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adrenochrome

Psycho disparu·e
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8 Mai 2006
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Que ce soit lexomil (bromazepam), xanax (alprazolam), valium (diazepam), temesta (lorazepam), bref tous les anxiolytiques de type benzodiazépines présentent ces risques, et on est plusieurs à pouvoir en parler sur le forum !

Moi je m'en suis débarassé (mais ça m'a valut un séjour à l'hosto à cause de crises d'épilepsie dû au sevrage trop brutal que j'avais voulu entreprendre, et j'en avais pris que 1 an!!).
Un autre membre du forum peut très bien t'en parler mais il le fera si il en a l'envie, mais en effet les anxiolytiques benzodiazépines pris sur le long terme, voir très long terme, sont un véritable enfer pour s'en défaire (presque aussi dur que de se débarasser des opiacés, à un degré différent certes mais dur quand même, avec des symptômes qui font assez flipper quand on veut arrêter son traitement d'un coup sec).

Les firmes pharmaceutiques s'en frottent bien les mains (de se mettre des millions d'euros dans les poches), ils accrochent des millions de gens rien qu'en France (puisque la dépression et l'angoisse sont LES maladies les plus traitées par les généralistes en France), un anxio de type benzo pris sur 1 mois ne présente pas trop de risques, mais quand la durée du traitement dépasse les 2 mois et que les doses sont importantes, il faut descendre les doses petit à petit jusqu'à l'arrêt définitif du traitement pour éviter les symptômes les plus désagréables, mais qui n'empêche pas de retomber dans une anxiété bien plus forte qu'en début de traitement, donc du coup on remet la personne sous anxios (seul point positif : de plus en plus de médecins sont réticents à en prescrire, en tout cas pour exemple mon médecin qui pourtant s'occupe des toxicomanes et qui me prescrit ma méthadone est très très réticent à l'idée de me prescrire un anxio, si il le fait c'est que je suis vraiment pris par d'importantes bouffées d'angoisses, mais il me prescrit un anxio assez léger et sur une courte période, ensuite il me conseil de faire du sport pour évacuer mes tensions et mes angoisses. Mais je reste bien conscient que beaucoup de médecins prescrivent des benzos comme du paracetamol, et que dès que t'en a plus et bien "hop là", renouvellement d'ordonnance!! Ce sont des médecins peu scrupuleux qui ont bien compris que la personne dépressive, anxieuse et angoissée est un patient qui reviendra régulièrement, donc ça devient presque une démarche commerciale : comment fidéliser le client, et c'est grave !!)

Moi je veux bien résumer ma p'tite histoire perso si ça t'interesses (beaucoup sur le forum connaisse déjà l'histoire donc je vais pas me répéter, mais je veux bien témoigner de l'enfer de l'addiction aux benzodiazépines (valium, lexomil, xanax, lysanxia, temesta, tranxene et bien d'autres...).

Et je sais qu'un autre membre du forum (s'il est d'accord) n'hésitera pas à faire partager sa propre expérience avec les benzodiazépines.

En résumé : se sevrer d'un traitement de longue durée et à forte dose d'un anxiolytique est très très difficile, il faut du courage et de la volonté, et surtout avoir un déclic positif dans sa vie : tomber amoureux, trouver un job, bref avoir du positif ça peut être un + pour avoir l'envie de se sevrer !

J'en reste là mais si des gens veulent des précisions je serai là pour en témoigner (si ça peut éviter à certains de se ruer sur les benzodiazépines pour soulager leur mal-être, il faut savoir que ce genre de traitement masque l'angoisse, la peur, l'anxiété, les phobies, mais ne les font nullement disparaitre, et quand on arrête son traitement, toutes ces merdes repointent leur nez avec encore + d'intensité !)


Juste une précision : pour une personne gravement atteinte psychiatriquement , et atteinte d'angoisses chroniques très fortes qui handicapent sa vie de tous les jours, ce genre de traitement peut l'aider à vivre une vie normale, sans péter les plombs ou risquer de se foutre en l'air, y'a que dans ce genre de cas que ces traitements peuvent réellement être bénéfiques, mais le traitement doit être pris à vie car pris sur une dizaine d'années, voir +, le sevrage peut être si pénible qu'il peut même mener à la mort (véridique, y'a eu des cas!!). Mais d'ailleurs maintenant les psychiatres préfèrent prescrire des neuroleptiques (pas d'accoutumance physique) associés à une benzodiazépine.

Sur ce, bisous ! :wink:
 

Supervixen

Holofractale de l'hypervérité
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5 Fev 2009
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Le post d'Adre est plutôt complet, pas grand chose à ajouter. Les anxios sont, normalement, sensés être une aide ponctuelle pour les personnes qui souffrent d'une angoisse "paralysante" (celle qui t'empêche d'avancer dans tout ce que tu fais), mais en effet, ils sont sur-prescrits en France, et les médecins/psychiatres devraient, je pense, vraiment expliciter le concept que je viens d'énoncer quand ils prescrivent ce genre de truc à leur patient, au lieu de se contenter d'un simple "bon, eh bien, je vais vous donner ça". Certains le font bien sûr, mais d'après ce que je vois des témoignages des gens, ils ne sont pas assez nombreux.
 

Williamsïï

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Supervixen a dit:
mais en effet, ils sont sur-prescrits en France,

Je suis vraiment,alors,le seul trou-de-balle à qui on donne pas plus que du Tétrazépam ou cette connerie Stressam.
 

PinkieDeL

Holofractale de l'hypervérité
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Jeune__Peyotl a dit:
Supervixen a dit:
mais en effet, ils sont sur-prescrits en France,

Je suis vraiment,alors,le seul trou-de-balle à qui on donne pas plus que du Tétrazépam ou cette connerie Stressam.

J'ai le même toubib que toi on dirait :D, le mien me conseil de faire une soirée de me vider la tête devant le son, plutot que bouffer des anxio... (j'adore mon toubib on bois même des binouze ensemble :p)
 

Supervixen

Holofractale de l'hypervérité
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Nan, mais, ils en donnent plus facilement aux gens "respectables" (genre une maman stressée ou une mamie qui arrive pas à dormir).
 

Williamsïï

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Supervixen a dit:
ou une mamie qui arrive pas à dormir).

C'est bon ça.....un petit vin rouge,ahah,je vois bien le truc.
*imagine sa grand mère sous anxio/alcool*
ahahah

(putain,je suis a jeun)
 

Donkey Bird

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Oui ma mère fait partit des pauvres maman sous Rivo. Je pense que je vais voir avec elle pour un sevrage !
 

icekrm

Elfe Mécanique
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Depuis 3 ans je jongle entre anxio, et downers de toutes sortes.

Je peux diminuer par 2 ou par 3 (deja fait) , mais quand les jours suivants arrivent j'ai l'impression que c'est mon corps qui en reclame plus.
C'est hard, surtout quand tes proches tete le disent. Car dans mon cas, je ne suis pas "normal" sous downer, je suis maladroit et je perds mes moyens.

DOWNER (anxio, G, alcool, pregabaline: c'est 3 ans de ma vie et je ne sais plus si il en vaut encore la peine tant les effets tranquilisants sont moindres.
Quand j'en prenais pas j'étais capable de 2x plus de chose socialement. J'en ai pris la premiere dans un moment de faiblesse.
 

koudjdj

Elfe Mécanique
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Depuis que j'ai réduit toute drogue sociallement inacceptable, ma conso de benzos a monté en flèche. Ils sont partout. Les psys les prescrivent par poignées. En un an, ils m'ont fait passé par Lexotanil (bromazépam), Temesta (lorazepam), Rivotril (clonazépam), Tranxilium (clorazépate), Seresta (oxazépam), Xanax (alprazolam) et Dormicum (midazolam) pour lutter contre angoisses, stress, agitation. Aucun ne me satisfait vraiment mais aujourd'hui, impossible de m'endormir sereinement sans l'une de ces substances. Faites gaffe et respectez les posologies. C'est pas des bonbecs.
Take care.
 
C

CheesePizza

Invité
C'est hallucinant de voir que des medecins prescrivent des trucs aussi fort que du clonazepam, de l'oxazepam ou du lorazepam ...

Franchement, les benzos sont très utiles mais certains ne sont tout simplement pas necessaires pour les gens juste un peu angoissés.

Le rivotril c'est pas pour les angoissés c'est pour ceux qui délire grave quoi.
 

Jah57

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Pour moi le problème dans les sur-prescription est simplement que c'est la facilitée pour les patients ... Moi qui vais chez un psychiatre et est sous traitement AD, mon psy me dit de faire du sport et de m'inscrire dans une association, je le fais pas mais je gobe les pillules. Bon après sa m'étonnerais que je sois un utilisateur abusif ... Peut être aussi que la vie d'un Français moyen est plus stressante qu'un autre ? La France est aussi le pays européen ou il y a le plus de suicides me semble ... Ou regardez voir du côté du Japon ou le nombre de suicides est catastrophique !
 

Williamsïï

Holofractale de l'hypervérité
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Jah57 a dit:
Peut être aussi que la vie d'un Français moyen est plus stressante qu'un autre ? La France est aussi le pays européen ou il y a le plus de suicides me semble ... Ou regardez voir du côté du Japon ou le nombre de suicides est catastrophique !

En conclusion,un Japonnais bouffe plus de cachetons qu'un Français. :idea:
 

Donkey Bird

Holofractale de l'hypervérité
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Pour moi c'est dût à la culture de compétition qui règne dans notre pays! Et encore plus au japon :shock:

(Ca me fait penser à un mec très bien qui dit des choses très bien pour des gens très cons; Albert Jacquard ! Pour qui connais pas je conseille un petit livre de lui : Petite philosophie à l'usage des non-philosophes.)
 

adrenochrome

Psycho disparu·e
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En effet, en France les médicaments les plus prescrits sont les anti-dépresseurs et les anxiolytiques de type benzodiazépines (toute la smala, clorazépate, diazepam, alprazolam, bromazepam qui d'ailleurs est classé comme stupéfiant aux USA, lorazepam, prazepam, clonazepam, oxazepam, tetrazepam mais surtout utilisé pour soulager les contractures musculaires douloureuses, car il a surtout un effet myorelaxant mais peu anxiolytique et sédatif.)

On est THE pays d'Europe (voir du monde??!!) qui se cachtonne la gueule à coups de "tranquilisants", et c'est un problème qui touche toutes les classes sociales de notre cher pays, de la maman stressé par ses gosses, les vieux qui dépriment de dépérir et d'être en fin de vie, le commercial stressé par son boulot, le chômeur en déprime de ne rien faire de sa vie, le toxicomane qui en fait un usage détourné, "récréatif", les insomniaques, les gens qui souffrent de phobies,...etc...

Je n'encouragerai jamais quiconque à en prendre, mais pour ma part, malgré les désagréments que peuvent causer ces molécules, ça m'a souvent aidé en cas de mauvaise descente, de bad trip, pour éliminer les "manifestements" physiques de l'angoisse comme la transpiration, pour ne pas être stressé et angoissé comme un taré les premiers jours d'un nouveau boulot, ou après une rupture très douloureuse avec mon ex, et je passe d'autres avantages que m'ont apportés les benzos.
Mais bien sûr il y a un MAIS!!! Les côtés négatifs dès qu'on commence à en prendre au quotidien et à fortes dose, le corps s'habitue, la tolérance s'installe donc il faut augmenter les doses pour ressentir les mêmes effets, puis de fil en aiguille on a l'impression que sans le traitement on aura plus la force et le courage d'affronter la société, d'affronter nos peurs et nos angoisses, d'affronter simplement la vie. Là c'est la spirale infernale, on ne peut pas "vivre" sans ses benzos, et à ce stade la dépendance psychologique et même physique est bien installée, donc cela devient très dur de se sevrer.

Voyez ce pauvre homme en plein sevrage après 29 ans de clonazepam (ou rivotril, qui d'ailleurs au passage pour chapelier fou, est certes une benzodiazepine forte mais souvent utilisé pour traiter l'anxiété et réduire les effets négatifs d'une dépression comme d'autres benzos. En fait dans la famille benzodiazépines il existe beaucoup de molécules differentes car/et chaque personne réagit differement à tel ou telle benzo. Exemple : le prazepam, ou lysanxia, ne me fait vraiment presque aucun effet, je dois prendre entre 80mg et 100mg pour avoir les mêmes effets que 10mg de diazepam, alors qu'un pote à moi, qui est consommateur de benzos, s'endort avec un comprimé de 10mg!! Pour ma part ce qui me fout le plus en vrac niveau sédation et somnolence c'est le Bromazepam (lexomil), alors que certaines personnes ne trouvent pas que le lexomil soit particulièrement fort. En résumé je crois, mais j'en suis pas sûr non plus, que chaque organisme réagit differement aux propriétés des différentes benzodiazépines. Donc c'est pas forcément pour ceux qui délirent complétement (mon grand père en a pour l'angoisse).

[youtube]uDbPnAQ-c1o[/youtube]

Les benzos c'est mal vous voyez??? Mais ça peut aider pas mal de gens quand le traitement est prit dans de bonnes circonstances : durée de traitement courte, respect de la posologie. (il existe surement des gens qui ont évités de se foutre en l'air grace à un traitement aux benzos, enfin bref, j'veux dire que c'est plutôt rare mais que ça peut réellement aider une personne malgré le grand nombre de points négatifs de ces substances)

Des bécots, and slow down with BZD guys !!
 

adrenochrome

Psycho disparu·e
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8 Mai 2006
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koudjdj a dit:
Depuis que j'ai réduit toute drogue sociallement inacceptable, ma conso de benzos a monté en flèche. Ils sont partout. Les psys les prescrivent par poignées. En un an, ils m'ont fait passé par Lexotanil (bromazépam), Temesta (lorazepam), Rivotril (clonazépam), Tranxilium (clorazépate), Seresta (oxazépam), Xanax (alprazolam) et Dormicum (midazolam) pour lutter contre angoisses, stress, agitation. Aucun ne me satisfait vraiment mais aujourd'hui, impossible de m'endormir sereinement sans l'une de ces substances. Faites gaffe et respectez les posologies. C'est pas des bonbecs.
Take care.


En fait c'est idem pour moi !! Y'a quelques années c'était MDMA, champis, LSD,, LSA, Salvia, Coke, speed, ecstas et presque tous les week-end !! J'avais entre 22ans et 25ans, mais depuis mes 27ans où je me suis réellement calmé, à part mon traitement à la méthadone mon doc me re-prescrit de l'Alprazolam .,50mg et un pote me lâche une boite de Bromazepam 6mg tous les mois (je sais c'st mal, j'ai 29 ans pas besoin de me faire la morale).
Le bromazepam m'éclatait la tête au début, ça me faisait l'effet de la codéine + alcool (avec 12mg + 1 bière, alors que cet aprèm je suis allé tafer avec 18mg de bromazepam et 1,5mg d'alprazolam et j'étais niquel, j'ai fait mon taf très bien, putain de tolérance...)

Bref tout ça pour dire que c'est souvent quand on arrête une consommation abusive de drogues qu'on se retrouve sous benzos, encore + chez les anciens héroinomanes comme moi, et je vais pas le nier : ATTENTION A NE PAS FAIRE, MON CORPS A 6 ANS DE DEPENDANCE AUX OPIACES: prendre ma métha + 12mg de bromazepam +1mg d'alprazolam avec 1 bière et 1 whisky, et bien l'effet physique (et presque mental) se rapproche des opiacés !

Lisez ça, ça vient de wiki :

Usage détourné[modifier]

L'usage détourné des benzodiazépines en général est un phénomène très fréquent [3], notamment chez les polytoxicomanes (souvent consommateurs de produits par voie intraveineuse)

Chez les héroïnomanes (ou ex-héroïnomanes) il est utilisé en substitut des opiacés[4]. Dans ce contexte, il est aussi désigné sous le terme D10.

Chez les malades alcooliques il est utilisé en substitut de l'alcool.
(référence = critères de la dépendance à un produit psychotrope selon la DSM IV (Association Psychiatrique Américaine).
Citation :
critère 2.b : la même substance (ou une substance très proche) est prise pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
(La consommation de médicaments, même psychotrope, étant mieux acceptée socialement que la prise excessive d'alcool)

En association avec de l'alcool les benzodiazépines (et notamment le Valium) peuvent être utilisées dans le but de commettre des actes délictueux. Le mélange alcool plus benzodiazépine(s) entraine en effet une modification sévère du comportement [3]
Tableau clinique : perte d'inhibition avec possible passage à l'acte et agression suivis d'endormissement et d'amnésie antérograde

Bref c'est la merde, moi ça va je passe mon vendredi, samedi et dimanche sans avaler un benzo, mais le reste du temps c'est pas kilos que je les avalent, pas pour me fonzdé, parce que mon organisme les tolèrent à max !!
 

adrenochrome

Psycho disparu·e
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8 Mai 2006
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WikiAux États-Unis, le flunitrazépam (Rohypnol®) et le bromazépam (Lectopan®) sont des stupéfiants et ne sont pas disponibles

Quan je lis ça je suis comme un gosse avec mon flacon de bromazepam, j'me dis "Tiens ces ricains baveraient pour en avoir"!

Post inutil
 

KORNUS

Matrice périnatale
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13 Juil 2014
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adrenochrome :
avoir un déclic positif dans sa vie : tomber amoureux, trouver un job, bref avoir du positif ça peut être un + pour avoir l'envie de se sevrer !

SLT je uretère peut-être le sujet et j'ai pas lu toute la page nom plus parce-que m' intéressant au sujet depuis que un copain m'as conseiller de manger un peut de clonazed avec un cocktail hawaïen j'ai voulu choper de la benzodiazépine, elle m'as bien aider dailleur :)
Mais le docteur m'as dit de ne surtout pas avaler d'alcool avec ... comment fait-vous avec vos traitements a long thermes sur plusieurs année, c'est assez difficile en vérité de faire la part des choses en face d'une bière qui mousse .... Pi c'est facile de tout comprendre sur un fofo mais c'est la panique dans les grandes viles ça vas trop vite ...
 
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