Mario et Peach
Neurotransmetteur
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- 5 Juin 2012
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4ACO-DIPT
Peach : Bon, je me motive enfin à écrire ce ptit TR ! (et à écrire sur le forum tout court d’ailleurs…)
Contexte : Mon petit plombier Italien moustachu et moi-même, dans notre château.
Pourquoi du 4ACO-DIPT ? Pour passer une bonne petite soirée à deux, mais être frais le lendemain (marre des dimanches en vrac ou tu n’es bon qu’à coller sur le canapé et manger de la soupe parce que tu t’es bouffé les joues et la langue toute la soirée) et sans bodyload hardcore parce que ma dernière expérience au LSA m’a laissé un sale souvenir.
21h : On gobe nos paras (20 mg), se prépare une playlist, un casse dalle, un pet, on éteint la lumière et on met notre néon violet comme lumière d’ambiance. J’ai à peine eu le temps de m’installer sur le canapé et de piocher deux fois dans mon assiette que je me sentais déjà rassasiée et ne pouvais plus rien avaler. (Hmmm, très inhabituel
) Effectivement je sens déjà quelques effets : un petit smile s’accroche à mon visage, je me sens super bien et commence à dodeliner sur le canap’. Mario souris lui aussi et on commence à pouffer pour rien, juste en se regardant (il faut dire aussi que ses gloussements sont très communicatifs et sa tête quand il a fumé est assez extra ). Pour autant, alors que les effets du 4ACO-DIPT commencent à se faire sentir, je reste parfaitement lucide. Je sais pertinemment que mes perceptions sont modifiées par lui, je suis consciente d’être défoncé. C’est assez déstabilisant.
Bon, très rapidement malheureusement, on a eu une courte discussion désagréable, mais pas moyen d’y couper. Et à cause de cela – je pense – le trip à démarré moyennement, chacun de son coté, ce que je trouve très très dommage parce que j’avais vraiment envie de social, de partage d’expérience, et de me fendre la gueule avec quelqu’un plutôt que toute seule.
M’enfin. Mystical Complex nous met en joie et on trépigne sur le canapé. Je n’ai pas éprouvé le besoin de me lever et de danser parce qu’à moins d’être complètement trippée ce n’est pas trop mon délire et, comme je l’ai dit, on était parfaitement lucide. En plus je me sentais comme pendant ce court moment où tu vacilles un peu juste avant de t’évanouir (très intéressant comme sensation puisque j’ai rarement eu l’occasion de ressentir ça plus de 2 secondes !)
Le fait qu’on tripe chacun de notre coté – à chaque fois que j’aurais aimé échanger avec Mario, il avait les yeux fermé et semblait à fond donc je n’osais pas le déranger – et qu’on soit si lucide me gênait un peu à vrai dire, ça m’empêchait de décoller et de me lâcher. J’alternais les phases « en kiff sur la musique » et celles ou je m’ennuyais et était frustrée par le manque de social. A plusieurs reprise je me suis dit « Et si mes parents me voyaient ? » « Ils verraient deux larves qui se dandinent sur un canapé, la musique à fond, sans échanger le moindre mot, un sourire béat sur leurs lèvres. Deux défoncés, qui ne font rien de leur vie et qui achètent du bonheur en pilule… » Oula, le bad pointerait-il le bout de son nez ? Nope. Ca n’a pas duré longtemps, les choses se sont vite améliorées.
Régulièrement on se faisait par de nos impressions, qui étaient les mêmes, et qui nous faisaient rigoler. Notre mur blanc était rose-bleuté du fait du néon et me donnait l’impression de voir en 3D, comme au cinéma. En même temps je savais pertinemment que mes perceptions étaient altérées à cause de la drogue, que c’était faux. Mais je le vois pourtant ! Mais c’est impossible dans la réalité. Mais ça se déroule sous mes yeux ! Mais c’est pas vrai. Mais… ! Bref très perturbant cette lucidité je vous dis. Un combat perpétuel entre tes sens et ton cerveau !
On a donc scotché sur les ondulations de notre porte, sur notre vision 3D... A un moment, mes yeux se sont posés sur mon ptit pouf vert pomme et là, horreur !! Il était jaune-caca-d’oie-dégueu ! (certainement plus à cause du néon que du 4ACO-DIPT d’ailleurs…) Voir une abomination pareille m’était insupportable si bien que Mario m’a proposé de le balancer. Mais comme on était lucide on savait que demain il serait redevenu beau et au lieu de s’en débarrasser on l’a simplement caché dans la cuisine en attendant.
Le temps s’écoulait au ralenti et Mario ne me parlait que de boucle et de fractale. Alors qu’on était en pleine discussion intéressante il me faisait remarquer qu’on avait déjà eu cette même discussion il y a quelques minutes, qu’on en avait déjà tiré les mêmes conclusions et que je revenais sans cesse dessus. Du coup je changeais de discussion mais tombait toujours sur une qui avait déjà eu lieu et il me faisait la même remarque. C’était mi-stressant, mi-hilarant ! ^^ Après de looongues minutes de débats, on regardait l’heure, qui n’avait avancée que de 2 ou 3 pauvres minutes…
Premiers sons caractéristiques de l’album de Filteria. Echange de regards entendu : « Ouuh on va prendre cher ! ».
Un violent flux de musique m’écrasait en continu. Après la vision 3D, place à l’audition 3D. Mes oreilles et mon cerveau ne savaient plus où donner de la tête, tellement il y avait de sons à analyser en même temps. Tous ces sons qui sortaient de partout et qui rebondissaient à l’infini dans le salon se répercutant sur les murs, revenant dans mes oreilles, saturaient l’espace de son. Peut-être qu’en ouvrant la fenêtre pour les laisser s’échapper on aurait pu entendre un peu plus clairement ? Mais impossible de bouger. Ni d’ouvrir les yeux. D’ailleurs je n’avais aucune envie de les rouvrir parce que j’avais de superbes visuels comme dans un caléidoscope géant dans lequel je plongeais. Ou plutôt, se sont les visuels qui me plongeaient dessus, rappelant ma sensation d’écrasement par la musique.
Plus aucun contact avec l’extérieur. Seulement les sons et les images.
Sauf à un moment ou je m’arrachais à eux pour demander à Mario en riant : « T’es où toi ? » « Je suis dans l’espace ! » « Okaaay moi je suis dans la jungle ! » Puis on est chacun retourné dans nos mondes.
Changement d’album. On rouvre les yeux et se regarde, toujours le smile collé aux lèvres, comme si on émergeait d’un rêve éprouvant, on haletait presque alors qu’on n’avait pas bougé du canapé. Retour à la réalité et à la sociabilité donc, sur Hallucinogen. Je voyage encore mais j’ai repris le contrôle de mon corps et mes facultés mentales, je suis à nouveau lucide. Enfin, ptet pas de toutes mes facultés mentales parce que j’ai essayé – en vain – de décrire mes visuels à Mario pendant de longues minutes sans parvenir à m’exprimer correctement alors que tout ce que je voulais lui dire se résumait simplement à « un pattern de petits crocodiles »… Erf.
Après avoir voyagé sur le canapé j’avais envie de « vraie » aventure, comme une gamine ! J’avais très envie par exemple de sortir dans la rue ou dans le jardin pour explorer le monde extérieur, et le découvrir sous un œil complètement trippé ou de faire des activités banales pour « voir la différence ». Mais Mario n’avait l’air très emballé et comme il faisait froid dehors je me suis rabattue sur mon assiette de purée-magret de canard (ah Sud-Ouest quand tu nous tiens !) et j’ai mis notre très cher Broussaï (Reggae). La musique était comme d’habitude, mais je ne savais plus manger. Je n’avais pas de trou au fond de ma gorge pour que la nourriture passe dans mon corps et du coup je ne savais pas quoi faire avec ce truc dans ma bouche (et pour aider, je n’avais pas de salive…). En insistant, parce que ma lucidité – toujours elle – me disait que je savais forcément avaler de la nourriture, j’ai enfin réussi. C’était très fun au final de redécouvrir sa bouche et son œsophage avec une purée violette et un magret qui avait le goût de poulet-dinosaure (ya des choses qu’on n’explique pas mais qu’on SAIT).
On a remis Hallucinogen pour se replonger dans l’ambiance et j’ai continué de dévorer mon assiette, ce qui m’a fait un bien fou. Effectivement, je me suis rendue compte que si j’avais eu constamment cette impression d’être au bord de l’évanouissement, c’est tout simplement parce que j’étais en hypoglycémie parce que j’étais à jeun… Eh oui, les solutions les plus simples sont souvent les meilleures, faut arrêter de tout mettre sur le dos de la drogue -__-‘
On a continué de triper jusqu’à ce qu’on ne ressente quasiment plus d’effets puis on est finalement allé se coucher, un peu avant 1h.
Je confirme que je me sentais parfaitement bien le lendemain, ça fait plaisir !
En conclusion, un trip très sympa. A refaire donc En extérieur notamment, et aussi avec plus de monde (et attention aux sujets qui fâchent pile pendant la montée -__-‘).
En bref, la montée n’a pas du prendre plus d’une demi heure, le plateau a du durer moins de 3 heures, + encore une demi heure ou on était moit-moit trippé-clean.
Des effets pas trop « accaparant » si je puis dire puisque beaucoup de lucidité. Excepté sur l’album de Filteria où on n’a pas été capable de décrocher et de prendre le contrôle tant que la musique jouait. Je me pose beaucoup de question à ce sujet d’ailleurs ! Comment aurait tourné le trip sans cet album ? Pourquoi les autres albums ne nous ont pas fait ça ? Sinon je pense qu’un trip sans musique est tout à fait envisageable.
Niveau spiritualité, je ne saurais pas trop dire si ya du potentiel puisqu’on a eu que des discussions basiques centrées sur nos perceptions. Et mentalement je me sentais vraiment « comme tous les jours », mais aussi un peu excitée comme une enfant qui a la bougeotte et soif de découvrir le monde et de s’amuser.
J’espère avoir été complète et merci de m’avoir lue !
Peach : Bon, je me motive enfin à écrire ce ptit TR ! (et à écrire sur le forum tout court d’ailleurs…)
Contexte : Mon petit plombier Italien moustachu et moi-même, dans notre château.
Pourquoi du 4ACO-DIPT ? Pour passer une bonne petite soirée à deux, mais être frais le lendemain (marre des dimanches en vrac ou tu n’es bon qu’à coller sur le canapé et manger de la soupe parce que tu t’es bouffé les joues et la langue toute la soirée) et sans bodyload hardcore parce que ma dernière expérience au LSA m’a laissé un sale souvenir.
21h : On gobe nos paras (20 mg), se prépare une playlist, un casse dalle, un pet, on éteint la lumière et on met notre néon violet comme lumière d’ambiance. J’ai à peine eu le temps de m’installer sur le canapé et de piocher deux fois dans mon assiette que je me sentais déjà rassasiée et ne pouvais plus rien avaler. (Hmmm, très inhabituel
) Effectivement je sens déjà quelques effets : un petit smile s’accroche à mon visage, je me sens super bien et commence à dodeliner sur le canap’. Mario souris lui aussi et on commence à pouffer pour rien, juste en se regardant (il faut dire aussi que ses gloussements sont très communicatifs et sa tête quand il a fumé est assez extra ). Pour autant, alors que les effets du 4ACO-DIPT commencent à se faire sentir, je reste parfaitement lucide. Je sais pertinemment que mes perceptions sont modifiées par lui, je suis consciente d’être défoncé. C’est assez déstabilisant.Bon, très rapidement malheureusement, on a eu une courte discussion désagréable, mais pas moyen d’y couper. Et à cause de cela – je pense – le trip à démarré moyennement, chacun de son coté, ce que je trouve très très dommage parce que j’avais vraiment envie de social, de partage d’expérience, et de me fendre la gueule avec quelqu’un plutôt que toute seule.
M’enfin. Mystical Complex nous met en joie et on trépigne sur le canapé. Je n’ai pas éprouvé le besoin de me lever et de danser parce qu’à moins d’être complètement trippée ce n’est pas trop mon délire et, comme je l’ai dit, on était parfaitement lucide. En plus je me sentais comme pendant ce court moment où tu vacilles un peu juste avant de t’évanouir (très intéressant comme sensation puisque j’ai rarement eu l’occasion de ressentir ça plus de 2 secondes !)
Le fait qu’on tripe chacun de notre coté – à chaque fois que j’aurais aimé échanger avec Mario, il avait les yeux fermé et semblait à fond donc je n’osais pas le déranger – et qu’on soit si lucide me gênait un peu à vrai dire, ça m’empêchait de décoller et de me lâcher. J’alternais les phases « en kiff sur la musique » et celles ou je m’ennuyais et était frustrée par le manque de social. A plusieurs reprise je me suis dit « Et si mes parents me voyaient ? » « Ils verraient deux larves qui se dandinent sur un canapé, la musique à fond, sans échanger le moindre mot, un sourire béat sur leurs lèvres. Deux défoncés, qui ne font rien de leur vie et qui achètent du bonheur en pilule… » Oula, le bad pointerait-il le bout de son nez ? Nope. Ca n’a pas duré longtemps, les choses se sont vite améliorées.
Régulièrement on se faisait par de nos impressions, qui étaient les mêmes, et qui nous faisaient rigoler. Notre mur blanc était rose-bleuté du fait du néon et me donnait l’impression de voir en 3D, comme au cinéma. En même temps je savais pertinemment que mes perceptions étaient altérées à cause de la drogue, que c’était faux. Mais je le vois pourtant ! Mais c’est impossible dans la réalité. Mais ça se déroule sous mes yeux ! Mais c’est pas vrai. Mais… ! Bref très perturbant cette lucidité je vous dis. Un combat perpétuel entre tes sens et ton cerveau !
On a donc scotché sur les ondulations de notre porte, sur notre vision 3D... A un moment, mes yeux se sont posés sur mon ptit pouf vert pomme et là, horreur !! Il était jaune-caca-d’oie-dégueu ! (certainement plus à cause du néon que du 4ACO-DIPT d’ailleurs…) Voir une abomination pareille m’était insupportable si bien que Mario m’a proposé de le balancer. Mais comme on était lucide on savait que demain il serait redevenu beau et au lieu de s’en débarrasser on l’a simplement caché dans la cuisine en attendant.
Le temps s’écoulait au ralenti et Mario ne me parlait que de boucle et de fractale. Alors qu’on était en pleine discussion intéressante il me faisait remarquer qu’on avait déjà eu cette même discussion il y a quelques minutes, qu’on en avait déjà tiré les mêmes conclusions et que je revenais sans cesse dessus. Du coup je changeais de discussion mais tombait toujours sur une qui avait déjà eu lieu et il me faisait la même remarque. C’était mi-stressant, mi-hilarant ! ^^ Après de looongues minutes de débats, on regardait l’heure, qui n’avait avancée que de 2 ou 3 pauvres minutes…
Premiers sons caractéristiques de l’album de Filteria. Echange de regards entendu : « Ouuh on va prendre cher !
».Un violent flux de musique m’écrasait en continu. Après la vision 3D, place à l’audition 3D. Mes oreilles et mon cerveau ne savaient plus où donner de la tête, tellement il y avait de sons à analyser en même temps. Tous ces sons qui sortaient de partout et qui rebondissaient à l’infini dans le salon se répercutant sur les murs, revenant dans mes oreilles, saturaient l’espace de son. Peut-être qu’en ouvrant la fenêtre pour les laisser s’échapper on aurait pu entendre un peu plus clairement ? Mais impossible de bouger. Ni d’ouvrir les yeux. D’ailleurs je n’avais aucune envie de les rouvrir parce que j’avais de superbes visuels comme dans un caléidoscope géant dans lequel je plongeais. Ou plutôt, se sont les visuels qui me plongeaient dessus, rappelant ma sensation d’écrasement par la musique.
Plus aucun contact avec l’extérieur. Seulement les sons et les images.
Sauf à un moment ou je m’arrachais à eux pour demander à Mario en riant : « T’es où toi ? » « Je suis dans l’espace ! » « Okaaay moi je suis dans la jungle ! » Puis on est chacun retourné dans nos mondes.
Changement d’album. On rouvre les yeux et se regarde, toujours le smile collé aux lèvres, comme si on émergeait d’un rêve éprouvant, on haletait presque alors qu’on n’avait pas bougé du canapé. Retour à la réalité et à la sociabilité donc, sur Hallucinogen. Je voyage encore mais j’ai repris le contrôle de mon corps et mes facultés mentales, je suis à nouveau lucide. Enfin, ptet pas de toutes mes facultés mentales parce que j’ai essayé – en vain – de décrire mes visuels à Mario pendant de longues minutes sans parvenir à m’exprimer correctement alors que tout ce que je voulais lui dire se résumait simplement à « un pattern de petits crocodiles »… Erf.
Après avoir voyagé sur le canapé j’avais envie de « vraie » aventure, comme une gamine ! J’avais très envie par exemple de sortir dans la rue ou dans le jardin pour explorer le monde extérieur, et le découvrir sous un œil complètement trippé ou de faire des activités banales pour « voir la différence ». Mais Mario n’avait l’air très emballé et comme il faisait froid dehors je me suis rabattue sur mon assiette de purée-magret de canard (ah Sud-Ouest quand tu nous tiens !) et j’ai mis notre très cher Broussaï (Reggae). La musique était comme d’habitude, mais je ne savais plus manger. Je n’avais pas de trou au fond de ma gorge pour que la nourriture passe dans mon corps et du coup je ne savais pas quoi faire avec ce truc dans ma bouche (et pour aider, je n’avais pas de salive…). En insistant, parce que ma lucidité – toujours elle – me disait que je savais forcément avaler de la nourriture, j’ai enfin réussi. C’était très fun au final de redécouvrir sa bouche et son œsophage avec une purée violette et un magret qui avait le goût de poulet-dinosaure (ya des choses qu’on n’explique pas mais qu’on SAIT).
On a remis Hallucinogen pour se replonger dans l’ambiance et j’ai continué de dévorer mon assiette, ce qui m’a fait un bien fou. Effectivement, je me suis rendue compte que si j’avais eu constamment cette impression d’être au bord de l’évanouissement, c’est tout simplement parce que j’étais en hypoglycémie parce que j’étais à jeun… Eh oui, les solutions les plus simples sont souvent les meilleures, faut arrêter de tout mettre sur le dos de la drogue -__-‘
On a continué de triper jusqu’à ce qu’on ne ressente quasiment plus d’effets puis on est finalement allé se coucher, un peu avant 1h.
Je confirme que je me sentais parfaitement bien le lendemain, ça fait plaisir !
En conclusion, un trip très sympa. A refaire donc
En extérieur notamment, et aussi avec plus de monde (et attention aux sujets qui fâchent pile pendant la montée -__-‘).En bref, la montée n’a pas du prendre plus d’une demi heure, le plateau a du durer moins de 3 heures, + encore une demi heure ou on était moit-moit trippé-clean.
Des effets pas trop « accaparant » si je puis dire puisque beaucoup de lucidité. Excepté sur l’album de Filteria où on n’a pas été capable de décrocher et de prendre le contrôle tant que la musique jouait. Je me pose beaucoup de question à ce sujet d’ailleurs ! Comment aurait tourné le trip sans cet album ? Pourquoi les autres albums ne nous ont pas fait ça ? Sinon je pense qu’un trip sans musique est tout à fait envisageable.
Niveau spiritualité, je ne saurais pas trop dire si ya du potentiel puisqu’on a eu que des discussions basiques centrées sur nos perceptions. Et mentalement je me sentais vraiment « comme tous les jours », mais aussi un peu excitée comme une enfant qui a la bougeotte et soif de découvrir le monde et de s’amuser.
J’espère avoir été complète et merci de m’avoir lue !
