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[Alcool, joints, champis et MDMA] La fille, le paradis, et la descente aux enfers.

Xamg

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30 Juil 2013
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Petite introduction, contexte et mise en bouche.




Bonjour amis psychonautes, bonsoir pour les nombreux insomniaques qui traînent ici la nuit, rassurez-vous, vous n'êtes pas seuls ! Je suis enfin prêt à -vous- raconter un deuxième trip qui me tient énormément à cœur, on va dire que tous les souvenirs de cette soirée (et la semaine suivant celle-ci) sont imprimés dans mes souvenirs, puisque des sentiments plus ou moins puissants ont été contracté par moi-même cette nuit là. Malgré que cette histoire ce soit déroulée au mois d'Août 2013, je sens encore qu'elle est un gros poids pour moi, négatif en dépit de ses côtés romanesques ... Peut-être que l'écrire me libérera de son emprise ! C'est sûr qu'elle ne traitera pas vraiment de la drogue, j'ai même peur de jusque claquer un morceau de roman autobiographique, j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop si c'est un petit peu raté ....

Commençons par le contexte, il va donc falloir que je vous raconte un petit peu ma vie, il est assez important pour comprendre l'intensité du ressenti du trip dans sa globalité ... Je me trouve à la même époque que mon premier trip report :


Le DXM m'accompagne pour mon voyage solitaire, à la frontière helvétique-italienne.


Je travaillais depuis fin Mai dans une petite auberge de montagne, dans le valais, région francophone Suisse, avec mon meilleur ami (nous sommes Français). Sur place, que des inconnus, dont un collègue bien perché, avec qui nous avons très vite partager connaissances psychonautiques si vous voyez ce que je veux dire. A la base, je voulais me couper de ce monde de la drogue en allant travailler là-bas, mais il faut que même paumé dans la montagne, je tombe sur LA personne qui connait tous les plans, les free parties, bref, le destin et les coïncidences .... j'y crois. Je rajoute un petit détail, j'avais aucune copine officielle, mais je n'avais pas eu le temps de m'intéresser à qui que ce soit depuis mois, à cause du boulot.

On en vient à un dimanche soir du mois d'Août, mes congés étaient le lundi et le mardi ... Je flânais sur un site de rencontres plus que renommé, notre cher Adopteunmec ( critiquez ! j'ai vécu de sacrées belles histoires grâce à lui ! ) et je reçus un message, on plutôt un roman très original d'une "locale", sortant des habituels "salut ça va". J'en profitais donc pour, à mon tour, jouir de mon originalité, en lui proposant d'accepter à la va vite un rendez-vous dans un bar dans la première ville en plaine, le lendemain matin, qui fut accepté, par la mystérieuse inconnue qui semblait amusée par cette proposition. N'ayant aucun moyen de transport, je demandai à mon collègue, qui avait les mêmes congés que moi de m'accompagner .... en stop !




I- Le rendez-vous

Dans ce TR, je vais beaucoup insister sur certains événements qui peuvent paraître banals, et qui n'ont peut-être pas la place sur un TR, mais je trouve que c'est l'ensemble qui fait la magie du voyage, je vous laisse passer le premier chapitre si un roman de ma vie vous ennuie, et que vous voulez passer à la prise de drogues, mais ça serait dommage.



Je me réveillai vers 7h, afin de pouvoir me préparer, douche, petit-déjeuner, sac à dos au cas où ... Nous décidâmes de partir à pied, sous la pluie, malgré les trois longues heures de route qui nous attendaient si aucune âme charitable ne dédaignait nous prendre en stop. Toujours dans son délire de perché, mon collègue m'expliqua : "Tu vois, c'est juste une épreuve que la vie nous demande de franchir, si il pleut et qu'on est à pied, c'est pour voir ce qu'elle, la vie va nous donner dans la plaine." Le tonnerre retentit provoquant un bruit assourdissant, il reprit : "Et vu comment on tente de nous empêcher d'y aller, ça doit être magnifique !"
Je restai de marbre, les mains dans les poches, enfermé dans ma capuche, j'étais très pessimiste quand au déroulement de la journée, nous étions trempés de la tête au pied ! Mais finalement, après seulement trente minutes pénibles de marche, un 4*4 avec une remorque s'arrêta pour nous prendre. C'était une jeune femme, éleveuse de chiens de traîneaux en Norvège, oui oui.
La charmante demoiselle nous déposa dans la première ville, où se trouvait le bar que nous avions fixé comme point de rencontre avec l'inconnue d'internet.

Nous devions nous retrouver vers les onze heures, nous nous assîmes à une table, commandant dans la foulée deux pintes de bière sur le conseil de mon acolyte. Je fis un tour aux toilettes afin de sécher du mieux que je pouvais mes affaires, et mes cheveux qui dégoulinaient dans le bar ! Nous prîmes une seconde pinte, puis une troisième, et là, la porte du bar s'ouvrit, et la concernée entra, tous les regards étaient tourné vers elle, tout le monde la regardait, ce qui est compréhensible vu son allure, son habillement chic mais dépravé, ses cheveux détrempés ... mais malgré tout ça un charme indescriptible. Elle s'approcha de notre table, présentations usuelles, et début de discussion avec un laisser aller et une ouverture d'esprit incroyable. Je lui demandai : "Me dis pas que tu es venue à pied ?

_ Bah si, j'ai fait du stop !" me répondit-elle avec une simplicité déconcertante.

Elle commanda un chocolat chaud. Je l'écoutai, la regardai avec une intensité inhabituelle, mais très vite je compris qu'elle était hors du temps, hors de la masse, consciente. Nous discutâmes tous les trois une heure, peut-être deux, j'avais déjà perdu la notion du temps sans aucune substance dans mes veines à part l'éthanol !
Mon collègue proposa d'aller chez un pote à lui, à S***, ville distante d'une heure de train afin de mieux s'installer. Elle ne répondit pas, mais je reformulai la demande : "Viens, on part à l'aventure, restons dans l'originalité, tout ça c'est fou, suis-moi !". Elle accepta, nous nous dirigeâmes donc vers la gare, sous la pluie. Tout le trajet je ne fis que l'observer tel un simple mammifère, non, vraiment, elle était tout simplement géniale, intelligente (mademoiselle parlait cinq langues), drôle, avenante, artiste. ... et physiquement superbe : un mètre soixante-dix, toute mince, les cheveux bruns mais tirant sur le roux en étant exposés à la lumière, avec une mèche sur le front, yeux marrons clairs, une petite robe noire, collants troués (un de mes nombreux fantasmes), van's toutes simples noires.


II- L'aventure


Dans le train, elle m'apprit qu'elle jouait au conservatoire plusieurs instruments, qu'elle chantait également. Elle dessinait également : elle me montra des photos de ses dessins sur son téléphone cellulaire. Je la dévorais des yeux, littéralement. Face à un charisme si imposant, je jouai la carte du garçon mystérieux, de l'aventurier, qui traverse plusieurs pays, travaille partout .... Français qui travaille en Suisse qui vit à Prague, ça sollicite la curiosité.
Les regards se croisent et s'entre-mêlent, je le sais déjà, l'aventure va être formidable et inoubliable.

Nous arrivâmes à notre destination, de mon côté je jetais les yeux partout, pour découvrir la ville, la Suissesse connaissait déjà cette ville, forcément, un si petit pays, on fait rapidement le tour. On acheta des bières, beaucoup de bières, mon partenaire en est très friand, il était même à ce stade déjà bourré, pour tout dire ! On traversa plutôt rapidement le centre-ville, quelques brins de soleil traversaient les nombreux nuages, mais il ne pleuvait plus. Plutôt rapidement nous arrivâmes devant la porte de chez l'ami de mon collègue. J'étais dans un très bon état d'esprit, toute l'après-midi était à moi, la petite beauté également ... Il y avait un bordel à l'étage de l'immeuble. Nous montâmes au troisième étage, et nous fîmes les présentations, puis nous entrions et nous nous installions sur le canapé. Très vite, tout le monde étant très à l'aise et communiquant, le propriétaire des lieux, sympathique nous servit des bières puis sortit deux plaquettes de shit d'assez bonne qualité. Nous roulâmes quelques joints, entraînant les conversations à l'inverse, c'est la musique qui nous entraînait, la belle inconnue nous fit une démonstration de chant, je restai bouche-bée, j'étais à ce point de la journée en total admiration devant elle, totalement dingue.

Elle posa son coude sur mon genoux gauche, comme si de rien était. Dans ma tête, avec les effets du THC, j'avais l'incroyable impression d'être au paradis, mais paradoxalement, que tout ça était du déjà vu. Je lui caressai les cheveux, doucement, en laissant mes doigts glisser en toute légèreté du haut de sa chevelure, jusqu'au milieu de son dos. Elle se retourna vers moi, tentant de maintenir le regard, je fis de même, la scène dura peut-être trente secondes du monde réel mais beaucoup plus pour moi ... On s'embrassa, passionnément, presque violemment, répondant à une tension sexuelle palpable, s'en suivent petites caresses dans son dos, sur son visage, sur ses lèvres. Nous passâmes l'après-midi à se "découvrir", à discuter, à rigoler tout en restant disponible, par rapport aux deux autres protagonistes.

Nous allons très vite passer aux choses sérieuses, ils sortirent des champignons séchés, tout le monde piocha dedans, on en mit dans un verre avec du jus de citron également. La montée fut fulgurante, je me sentais comme enveloppé dans du coton, mes mouvements paraissaient plus longs, et mon désir envers la jeune demoiselle n'en fut que décuplé, elle devint même mon obsession, toutes mes pensées, petit à petit furent dirigées vers elle, je ne vivais que pour ça. J'étais envahi d'un sentiment de joie, de bonheur, de plénitude .... C'était le paradis sur Terre, devant mes yeux, "je peux mourir, maintenant" me répétais-je. Une idée fut proposée, sortir, pour rejoindre un spot pour voir la ville d'un point de vue imprenable, nous nous mîmes en route .... C'était un véritable parcours du combattant, avec les champignons, il était très difficile pour tout le monde de se déplacer, alors escalader un mur ... La magnifique Suissesse tomba, plusieurs fois, arrachant de plus en plus ses collants. Après quinze minutes, nous arrivions, à un spot vraiment génial, au-dessus de tout, de tout le monde, je pensais être le maître de la vie, je me sentais puissant, le monde était d'une beauté inimitable, moi aussi, elle aussi, tout. De fortes rafales de vent venaient frapper la falaise d'où nous observions la ville. J'étais toujours collé à la belle, pour mon plus grand bonheur. Nous fîmes le chemin inverse avec la même difficulté qu'à l'aller. Devant la porte se trouvait M, la petite amie de mon collègue, bouteilles à la main, basiques présentations, puis nous allâmes nous rasseoir à la même place. Elle sortit un petit pochon de sa poche, rempli de MDMA, rebelote, tout le monde y à le droit, je pris peut-être 0,2, à l’œil, comme les autres.

Cette fois, je n'en peux plus, la montée extraordinaire me propulse dans un état de transe, je saute à moitié sur mon petit bijoux, c'est l'extase, je la déshabillais à moitié sur le canapé. On nous proposa du LSD qu'on refusa, les trois autres prirent leur goutte. Le fait de voir le LSD me mis mal à l'aise, et me donna l'envie de vomir ... Je descendis aussi vite que je pu, et lâchai tout l'alcool ingéré dans les caniveaux, dans la confusion, je mis énormément de temps à retrouver mes moyens pour parvenir à rentrer, mais je me sentais beaucoup mieux. Une paranoïa avait emporté les acid-head, parlant de caméra de surveillance de l'immeuble et du bordel, ils se pensaient tous observés. Je pris ma nouvelle amoureuse par la main, et l'emmenai dehors, nous courûmes quelques vites à travers les petites ruelles, montant quatre par quatre escaliers, les descendant encore plus vite. Le centre-ville ressemblait à un petit village italien, avec des petites ruelles étroites, des petits ponts, ... Nous nous arrêtâmes devant un arc de fleur qui se tenait au-dessus de nos tête, sous lequel nous passions afin de nous retrouver sur une sorte de grande terrasse, transformée sur le coup par des gamins en mini-terrain de foot. Le soleil commençait à se coucher.

C'était génial, nous nous assîmes en plein milieu, face à face, et les choses sérieuses commencèrent, poussés par la belle dose de MDMA que nous avions pris. Mes mains se baladaient sur sa peau, sous ses habits, tout en l'embrassant. Petit à petit, je tentais de me rapprocher toujours de plus en plus de ses seins, ou de son sexe, tout en restant le plus doux et délicat possible, jusqu'à le summum de l'excitation, elle aussi n'hésitant pas de jouer avec mes réactions physiques. Nous restâmes quelques minutes à nous masturber mutuellement, devant les fenêtres de chez monsieur tout le monde. Le fait de pouvoir être vu ajoutait une excitation particulière, comme un jeu ... Je la pris par la main et l'emmena dans une ruelle, je la claqua contre un mur et me mis à genoux devant elle, léchant avec engouement le bas-ventre de ma partenaire. Je me releva, et la masturba, en coinçant son autre bras contre le mur, elle gémit à plusieurs reprises.

Il fallait une chambre, un lit, il fallait le faire, la tension sexuelle se devait d'être brisée ... Nous rentrâmes, puis demandions la clef de l'appartement à mon collègue, afin de pouvoir rentrer. Le hic est que nous ne connaissions pas le trajet, que nous étions perchés, et que dans l'appartement, la paranoïa s'était intensifiée. La copine de mon collègue était même partie, en pétant en plomb. Nous forçâmes mon collègue à nous raccompagner chez lui, le propriétaire était même endormi ... Il finit par accepter, et nous le suivîmes en refermant la porte derrière nous. Nous nous donnions la main, en courant, en chantant, en s'embrassant ... Nous arrivâmes assez rapidement, mais ne me souvenais absolument pas du trajet que je venais d'effectue. Mon ami était très mal en point, dans une paranoïa excessive, en rentrant chez lui, je dus rester plusieurs minutes avec lui pour le calmer et le rassurer, celui-ci vivait un véritable bad-trip.
Je lui demandai alors : "Où est-ce qu'on peut dormir, il faut qu'on aille se coucher."
Il répondit avec étonnement : "Prenez ma chambre, il faut que je surveille la porte d'entrée."

Je m’exécutai, et nous nous installions dans sa chambre, je pris le soin de fermer la chambre à clef, j'y étais, elle était étendue sur le lit, me tendant la main, je lui sautai dessus, sans aucune retenue, enlevant sa robe, la laissant en soutien-gorge et collant tous troués. Je la dévorai des yeux, je l'embrassai absolument partout où c'était possible puis, un bruit retentit, c'était mon collègue qui toquait à la porte. J'allai ouvrir, celui-ci me demandait de venir l'écouter, que quelque chose ne tournait pas rond. Je l'écoutai plus ou moins une bonne dizaine de minutes, en restant fixé sur la fille, bien entendu. Un discours de perché, c'est tout qu'il me sortit, je le rassurai encore une fois, et lui demandai, au passage, un préservatif. Sur cette question, il me demanda plutôt de m'installer dans la mezzanine, je ne me posai pas de question, et m’exécutai, le laissant échanger de place avec la demoiselle. Nous montâmes l'échelle et nous installâmes sur un matelas posé à-même le sol de la mezzanine.

Elle grimpa sur moi, montant tout doucement le long de mon corps tout en se frottant avec une certaine finesse. Rapidement, j'enlevai son soutien-gorge, et me mis au-dessus d'elle, je la déshabillai assez violemment, arrachant ce qu'il restait de ses collants. j'embrassai son bas-ventre, descendant sur son sexe protégé par son string. Je la dévorai, tout simplement, j'ôtai sa culotte, et commençai à lentement lui lécher le sexe, pendant de longues minutes, je tentai un instant de remonter vers elle, mais elle refusa, en me priant de continuer. Je continuai jusqu'à obtenir son orgasme, devant moi, pour moi, je pouvais même ressentir les contractions qui découlaient de son orgasme, même sans aucune stimulation mécanique, je ressentis un plaisir immense .... Rapidement, nous échangions de place, moi allongé sur le dos, elle sur moi, [...]. J'eus l'un de mes plus puissant orgasme. La MDMA joua vraiment un rôle dans cette tension sexuelle et ces sentiments de plaisirs et de désirs. Nous nous endormîmes. Le lendemain, nous ressentîmes la descente, très violente, elle décida alors très tôt de repartir chez elle, je la raccompagnai jusqu'à la gare, main dans la main mais sans un mot. Elle me donna son nom de famille avant de partir, afin de l'ajouter sur un certain réseau social. Nous nous embrassâmes, puis le train arriva en gare.

Après avoir vécu le bonheur parfait, je vais vivre l'enfer.


III- La descente interminable.

Je ne peux pas vraiment continuer d'écrire cette partie sous une forme "romanesque", puisque justement je ne l'ai pas vécu sous cette forme, en fait pour moi c'était une histoire extraordinaire et magique, digne d'un livre ou d'un film, voilà pourquoi j'ai décidé d'écrire les deux premières parties avec un style littéraire particulier, mais pour celle-ci, je vais revenir à un style plus simpliste et explicatif ... qui traduit mon état d'esprit lors des jours suivants : j'étais tout simplement bloqué mentalement, un véritable fantôme, errant dans le vide.

J'ai fait le chemin inverse en sortant de la gare, direction l'appartement de mon collègue .... Il était toujours perché, mais nous devions remonter dans notre montagne, en effet, nous travaillions le lendemain matin. Il m'expliqua vaguement que sa copine l'accompagnerait le lendemain matin à l'aube. Je préparai mes affaires, il me proposa une ligne de speed pour me donner la motivation pour rentrer ...

Pendant la première partie du trajet-retour, je ne fis que penser à la nuit passée, retournée dans tous les sens possible et inimaginable, je revivais avec émotion chaque secondes passées et vécues lors de cette dernière. Je me sentais parfaitement bien, beaucoup trop bien. La dernière partie du chemin fut la plus difficile, 45 minutes, à pied, à gravir cette fichue pente, je n'arrivais même plus à penser, seuls mes sens étaient encore connectés à mon encéphale. [...]
 

Mr_Bigbud

Elfe Mécanique
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19 Oct 2011
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Waah terrible man ! Ca faisait longtemps que je n'étais pas venir lire un tr sur ce site, le tien m'a carrément retenu les yeux ahaha (ben oui forcement on se met à ta place :p ) Ca devait être un sacré moment :)
Et t'en fais pas pour la descente, les bon souvenir reprendront toujours le pas sur la descente et le mauvais moment chimique.
 

kazkami93

Neurotransmetteur
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4 Jan 2013
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Wooow ! Ce tr est tout bonnement excellent ! Je trouve que rajouter un peu le contexte et toussa apporte vraiment un plus. Je suis aussi de Suisse et c'est vrai que S**n est une ville assez fabuleuse, surtout le point de vue au quel tu t'est rendu tout triper car je fait la même avec des amis du Valais, couché de soleil en plein été c'etais juste.. Wooow !
En tout cas merci du partage l'ami :)
 

Xamg

Neurotransmetteur
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30 Juil 2013
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Hé je suis très content que ça vous plaise, merci pour les compliments !

J'up dès que je peux la fin !
 

190BPM

Holofractale de l'hypervérité
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Vite la fin!!!
 

Moonshiner

Alpiniste Kundalini
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23 Sept 2013
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C' est clair. La première partie étant si "originale", on attend de connaitre l' enfer!!
 

Gurk

Neurotransmetteur
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27 Jan 2014
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Franchement c'est énorme, merci beaucoup pour ce début de TR, ça fait réellement plaisir de voir un TR si bien écrit et si accrocheur. Vraiment merci.
 

Mr.G

Holofractale de l'hypervérité
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4 Sept 2011
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En faite c'est un récit digne d'Emmanuelle. Ça à bien chauffer le public mais comme toujours ça ne montre rien.


Emmanuelle_2.jpg

humour
 

190BPM

Holofractale de l'hypervérité
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Dommage pour la suite...
 

Bobby Tchang

Glandeuse pinéale
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Waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa j'ai jamais été autant frustré de ma vie !! J'ai un désir profond de connaître la suite..
Très bien écrit, c'est très propre et IMPOSSIBLE de s'arrêter de lire ! IMPOSSIBLE !!!

alleeeeeeeeeeeeeeez
 

Ledhi

Neurotransmetteur
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18 Mar 2014
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la fin need :)
Tr qui fait sourire et qui invite à lire plus
la suite por favor
 

Xamg

Neurotransmetteur
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30 Juil 2013
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Je souhaite remercier tout le monde pour tous ces messages, qui me forcent à sortir de ma flemme induite par ma consommation excessive de ... weed.
J'avais peur que le style "romanesque" ne passe pas très bien pour un TR, mais en fait, peut-être que le lecteur se sent plus "happé" par l'histoire grâce à son imagination débordante !

Je suis donc en train d'écrire la fin !

Petites précisions pour certains : ceci n'est pas un fake, la vie est magnifique, tout est possible si on sait jouer avec celle-ci.

Encore merci !
 

Mr.G

Holofractale de l'hypervérité
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Non mais tout le monde s'emballe car tu parles de cul hein mec.
 

Duckase

Matrice périnatale
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6 Avr 2014
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Stonix a dit:
Non mais tout le monde s'emballe car tu parles de cul hein mec.
Take my like dude
 

Nahmého

Elfe Mécanique
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29 Oct 2011
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Certes il parle de cul, mais couplé au fait des sensations décuplées et la soif de découverte que l'on ressens sous influence (en l'occurence d'un joli combo) et une écriture soignée, cela donne un TR d'anthologie ! Merci du partage, vraiment.
 

Ezechiel

Elfe Mécanique
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19 Oct 2011
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Très intéressant, surtout que cela se passe près de chez moi. Vivement la suite ;)
 
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