilités :D


PS : Après un mois d'abus et donc de perturbations biologiques ( organisme ) subit par le corps, j'ai depuis lundi soir après le repas, des maux d'estomac sur la droite du nombril et sur plusieurs centimètres en longueur, véritablement douloureux et génants, accompagné de ballonements et d'un gonflement ventral anormal en tenant compte de mes repas équilibrée et peu copieux ( système digestif et stomacale flingués indissociable des conséquence de mon passé d'opiomane, réparable et modifiable chroniquement et progressivement... mais incompatible avec la sur-conso de drogues qui influent ( celles que j'apprécies consommer en tout cas ) à 90% toutes, plus ou moins sur ce qui touche à la bouffe (globalement parlant)... :(
riches en légumes et en fibres pourtant sans effets sur ma constipation actuelle qui doit jouer dans ces maux de ventres, remplissant les conduits de gazs... JE SAIS QUE VOUS AIMEZ MES REFERENCES SCATO BANDE DE MENTEURS, Huhu :D

( je glisse une questions d'ailleurs, l'étizolam influe t-il sur l'activité digestive et gastrique ? Même question pour la Bupré du sub 4mg ? Le mélange des deux peut-il totalement ralentir la digestion ? Merci d'avance :) )



Bref, j'espère avoir été le plus clair et précis possible, souhaitant sincèrement que ce post serve et permette à certains de pas faire les mêmes bêtises, du moins faire prendre conscience du risque et du fait que l'on ne parle pas là d'une molécule cousine de la caféine mais bien d'un psychostimulants qui même si bien moins potent que la Cocaïne, fonctionne de la même manière sur le cerveau, sachant en plus qu'il est plus puissant,ou, formulé autrement, plus pote avec Seigneur dopamine que ne l'est docteur Methylphenidate ( Ritalin ) ( so plus euphorique et potentiellement addictif aussi... vulgairement mais on va pas repartir pour 10 lignes hein ) donc prudence vraiment, take care les koupains koupines :heart: ( dispo pour toutes questions/infos, hésitez pas ;) )
 

Johndoe30

Neurotransmetteur
Inscrit
27 Sept 2009
Messages
30
Palpitations puissantes et inhabituelles, difficultés à prononcer une phrase d'une traite, sans bafouiller ou chercher un mot. A partir de cet instant ( 18h environ ) va apparaître et se manifester crescendo, de façon de plus en plus forte et de plus en plus génante à mesure que les minutes défilent, ce que j'appellerais une hypersensibilité sensorielle et paranoïaque.
En gros, le sentiment que le moindre son entendu est agressif, fort, et cause des dommages cérébraux ( difficilement explicable ), l'impression insupportable qu'à tout moment quelqu'un peut venir par surprise taper une gueulante dont le cerveau ne se remetrait pas, la sensation parano d'être au coeur de toutes les conversations et de monopoliser la totalité de l'attention, la peur de voir quelqu'un surgir et causer un trauma, grosso modo plus les effets se développaient plus le sentiment de peur était présent. Quelques hallucinations visuelles et sonores aussi, avec cette sale impression que le cerveau est au bord de la rupture et que le moindre choc peut-être dévastateur...

Ca, ca m'a tout l'air d'un bad..


PS : Après un mois d'abus et donc de perturbations biologiques ( organisme ) subit par le corps, j'ai depuis lundi soir après le repas, des maux d'estomac sur la droite du nombril et sur plusieurs centimètres en longueur, véritablement douloureux et génants, accompagné de ballonements et d'un gonflement ventral anormal en tenant compte de mes repas équilibrée et peu copieux ( système digestif et stomacale flingués indissociable des conséquence de mon passé d'opiomane, réparable et modifiable chroniquement et progressivement... mais incompatible avec la sur-conso de drogues qui influent ( celles que j'apprécies consommer en tout cas ) à 90% toutes, plus ou moins sur ce qui touche à la bouffe (globalement parlant)...

Et ca d'une occlusion intestinale (si t'as pas déconstipé depuis.. ) dont tu ferais mieux de t'inquietter tres rapidement si c'est le cas.
 

Cha(s)do

Holofractale de l'hypervérité
Inscrit
24 Oct 2010
Messages
1 414
ChandlerBing a dit:
( je glisse une questions d'ailleurs, l'étizolam influe t-il sur l'activité digestive et gastrique ? Même question pour la Bupré du sub 4mg ? Le mélange des deux peut-il totalement ralentir la digestion ? Merci d'avance :) )
L'etiazolam, si ses effets sont comparables aux benzos, doit pas avoir d'influence notable sur le système digestif, si ce n'est un léger effet antispasmodique...
Bon je dit ça par extension des propriétés des "vraies" benzodiazépines, mais cela reste à vérifier, vu que ce n'est pas vraiment une benzo, mais un analogue...
En revanche la buprénorphine est comme tous les opiacés, pas vraiment laxative, si tu vois ce que je veux dire, sauf en cas de sevrage, bien sur!
 

PSYCHOCRACK

le gros con avec une chaussure noire
Inscrit
10 Jan 2007
Messages
5 659
La mdpv en abusant grave provoque des désordre gastrique, comme le Ethylphenidate à l'air d'avoir beaucoup de poing en commun avec la mdpv (d'apres vos reporte et mon experience de la pv) je suppute fortement le Ethylphenidate de provoquer le même genre de désordre!
 
C

Chandly

Invité
Mouais le bad j'y crois pas pour être franc.

Cet effet secondaire m'est apparut deux fois, deux fois sur des soirées mettant un terme à plusieurs jours de redrop continu et sans le moindre repos ( sommeil ou état d'inactivité yeux fermés ) et un symptôme ultra sensorielle du genre ressemble sur certains aspect à un début ( peu probable ... ? ) de psychose imputés aux stimulants, Stimulant psychosis en anglais.
Plusieurs aspects de ce trouble psychotique correspondent ou me font beaucoup penser à mes états sensoriels ce fameux dimanche. Idem pour les psychoses ou perturbations psychotique liés aux ( gros ) abus de MPH et/ou à un dosage trop important...


En ce qui concerne le diagnostic médical virtuel et "internetisé" qui avec la démocratisation du net dans notre société s'est répandue comme une belle saloperie, je t'en remercie mais tu ne m'en voudras pas de ne pas en tenir rigueur :tonqe:
Enfin ça m'épatera toujours les petits génies de la médecine spécialisés en diagnostic reposant sur cinq lignes de symptômes souvent subjectifs et sans aucun fait scientifique à l'appuie... :lol:

PS : J'ai posé ma pêche depuis, ouf on était à deux doigts de l'occlusion la
57.gif
53.gif
 

Cha(s)do

Holofractale de l'hypervérité
Inscrit
24 Oct 2010
Messages
1 414
ChandlerBing a dit:
je t'en remercie mais tu ne m'en voudras pas de ne pas en tenir rigueur :tonqe:

Effectivement, je pense qu'il ne t"en voudra pas!
 
Haut